Grammaire française |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Common terms and phrases
Acad accusatif acte actif adjectifs adverbes aimé articles auteurs avant avons ayant belle Bruyère ceindre chose ciel combinant comparatif composé conditionnel conduire conjonction CONJUGAISON consonnes courir défini désigne dire discours doit donner dubitatif employé enfants Enfin excepté exemples exprime féminin Fénelon fini font Fontaine formes foudre futur général genre gens grec guère heureux hommes idée IMPARFAIT indéfinis indique J. J. Rousseau J'ai l'accusatif l'acte l'adjectif l'article l'autre l'esprit l'homme l'idée l'infinitif l'objet l'un Lamartine langage langue latin lieu locutions marque masculin membre mentir mettre mots muet négative neutre nombre nominatif nomme objet PARFAIT parlant participe passé passif pensée personne phrase place pluralité pluriel premier prend prennent préposition présent pronom pronom relatif proprement qu'à qu'un Racine rapporte regardé règle relatif remarques rend reste rime s'accorde s'emploie s'emploient s'il second sens sentiment sera sert seul signifie simple singulier sorte souvent suivant tenir terminés troisième personne trouve verbe Voltaire voyelle yeux
Popular passages
Page 109 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 107 - J'ai vu l'impie adoré sur la terre; Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux; II semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.
Page 108 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 107 - En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Page 107 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 109 - LA CIGALE ET LA FOURMI La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 109 - Demande à Philomèle Pourquoi , durant les nuits , sa douce voix se mêle Au doux bruit des ruisseaux sous l'ombrage roulant. Je chantais, mes amis, comme l'homme respire, Comme l'oiseau gémit, comme le vent soupire, Comme l'eau murmure en coulant.
Page 109 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 107 - Repose-toi, mon âme, en ce dernier asile, Ainsi qu'un voyageur qui, le cœur plein d'espoir, S'assied, avant d'entrer, aux portes de la ville, Et respire un moment l'air embaumé du soir.
Page 55 - La philosophie triomphe aisément des maux passés et des maux à venir, mais les maux présents triomphent d'elle.