Recueil des lettres de madame la marquise de Sévigné, a madame la comtesse de Grignan, sa fille |
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Page xiv
... mois , et fut élevée par une mere et un oncle dont elle étoit tendrement aimée . Elle reçut une éducation supérieure à celle de son siecle des lectures vagues , une étude superficielle de l'histoire , une lé gere connoissance des ...
... mois , et fut élevée par une mere et un oncle dont elle étoit tendrement aimée . Elle reçut une éducation supérieure à celle de son siecle des lectures vagues , une étude superficielle de l'histoire , une lé gere connoissance des ...
Page li
... mois d'inquiétude pour celle de Madame de Grignan . Il falloit donc que vous fussiez vic- time de votre amour , ô mere tendre ! et que votre fille , en revenant à la vie , eût la douleur de vous pleurer pour tou- jours ! Si votre ...
... mois d'inquiétude pour celle de Madame de Grignan . Il falloit donc que vous fussiez vic- time de votre amour , ô mere tendre ! et que votre fille , en revenant à la vie , eût la douleur de vous pleurer pour tou- jours ! Si votre ...
Page lvii
... mois , demeura seule héritiere des biens de cette branche de Rabutin . Marie de Coulanges sa mere , et Christophe de Coulanges son oncle , pri- rent un soin particulier de son enfance , et s'appliquerent à faire valoir , par une ...
... mois , demeura seule héritiere des biens de cette branche de Rabutin . Marie de Coulanges sa mere , et Christophe de Coulanges son oncle , pri- rent un soin particulier de son enfance , et s'appliquerent à faire valoir , par une ...
Page lxiii
... mois que ma fille est » accablée d'une sorte de maladie , qu'on >> dit qui n'est point dangereuse , et que » je trouve la plus triste et la plus ef- » frayante de toutes celles qu'on peut * ( 1 ) Voyez le Recueil des Lettres chois.es ...
... mois que ma fille est » accablée d'une sorte de maladie , qu'on >> dit qui n'est point dangereuse , et que » je trouve la plus triste et la plus ef- » frayante de toutes celles qu'on peut * ( 1 ) Voyez le Recueil des Lettres chois.es ...
Page lxiv
... mois durant , comme elle fit pour les jours de sa fille , sans que cela prit beaucoup sur sa santé ; elle se re- levoit les nuits pour aller voir si sa fille dormoit , et s'oublioit ainsi elle - même , pour ne songer qu'à l'état de ...
... mois durant , comme elle fit pour les jours de sa fille , sans que cela prit beaucoup sur sa santé ; elle se re- levoit les nuits pour aller voir si sa fille dormoit , et s'oublioit ainsi elle - même , pour ne songer qu'à l'état de ...
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Common terms and phrases
Abbé Adieu admirable agréable aimable aime aise alloit amitié assez auroit avez avoit beau beauté belle Bretagne c'étoit charme château de Grignan chere enfant chose Christophe de Coulanges Claire-Clémence de Maillé-Brézé Coadjuteur coëffure cœur Comte connoissance Coulanges crois d'amitié d'Hacqueville dame déja Dieu dimanche dire disoit divertir donne enfin esprit Etats êtes étiez étoient étoit faisoit Fayette femme Gourville graces j'ai j'avois j'en j'étois jamais joie jolie l'Abbé l'autre jour Lavardin Lettres de Mad Livry m'aimez m'en Madame de Chaulnes Madame de Coulanges Madame de Grignan Madame de Montespan Madame de Sévigné Mademoiselle du Plessis mande maniere Marquise de Sévigné ment mercredi mille Molac monde Mousse n'ai n'en parler paroît passer pense petite plaisir Pomenars premiere Provence quelquefois raison ravie rien rire Rochers santé savez sentiments sera seroit soin soir songez souhaite tendresse trouve Vatel vendredi veux Vitré voilà vois voudrois
Popular passages
Page 24 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page xlviii - ... les dire ; de quelque façon qu'ils me viennent, ils sont reçus avec une sensibilité qui n'est comprise que de ceux qui savent aimer comme je fais.
Page 23 - Hé bien! il faut donc vous la dire: M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 23 - Hauteville ; une chose enfin qui se fera dimanche ; où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à vous la dire, devinez-la : je vous la donne en trois. Jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M.
Page 24 - Vous n'y êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire: il épouse, dimanche au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle, mademoiselle de .... mademoiselle: devinez le nom; il épouse Mademoiselle, ma foi! par ma foi! ma foi jurée! MADEMOISELLE, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu MONSIEUR...
Page 26 - ... son lit, sans rien avaler que des bouillons. Voilà un beau songe , voilà un beau sujet de roman ou de tragédie , mais surtout un beau sujet de raisonner et de parler éternellement...
Page 158 - Moreuil vient de me faire, à votre intention, de ce qui s'est passé à Chantilly touchant Vatel. Je vous écrivis vendredi qu'il s'était poignardé; voici l'affaire en détail : Le roi arriva le jeudi au soir; la promenade, la collation dans un lieu tapissé de jonquilles, tout cela fut à souhait. On soupa. Il y eut quelques...
Page 39 - Dieu, si l'on faisait son devoir; rien ne me donne de distraction ; je vois ce carrosse qui avance toujours, et qui n'approchera jamais de moi ; je suis toujours dans les grands chemins, il me semble que j'ai quelquefois peur (jue ce carrosse ne verse ; les pluies qu'il fait depuis trois jours me mettent au désespoir; le Rhône me fait une peur étrange.
Page xxxix - Ah ! mon cher fils! est-il mort sur-le-champ? n'at-il pas eu un seul moment? Ah, mon Dieu! quel sacrifice! » Et là-dessus elle tombe sur son lit; et tout ce que la plus vive douleur peut faire, et par des convulsions, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des cris étouffés, et par des larmes amères, et par des élans vers le ciel, et par des plaintes tendres et pitoyables, elle a tout éprouvé.
Page 166 - Etoit moins attentif aux souris qu'au fromage. Et le reste. Cela est peint, et la Citrouille, et le Rossignol, cela est digne du premier tome. Je suis bien folle de vous écrire de telles bagatelles , c'est le loisir de Livry qui vous tue. Vous...