Grammaire Française |
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... avons , pour des idées et des pensées de retour fréquent , des messagers laconiques qui rivalisent de vitesse avec l'esprit lui - même , comme la sténographie avec la parole : ce sont les abréviatives . Ainsi , les relations de position ...
... avons , pour des idées et des pensées de retour fréquent , des messagers laconiques qui rivalisent de vitesse avec l'esprit lui - même , comme la sténographie avec la parole : ce sont les abréviatives . Ainsi , les relations de position ...
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... avons deux genres , le masculin et le féminin : IL est mon frère , ELLE est ma sœur . Quant aux objets sans sexe , nous en parlons comme s'ils en avaient un , nous les animons . Ainsi , nous disons d'un arbre , IL est grand ; d'une ...
... avons deux genres , le masculin et le féminin : IL est mon frère , ELLE est ma sœur . Quant aux objets sans sexe , nous en parlons comme s'ils en avaient un , nous les animons . Ainsi , nous disons d'un arbre , IL est grand ; d'une ...
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... avons deux cas , le nominatif pour l'agent , et l'accusatif pour le patient : je , me ; tu , te . Les pronoms personnels sont : Cas . Personne . Genre . Nombre . Nom . Acc . 1 m.-f. Sing . je me 231 23 m . -f . tu te m . , f . il , elle ...
... avons deux cas , le nominatif pour l'agent , et l'accusatif pour le patient : je , me ; tu , te . Les pronoms personnels sont : Cas . Personne . Genre . Nombre . Nom . Acc . 1 m.-f. Sing . je me 231 23 m . -f . tu te m . , f . il , elle ...
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... avons aussi : 1 , les pronoms - adjectifs , combinant avec l'idée d'objet exprimée par le pronom de la troisième per- sonne les idées de certains attributs que l'esprit assigne à un objet , quand il le considère en relation avec un ...
... avons aussi : 1 , les pronoms - adjectifs , combinant avec l'idée d'objet exprimée par le pronom de la troisième per- sonne les idées de certains attributs que l'esprit assigne à un objet , quand il le considère en relation avec un ...
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... avons quelques uns ; et , pour exprimer cette pluralité avec gradation quant au nombre , nous avons peu , plu- sieurs , beaucoup , tous . Les nombres s'emploient aussi comme pronoms in- définis . Le pronom relatif redésigne l'objet ...
... avons quelques uns ; et , pour exprimer cette pluralité avec gradation quant au nombre , nous avons peu , plu- sieurs , beaucoup , tous . Les nombres s'emploient aussi comme pronoms in- définis . Le pronom relatif redésigne l'objet ...
Common terms and phrases
abréviatives Acad accessoires accusatif acte adjectifs ordinaux combinés adverbes adverbialement aigle aima ils aimeraient articles indéfinis attributs avant une voyelle avons Boileau Bruyère Buffon ceindre Châteaubriand cieux combinés avec l'article conditionnel conduire conjonction CONJUGAISON conjugue consonnes Corneille désigne les objets dubitatif employé enfants équivalant euphonie excepté exprime femelle Fénelon fini il finisse font Fontaine formes foudre futur genre gens h muette hommes Hugo idée IMPARFAIT COMPOSÉ INFINITIF J. J. Rousseau L'ABRÉVIATIVE L'Académie conserve l'acte l'adjectif l'adverbe l'esprit l'exemple suivant l'imparfait l'impératif l'interjection l'objet Lamartine langue latin locutions mentir négative nom composé nom nomme nombres s'emploient nomme les objets PARFAIT participe actif participe passif pensée pentamètre phrase PREMIÈRE CONJUGAISON prennent préposition pronom indéfini pronom possessif pronom relatif pronoms-adjectifs Racine rime Rochefoucauld s'accorde s'emploie qu'à sens servons seul sorte de neutre sous-entendu suivent la règle superlatif syllabes syntaxe terminaison traire TROISIÈME CONJUGAISON troisième personne unipersonnel verbe actif verbe neutre verbe passif Voltaire
Popular passages
Page 108 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 107 - J'ai vu l'impie adoré sur la terre; Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux; II semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.
Page 107 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 107 - En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Page 107 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 108 - LA CIGALE ET LA FOURMI La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 107 - Demande à Philomèle Pourquoi , durant les nuits , sa douce voix se mêle Au doux bruit des ruisseaux sous l'ombrage roulant. Je chantais, mes amis, comme l'homme respire, Comme l'oiseau gémit, comme le vent soupire, Comme l'eau murmure en coulant.
Page 107 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 105 - Repose-toi, mon âme, en ce dernier asile, Ainsi qu'un voyageur qui, le cœur plein d'espoir, S'assied, avant d'entrer, aux portes de la ville, Et respire un moment l'air embaumé du soir.
Page 55 - La philosophie triomphe aisément des maux passés et des maux à venir, mais les maux présents triomphent d'elle.