| François Peyrard - Philosophy of nature - 1793 - 182 pages
...pantelantes ? Comment leur odeur ne lui fit-elle pas soulever le cœur? Comment ne fut-il pas dégoûté , repoussé , saisi d'horreur , quand il vint à manier l'ordure de ces blessures , à nétoyer le sang noir et figé qui les couvroit ? les peaux rampoient sur la terre écorchées ; les... | |
| Plutarchus - 1802 - 488 pages
...comment leur odeur ne lui « fit-elle pas soulever le cœur ? comment ne fut-il pas « dégoûté, repoussé, saisi d'horreur, quand il vint à « manier...blessures, à nettoyer le sang « noir et figé qui les couvroit? « Les peaux rampoient sur la terre écorchées; « Les chairs au feu mugissoient embrochées... | |
| Plutarch - Greece - 1802 - 486 pages
...? comment leur odeur ne lui « lit-elle pas soulever le cœur? comment ne fut-il pas « dégoûté, repoussé, saisi d'horreur, quand il vint à « manier...blessures, à nettoyer le sang « noir et figé qui les couvroit ? K Les peaux rampoient sur la ferre écorcbées; «c Les chairs au feu mugissoient embrochées... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...pantelantes ? Comment leur odeur ne lui fit-elle pas soulever le cœur ? Comment ne fut-il pas dégoûté, repoussé, saisi d'horre.ur, quand il vint à manier l'ordure de ces blessures , à nettoyer le sang '«oir et figé qui les couvrait ? i ' * peaux rampaient sur la terre, écorchéés ; Les chairs au... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 556 pages
...les « couvroit? « Les peaux rampoient sur la .terre écorchées ; « Les chairs au feu mugissoient embrochées ; « L'homme ne put les manger sans frémir...gémir. « Voilà ce qu'il dut imaginer et sentir la pre« mière fois qu'il surmonta la nature pour faire « cet horrible repas , la première fois qu'il... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1820 - 572 pages
...? comment leur odeur » ne lui fit-elle pas soulever le cœur? comment ne » fut-il pas dégoûté, repoussé, saisi d'horreur, » quand il vint à manier...blessures , » à nettoyer le sang noir et figé qui les couvroit ? » Les peaux rampoient sur la terre écorchées; » Les chairs au feu mugissoient embrochées;... | |
| Plutarch - 1819 - 498 pages
...pantelantes? comment leur odeur ne lui fit-elle pas soulever le cœur? comment ne fut-il pas dégoûté, repoussé, saisi d'horreur, quand il vint à manier...l'ordure de ces blessures, à nettoyer le sang noir <ti figé qui les couvroit? - Les peaux rampoient sur la terre écorctiées: « Les chairs au feu mugissoient... | |
| French language - 1821 - 434 pages
...pantelantes? Comment leur odeur ne lui fit-elle pas soulever le cœur ? Comment ne fut-il pas dégoûté, repoussé, saisi d'horreur, quand il vint à manier...L'homme ne put les manger sans frémir, Et dans son seiu les entendit gémir. " Voilà ce qu'il dut imaginer et sentir, la première fois qu'il surmonta... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1826 - 490 pages
...pantelantes? comment leur odeur ne lui fit« elle pas soulever le cœur? comment ne fut-il pas « dégoûté, repoussé , saisi d'horreur, quand il vint à « manier...sang « noir et figé qui les couvrait? « Les peaux rampoient sur la terre écorche'es ; « Les chairs au feu rangissoient embrochées ; « L'homme ne... | |
| Lucius Annaeus Seneca - 1829 - 674 pages
...monstrum inniiit, Plutarchi etHoraeri imitator, JJRousseau, Emile, lib. II, de carnibus : L'homuie ne put les manger sans frémir, Et dans son sein les entendit gémir. 773. Piceus ignis, etc. Adeo atra est flamma, ut fumurn potius dicas. Sic Soph. Antig. 1006 : Ex &k... | |
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