La Métaphysique, Volume 1J. Vrin., 1840 |
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absolument accidentel accidents admettent Alexandre d'Aphrodisée Anaxagore de Clazomène antérieur Arist Aristote Aristotelis Asclepius avons axiômes Bekker Bessarion Brandis c'est-là cause finale chose cipe commentaire connaissance contraire Coriscus d'Alexandre d'Aristote d'Empedocle définition démonstration déterminé Dieu différence dire doctrine dyade effet éléments Empedocle enfin essence éternels évident exemple forme général genre homme idées impossible l'accident l'autre l'essence l'être l'existence l'homme l'infini l'unité l'univers livre lui-même mathématiques matière ment Métaphysique monde moteur musicien nature nécessairement nombre non-être notion objets sensibles Parménide particulier pensée Philopon philosophie Physique Platon pluralité premier produit propre Protagoras puissance Pythagore Pythagoriciens qu'Aristote qu'être qu'une quæ question raison rapport Ravaisson relation rien s'il Schol Scolastique sens Sepulv Sepulveda sera seule science Socrate sorte Sturtz substance sujet Syrianus système Théophraste théorie des idées tion traducteur traduction unité vérité Voyez vrai γὰρ δὲ εἶναι ἐν καὶ κατὰ μὲν μὴ περὶ τὰ τὸ τοῖς τοῦ τῷ τῶν
Popular passages
Page 123 - Mais quand même l'homme n'aurait pas la science , quand il n'aurait que des opinions, il faudrait qu'il s'appliquât beaucoup plus encore à l'étude de la vérité; comme le malade s'occupe plus de la santé que l'homme qui se porte bien. Car celui qui n'a que des opinions, si on le compare à celui qui sait, est., par rapport à la vérité, dans un état de maladie.
Page 1 - ... s'acquiert pas non plus par la sensation, car bien que la sensation se rapporte à telle qualité générale et non pas seulement à tel objet particulier, il n'y en a pas moins nécessité de sentir une chose spéciale, dans tel lieu et dans tel moment
Page lxxxv - L'être immobile meut comme objet de l'amour, et ce qu'il meut imprime le mouvement à tout le reste. Or, pour tout être qui se meut il ya possibilité de changement.
Page 20 - ... ils pensèrent que les éléments des nombres sont les éléments de tous les êtres, et que le ciel, dans son ensemble, est une harmonie et un nombre. Toutes les concordances qu'ils pouvaient découvrir dans les nombres et dans la musique avec les phénomènes du ciel et ses parties, et avec l'ordonnance de l'univers, ils les réunissaient, ils en composaient un système. Et si quelque chose manquait, ils employaient tous les moyens pour que le système présentât un ensemble complet. • Dans...
Page 26 - Platon dès sa jeunesse s'était familiarisé, dans le commerce de Cratyle son premier maître, avec cette opinion d'Héraclite, que tous les objets sensibles sont dans un écoulement perpétuel, et qu'il n'ya pas de science possible de ces objets. Plus tard il conserva cette même opinion. D'un 'autre côté, disciple de Socrate...
Page 28 - Les idées étant les causes des autres êtres, il regarda leurs éléments comme les éléments de tous les êtres : sous le point de vue de la matière, les principes sont le grand et le petit; sous le point de vue de l'essence, c'est l'unité. Car, c'est en tant qu'elles ont le grande!
Page 28 - Car, c'est en tant qu'elles ont le grande! le petit pour substance, et que d'un autre côté elles participent de l'unité , que les idées sont les nombres. Sur ce point que l'unité est l'essence par excellence , et que rien autre chose ne peut prétendre à ce titre, Platon est d'accord avec les Pythagoriciens ; que les nombres soient les causes de l'essence des autres êtres, c'est ce qu'il reconnaît encore avec eux. Mais remplacer par une dyaile1 l'infini considéré comme un, constituer l'infini...
Page 8 - III. Il est évident qu'il faut acquérir la science des causes premières , puisque nous disons qu'on sait , quand nous pensons qu'on connaît la première cause. Or, on distingue quatre causes. La première est l'essence...
Page lxxxix - bibliothèque à Nélée, qui la fit porter à Scepsis, et la laissa à ses successeurs , gens sans » instruction , qui gardèrent les livres renfermés sous clef, et n'y donnèrent aucun soin. » Plus tard, quand on apprit avec quel empressement les rois...
Page 178 - On dit qu'ils ont une quantité, qu'ils sont continus, à cause de la divisibilité des êtres dont ils sont des modifications ; divisibilité, non point de l'être en mouvement, mais de l'être auquel s'est appliqué le mouvement. C'est parce que cet être a quantité, qu'il ya quantité aussi pour le mouvement; et le temps n'est une quantité que parce que le mouvement en est une.