Recueil des lettres de madame la marquise de Sévigné, a madame la comtesse de Grignan, sa fille |
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Page xvii
... pour sa fille . Les Lettres de Madame de Sévigné sont un tableau simple et vrai , dont l'expres- sion se prolouge , et dure une partie de Tome I. b . la vie des acteurs qui y sont représentés . On de Madame de Sévigné . xvij.
... pour sa fille . Les Lettres de Madame de Sévigné sont un tableau simple et vrai , dont l'expres- sion se prolouge , et dure une partie de Tome I. b . la vie des acteurs qui y sont représentés . On de Madame de Sévigné . xvij.
Page xxxvi
... vrai- » semblablement dans l'indifférence de ce » qui en est . O vanité des vanités ! « . Cette plume si légere , et cependant si profonde , sous cette apparence de légé- reté , traçoit , avec la même simplicité , les événements les ...
... vrai- » semblablement dans l'indifférence de ce » qui en est . O vanité des vanités ! « . Cette plume si légere , et cependant si profonde , sous cette apparence de légé- reté , traçoit , avec la même simplicité , les événements les ...
Page xliv
... vrais amis que ceux qui rapportant Tout à l'objet de leur affection , ne cher- chent que son utilité et son bonheur . Ce sentiment constant et animé les éclaire sur le véritable intérêt de ce qu'ils aiment , et leur fait sacrifier ...
... vrais amis que ceux qui rapportant Tout à l'objet de leur affection , ne cher- chent que son utilité et son bonheur . Ce sentiment constant et animé les éclaire sur le véritable intérêt de ce qu'ils aiment , et leur fait sacrifier ...
Page li
... vrais , des Lecteurs dignes de sentir la nature , vos Lettres seront les délices des tendres , et le désespoir des meilleurs Ecrivains . 1 e ij › lij AVERTISSEMENT Des Libraires de Paris , édition de 1774 de Madame de Sévigné . lj.
... vrais , des Lecteurs dignes de sentir la nature , vos Lettres seront les délices des tendres , et le désespoir des meilleurs Ecrivains . 1 e ij › lij AVERTISSEMENT Des Libraires de Paris , édition de 1774 de Madame de Sévigné . lj.
Page lxxii
... vrai que l'Editeur n'a jamais le droit de mêler quelque chose du sien dans l'ouvrage d'un autre ; mais lui contestera - t - on la liberté de suppri- mer ce qui ne lui paroît point également propre à voir le jour ? Or , comme il sa- git ...
... vrai que l'Editeur n'a jamais le droit de mêler quelque chose du sien dans l'ouvrage d'un autre ; mais lui contestera - t - on la liberté de suppri- mer ce qui ne lui paroît point également propre à voir le jour ? Or , comme il sa- git ...
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Common terms and phrases
Abbé Adieu admirable agréable aimable aime aise alloit amitié assez auroit avez avoit beau beauté belle Bretagne c'étoit charme château de Grignan chere enfant chose Christophe de Coulanges Claire-Clémence de Maillé-Brézé Coadjuteur coëffure cœur Comte connoissance Coulanges crois d'amitié d'Hacqueville dame déja Dieu dimanche dire disoit divertir donne enfin esprit Etats êtes étiez étoient étoit faisoit Fayette femme Gourville graces j'ai j'avois j'en j'étois jamais joie jolie l'Abbé l'autre jour Lavardin Lettres de Mad Livry m'aimez m'en Madame de Chaulnes Madame de Coulanges Madame de Grignan Madame de Montespan Madame de Sévigné Mademoiselle du Plessis mande maniere Marquise de Sévigné ment mercredi mille Molac monde Mousse n'ai n'en parler paroît passer pense petite plaisir Pomenars premiere Provence quelquefois raison ravie rien rire Rochers santé savez sentiments sera seroit soin soir songez souhaite tendresse trouve Vatel vendredi veux Vitré voilà vois voudrois
Popular passages
Page 24 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page xlviii - ... les dire ; de quelque façon qu'ils me viennent, ils sont reçus avec une sensibilité qui n'est comprise que de ceux qui savent aimer comme je fais.
Page 23 - Hé bien! il faut donc vous la dire: M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 23 - Hauteville ; une chose enfin qui se fera dimanche ; où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à vous la dire, devinez-la : je vous la donne en trois. Jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M.
Page 24 - Vous n'y êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire: il épouse, dimanche au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle, mademoiselle de .... mademoiselle: devinez le nom; il épouse Mademoiselle, ma foi! par ma foi! ma foi jurée! MADEMOISELLE, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu MONSIEUR...
Page 26 - ... son lit, sans rien avaler que des bouillons. Voilà un beau songe , voilà un beau sujet de roman ou de tragédie , mais surtout un beau sujet de raisonner et de parler éternellement...
Page 158 - Moreuil vient de me faire, à votre intention, de ce qui s'est passé à Chantilly touchant Vatel. Je vous écrivis vendredi qu'il s'était poignardé; voici l'affaire en détail : Le roi arriva le jeudi au soir; la promenade, la collation dans un lieu tapissé de jonquilles, tout cela fut à souhait. On soupa. Il y eut quelques...
Page 39 - Dieu, si l'on faisait son devoir; rien ne me donne de distraction ; je vois ce carrosse qui avance toujours, et qui n'approchera jamais de moi ; je suis toujours dans les grands chemins, il me semble que j'ai quelquefois peur (jue ce carrosse ne verse ; les pluies qu'il fait depuis trois jours me mettent au désespoir; le Rhône me fait une peur étrange.
Page xxxix - Ah ! mon cher fils! est-il mort sur-le-champ? n'at-il pas eu un seul moment? Ah, mon Dieu! quel sacrifice! » Et là-dessus elle tombe sur son lit; et tout ce que la plus vive douleur peut faire, et par des convulsions, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des cris étouffés, et par des larmes amères, et par des élans vers le ciel, et par des plaintes tendres et pitoyables, elle a tout éprouvé.
Page 166 - Etoit moins attentif aux souris qu'au fromage. Et le reste. Cela est peint, et la Citrouille, et le Rossignol, cela est digne du premier tome. Je suis bien folle de vous écrire de telles bagatelles , c'est le loisir de Livry qui vous tue. Vous...