 | Aristoteles, Horace, Marco Girolamo Vida, Nicolas Boileau Despréaux - Aesthetics - 1771 - 820 pages
...n'admet point un pompeux barbarisme , 1 6 o Ni d'un vers empoulé l'orgueilleux solécisme. ' Sans la langue , en un mot , l'Auteur le plus divin Est...toujours , quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. TRAVAILLEZ à loisir, quelque ordre qui vous presse, Et ne vous piquez point d'une folle vitesse. 1... | |
 | Charles Batteux - Literature - 1771 - 392 pages
...esprit n'admet point un pompeux barbarisme, lôo Ni d'un vers empoulé l'orgueilleux solecisme. Sans la langue , en un mot, l'Auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse , un méchant ecrivain. TRAVAILLEZ à loisir, quelque ordre qui vous presse. Et ne vous piquez point d'une folle... | |
 | Aristoteles - 1771 - 354 pages
...esprit n'admet point un pompeux barbarisme," 160 Ni d'un vers empoulé l'orgueilleux solecisme. Sans la langue , en un mot , l'Auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse , un méchant ecrivain. TRAVAILLEZ à loisir, quelque ordre qui vous presse. Et ne vous piquez point d'une folle... | |
 | Voltaire - 1775 - 430 pages
...parle ou qui écrit. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Eft toujours quoi qu'il fafle un méchant écrivain. Et nous entendions par les défauts du langage non - feulement les folécifmes & les barbarifmes dont le théatre a été infefté ; mais l'obfcurité... | |
 | Voltaire - 1791 - 376 pages
...ou qui écrit : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Eft toujours , quoi qu'il fafle , un méchant écrivain. et nous entendions par les défauts du langage non- feulement les folécifmes et les barbarifmes dont le théâtre a été infecté, mais l'obfeurité,... | |
 | Europe - 1808 - 584 pages
...btutfunOtn »cu«. 3Ran {ana ее Den fallen (Senté í?í>,v titrn nid)t oft genug jurufen : Sane la langue en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. 3<$ beranftaite bon Det ert»á$nfen @d)rifí If г 6 ein' ОемГфе Ueberfeçung, uno í)abe uieftns... | |
 | Pierre Corneille - 1797 - 454 pages
...un grand homme qui avait ouvert la carïière ; et c'est à présent sur-tout qu'on peut dire : Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse , un mauvais écrivain. Ainsi notre amitié , triomphante à son tour, Vaincra la jalousie en cédant à... | |
 | Corneille - 1797 - 422 pages
...sera-t-on pas révolté de cette foule d'impropriétés et de barbarismes ?Le sévàra Boileau a dit : Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fn'sFii, un méchant i-criram. Mais souvenons-nous aussi que lorsque Corneille faisait les beaux morceaux... | |
 | Pierre Corneille - 1797 - 426 pages
...pas révolté de cette foule d'impropriétés et de barbarismes ? Le sévère Boileau a dit : Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il lasse , 1111 méchant écrivain. ^ Mais souvenons-nous aussi que lorsque Corneille faisait les beaux... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 pages
...Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme. Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est...toujours , quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. Travaillez à loisir , quelque ordre qui vous presse ( i ), Et ne vous piquez point d'une folle vitesse... | |
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Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. 
