Le génie du christianisme, Volume 1Librairie de Firmin Didot frères, 1844 - Art and religion |
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... terre , trois es- pèces d'ennemis l'ont constamment attaqué : les hérésiar- ques , les sophistes , et ces hommes en apparence frivoles , qui détruisent tout en riant . De nombreux apologistes ont victorieusement répondu aux subtilités ...
... terre , trois es- pèces d'ennemis l'ont constamment attaqué : les hérésiar- ques , les sophistes , et ces hommes en apparence frivoles , qui détruisent tout en riant . De nombreux apologistes ont victorieusement répondu aux subtilités ...
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... terre , et dont l'éloquence élève ou renverse des empires . Pour peindre le Fils divin , il nous suffira d'emprunter les paroles de celui qui le contempla dans sa gloire . « Il était assis sur un trône , dit l'Apôtre ; son visage ...
... terre , et dont l'éloquence élève ou renverse des empires . Pour peindre le Fils divin , il nous suffira d'emprunter les paroles de celui qui le contempla dans sa gloire . « Il était assis sur un trône , dit l'Apôtre ; son visage ...
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... terre , nous tous chrétiens vieillis dans le siècle , et non pas dans la foi . En ce temps - là la sagesse était sur les rochers , dans les antres avec les lions , et les rois allaient consulter le solitaire de la montagne . Jours trop ...
... terre , nous tous chrétiens vieillis dans le siècle , et non pas dans la foi . En ce temps - là la sagesse était sur les rochers , dans les antres avec les lions , et les rois allaient consulter le solitaire de la montagne . Jours trop ...
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... Émile , tom . II , pag . 201 , dans la note . 2 Questions Encycl . , tom . JII , pag . 234 , article Curé de campagne , sect . II . 3 TACIT . , Hist . avoir rappelé les ténèbres qui couvrirent la terre , la DU CHRISTIANISME . 33.
... Émile , tom . II , pag . 201 , dans la note . 2 Questions Encycl . , tom . JII , pag . 234 , article Curé de campagne , sect . II . 3 TACIT . , Hist . avoir rappelé les ténèbres qui couvrirent la terre , la DU CHRISTIANISME . 33.
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... terre , pour lui faire porter ses fleurs et ses ri- chesses . Mais , dira - t - on , que signifie cette Communion mystique , où la raison est obligée de se soumettre à une absurdité , sans aucun profit pour les mœurs ? Qu'on nous ...
... terre , pour lui faire porter ses fleurs et ses ri- chesses . Mais , dira - t - on , que signifie cette Communion mystique , où la raison est obligée de se soumettre à une absurdité , sans aucun profit pour les mœurs ? Qu'on nous ...
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Common terms and phrases
Adam âme amour anges antiques beauté Bible bonheur Bossuet céleste chant CHAPITRE charmes chose christianisme ciel cieux cœur corps culte d'Homère déserts Dieu dieux divine dogmes douleur Égypte Énée enfants enfin époux esprit éternelle eût Évandre Ève femme Fénelon fils fleuve forêts génie Génie du Christianisme Grecs Henriade héros Homère hommes humain idées Indiens Jésus-Christ joie jour l'âme l'amour l'antiquité l'athéisme l'Écriture l'Église l'Énéide l'esprit l'homme l'Iliade l'univers Louis XIV lumière malheur matière ment mère merveilleux Milton mœurs Moïse monde montagne morale mort mouvement mystères nature nuit oiseaux parle Pascal passé passions Patrocle peinture Pénélope pensée père peuple philosophie Platon pleurs poëme poésie poëte poétique POLYEUCTE polythéisme premier prêtre Priam principe qu'un raison religion chrétienne reste rien sacrés sagesse saint sciences semble sentiments serait seul siècle simplicité soleil solitaire solitude sorte sublime temples ténèbres terre Tertullien tombeau trouve Ulysse vérité vertu Virgile voix Voltaire yeux Zaïre
Popular passages
Page 179 - ... c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris; elle sort d'eux et elle y entre ; elle les pénètre et s'incorpore à eux comme les aliments s'incorporent à nous. Ils la voient , ils la sentent, ils la respirent ; elle fait naître en eux une source intarissable de paix et de joie.
Page 262 - Il n'est point de serpent ni de monstre odieux Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 308 - Juifs l'emporte aussi sur toi. «Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, «Ma fille.» En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 225 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance; Et le mien, quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 219 - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire.
Page 458 - ... plus d'églises que Platon n'ya gagné de disciples par cette éloquence qu'on a crue divine ; il prêchera Jésus dans Athènes, et le plus savant de ses sénateurs passera de l'aréopage en l'école de ce barbare ; il poussera encore plus loin ses conquêtes; il abattra aux pieds du Sauveur la majesté des faisceaux romains en la personne d'un proconsul, et il fera trembler dans leurs tribunaux les juges devant lesquels on le cite.
Page 399 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent, la première est la pure ignorance naturelle où se trouvent tous les hommes en naissant, l'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis, mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Page 219 - Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne les yeux, sa tombe est près de ce palais ; C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie; C'est là que de sa tombe il rappela sa vie.
Page 270 - Je dois ma vie au peuple, au prince , à sa couronne ; Mais je la dois bien plus au Dieu qui me la donne : Si mourir pour son prince est un illustre sort, Quand on meurt pour son Dieu , quelle sera la mort ! PAULINE.
Page 236 - Maîtresse de l'Asie; et je regarde enfin Quel fut le sort de Troie, et quel est son destin. Je ne vois que des tours que la cendre a couvertes, Un fleuve teint de sang, des campagnes désertes, Un enfant dans les fers; et je ne puis songer Que Troie en cet état aspire à se venger.