Étude et enseignement de la langue française à l'étrangerF. Didot frères, fils et Cie, 1858 - 296 pages |
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Popular passages
Page 274 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons.
Page 205 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 233 - ... nous étions, Français, imaginez un peu! chez nos plus mortels ennemis, seuls, égarés, si loin de tout secours humain! Et puis, pour ne rien omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent. Enfin il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit : il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin.
Page 203 - Le chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau , Le moindre vent qui d'aventure...
Page 274 - ... princes, soit qu'il la retire à lui-même, et ne leur laisse que leur propre faiblesse; il leur apprend leurs devoirs d'une manière souveraine et digne de lui. Car, en leur donnant sa puissance, il leur commande d'en user comme il fait lui-même pour le bien du monde...
Page 275 - Vous verrez dans une seule vie toutes les extrémités des choses humaines : la félicité sans bornes, aussi bien que les misères; une longue et paisible jouissance d'une des plus nobles couronnes de l'univers...
Page 203 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici, Contre leurs coups épouvantables, Résisté sans courber le dos ; Majs attendons la fin.
Page 284 - Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse ' rien ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 275 - Voilà les enseignements que Dieu donne aux rois : ainsi faitil voir au monde le néant de ses pompes et de ses grandeurs. Si les paroles nous manquent, si les expressions ne répondent pas à un sujet si vaste et si relevé, les choses parleront assez d'elles-mêmes. Le cœur...
Page 233 - Le souper fini, on nous laisse; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé. Une soupente élevée de sept à huit pieds , où l'on montait par une échelle , c'était là le coucher qui nous attendait ; espèce de nid , dans lequel on s'introduisait en rampant sous des solives chargées de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul , et se coucha tout endormi , la tête sur la précieuse valise. Moi , déterminé à veiller, je fis bon feu , et...