Les lettres de Pline le jeune [tr. by L. de Sacy]. |
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Common terms and phrases
accufé Adieu affez affranchi ainfi ajoûtez amis Arrien auffi avez Avitus avoient avoit Bithinie c'eft C'eſt c'étoit caufe ceffe charge Chevalier Romain chofes choifi confeils conferver Confuls connoiffance Corellia coûtume De-là déja demande derniere Dieux difcours Domitien efclaves efprit enfuite enſemble eſt êtes étoient étoit falloit fans fçai fçais fçavoir feconde felon femble fent fera feroit fervice fervir feulement fiens foient foin foit fommes font fouhaite fous fouvent fuis fuivant fujet fupplie grace Harpocras homme j'ai j'avois j'en jour jufqu'à jufte l'accufation l'Empereur Trajan laiffe LETTRE XVII long-tems lorfque m'en Magiftrat mandez ment mille fefterces n'eft naiffance néceffaire Nicomédie ouvrage paffer paffion Pallas paroît particulierement perfonne plaider plaifir PLINE LE JEUNE plufieurs pourtant pouvoit préfent premiere Préteur public puiffe raifons refte refufer rien s'eft s'il Seigneur Sénat tems tendreffe Trajan à Pline très-cher Pline trouve x x x x x yous
Popular passages
Page 356 - ... plus de trois ans, les autres depuis un plus grand nombre d'années, quelques-uns depuis plus de vingt. Tous ces gens-là ont adoré votre image et les Statues des dieux; tous ont chargé le Christ de malédictions.
Page 42 - Chacun s'y rétablit de son mieux, et nous y passons une nuit entre la crainte et l'espérance, mais où la crainte eut la meilleure part , car le tremblement de terre continuait. On ne voyait que gens effrayés entretenir leur crainte et celle des autres par de sinistres prédictions.
Page 38 - Nous prenons le parti de quitter la ville : le peuple épouvanté nous suit en foule, nous presse, nous pousse ; et ce qui dans la frayeur tient lieu de prudence , chacun ne croit rien de plus sûr que ce qu'il voit faire aux autres. Après que nous fûmes sortis de la ville, nous nous arrêtons; et là, nouveaux prodiges, nouvelles frayeurs. Les...
Page 358 - convaincus , il les faut punir ; si pourtant l'accusé nie «qu'il soit chrétien , et qu'il le prouve par sa conduite, je « veux dire en invoquant les dieux , il faut pardonner à son «repentir, de quelque soupçon qu'il 'ait été auparavant «chargé. Au reste, dans nul genre de crime, l'on ne doit «recevoir des dénonciations qui ne sont souscrites de per« sonne, car cela est d'un pernicieux exemple et très éloi«gné de nos maximes.