Œuvres de Descartes, publiées: Eloge de René Descartes, par (A. L. Thomas. Discours de la méthode. Méditations métaphysiques. Objections aux Méditations avec les réponses de l'auteurF. G. Levrault, 1824 |
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... enfin que , tourmenté par des rivaux jaloux et foibles , il voulût une fois les accabler de son génie , et les épouvanter de toute la distance qui étoit entre eux et lui ( 16 ) . Mais ce qui prouve le mieux toute l'étendue de l'esprit ...
... enfin que , tourmenté par des rivaux jaloux et foibles , il voulût une fois les accabler de son génie , et les épouvanter de toute la distance qui étoit entre eux et lui ( 16 ) . Mais ce qui prouve le mieux toute l'étendue de l'esprit ...
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... enfin , lorsqu'elle traverse différents milieux , changer son cours , et se briser selon différentes lois . La lumière , mue en ligne droite , ou réfléchie , ou brisée , parvient jusqu'à l'organe qui doit la re- cevoir . Quel est cet ...
... enfin , lorsqu'elle traverse différents milieux , changer son cours , et se briser selon différentes lois . La lumière , mue en ligne droite , ou réfléchie , ou brisée , parvient jusqu'à l'organe qui doit la re- cevoir . Quel est cet ...
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... enfin , le genre humain est en droit d'accuser la nature , qui , l'ayant placé et comme suspendu entre deux infinis , celui de l'extrême grandeur et celui de l'extrême peti- tesse , a également borné sa vue des deux côtés , et lui ...
... enfin , le genre humain est en droit d'accuser la nature , qui , l'ayant placé et comme suspendu entre deux infinis , celui de l'extrême grandeur et celui de l'extrême peti- tesse , a également borné sa vue des deux côtés , et lui ...
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... les sels qui se détacheront des aliments et des liqueurs ; les der- niers enfin , dispersés sur toute la surface de la machine , ne peuvent être heurtés que par le con- tact et les parties grossières des corps solides : ainsi 56 ÉLOGE.
... les sels qui se détacheront des aliments et des liqueurs ; les der- niers enfin , dispersés sur toute la surface de la machine , ne peuvent être heurtés que par le con- tact et les parties grossières des corps solides : ainsi 56 ÉLOGE.
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... enfin cette grande course par l'homme , qui étoit l'objet et le but de ses travaux ; développant partout des lois mécaniques qu'il a devinées le premier ; des- cendant toujours des causes aux effets ; enchaînant tout par des ...
... enfin cette grande course par l'homme , qui étoit l'objet et le but de ses travaux ; développant partout des lois mécaniques qu'il a devinées le premier ; des- cendant toujours des causes aux effets ; enchaînant tout par des ...
Common terms and phrases
aisément âme assez athée aupa auroit avoit besoin c'est-à-dire c'étoit cause certes chose qui pense choses corporelles ci-devant cire clairement et distinctement composé concevoir connoissance connoître considérer corps créé cune cycloïde d'autres d'avec démontrer Descartes dessein devoit Dieu existe dire doute effet entendement esprit étoient étoit existence façon faculté falloit figure formellement fût Galilée géométrie hommes imaginer infini j'ai j'avois j'étois j'eusse jamais juger l'âme l'entendement l'esprit humain l'existence de Dieu l'homme l'idée de Dieu l'infini lement lumière naturelle Méditations métaphysiques ment moi-même monde mouvement n'ai n'avoit nature néanmoins nécessaire Newton noissance opinions paravant parcequ'il parceque paroît perfection persuader peut-être philosophie pourceque pourroit pouvois première prouver puissance puisse qu'une chose raison réalité objective réelle RENÉ DESCARTES s'ensuit s'il savoir sciences sées semblables semble sens sentiment seroit seulement siècles sinon sorte substance syllogisme tence tion touchant toutefois triangle trom trompe trouve ture Valteline vérité vois Voyez Méditation vrai
Popular passages
Page 141 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 142 - ... toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres...
Page 141 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples, et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 131 - Et j'avais toujours un extrême désir d'apprendre à distinguer le vrai d'avec le faux, pour voir clair en mes actions et marcher avec assurance en cette vie.
Page 253 - C'est une chose qui doute, qui entend, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent.
Page 131 - C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres; et, me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moi-même ou bien dans le grand livre du monde, j'employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens de diverses humeurs et conditions, à recueillir diverses expériences...
Page 122 - Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit bon, mais le principal est de l'appliquer bien. Les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices aussi bien que des plus grandes vertus ; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer beaucoup davantage, s'ils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent et qui s'en éloignent.
Page 136 - ... pour toutes les opinions que j'avais reçues jusques alors en ma créance, je ne pouvais mieux faire que d'entreprendre une bonne fois de les en ôter afin d'y en remettre par après, ou d'autres meilleures, ou bien les mêmes, lorsque je les aurais ajustées au niveau de la raison.
Page 158 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu, ni ne dépend d'aucune chose matérielle.
Page 273 - Et de là il suit non-seulement que le néant ne saurait produire aucune chose, mais aussi que ce qui est plus parfait, c'est-à-dire qui contient en soi plus de réalité, ne peut être une suite et une dépendance du moins parfait : et cette vérité n'est pas seulement claire et évidente dans les effets qui ont cette réalité que les philosophes appellent actuelle ou formelle, mais aussi dans les idées où l'on considère seulement la réalité qu'ils nomment objective...