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II.-1. Votre cordonnier vend-il des chaussures toutes faites ?-Oui, il a des bottes (f.), des bottines, des souliers et des pantoufles. 2. Où avez-vous acheté ces bottes vernies?-Je les ai achetées chez un bottier de Paris. 3. Portez-vous des souliers à double semelle ?-Oui, j'en porte l'hiver, et quand il fait mauvais temps. 4. Ces bottes vous vont-elles bien?-Elles me chaussent on ne peut mieux.

5. Les chaussures françaises sont-elles solides?-Elles sont peut-être moins solides qu'élégantes. 6. Ne portez-vous jamais de guêtres?—Si, j'en porte quelquefois quand je vais à la campagne. 7. Me conseillezvous d'envoyer ces souliers chez le savetier?-Oui, et tout savetier qu'il est, il vous les raccommodera très-proprement. 8. Avez-vous des chaussures minces pour l'été ?—Non, aussi ai-je commandé des souliers légers.

Exercise. (Dressing.)

1.-1. Do you wear stockings ?—No, I wear socks. 2. How does your hosier sell his cotton socks ?-He sells them 2 francs* A pair. 3. Who has made you these shirts?-A Paris* shirtmaker. 4. How do you wear your collars ?-Turned down. 5. Does your washerwoman undertake to mend the linen ?—No, but she irons it to perfection* (f.).

II.-1. Does your bootmaker sell ready-made boots ?-Yes, he keeps readymade boots-and-shoes of all sizes. 2. Where have you bought these boots?—At the bootmaker's where you (have) bought your slippers and your patent-leather boots. 3. Are these boots strong ?-Yes, and they fit to perfection* (f.). 4. When do you wear gaiters ?-When I go to the country; sometimes I wear doublesoled shoes. 5. Will the cobbler mend these shoes?—Yes, and cobbler though he be, he will mend them very neatly.

109. Cent-huitième conversation.-(Seconde partie.)

LA TOILETTE. (POUR LES MESSIEURS.)—(Suite et fin.) I.-1. Avez-vous trouvé ces gants chez votre parfumeur?-Non, ce sont des gants glacés que j'ai reçus de Paris. 2. Y a-t-il un bon gantier dans votre rue?-Il y a un marchand qui vend des gants, mais il n'en fabrique pas. 3. Ses gants sont-ils solides et bien faits?—Il a des gants français d'excellente qualité. 4. Oscar ne change-t-il pas de gants plusieurs fois par jour ?-Il lui en faut deux paires par jour. 5. Avezvous remarqué comme il est bien ganté ?-Oui, et comme il est bien chaussé, bien cravaté et bien coiffé !

II.-1. Ce chapeau me coiffe-t-il bien ?—Il vous va à ravir; regardez-" vous dans la glace. 2. Ces gants me vont-ils bien ?-Ils vous gantent admirablement. 3. Vos bottines vous chaussent-elles bien ?-Elles me gênent un peu; il faudra que je les fasse mettre sur l'embouchoir pour les élargir. 4. Ce linge est-il fin?-Oui, mais il n'est pas bien repassé. 5. Ce gilet va-t-il bien ?--Les entournures en sont un peu étroites. 6. Qui est-ce qui vous habille?-C'est toujours le même tailleur; depuis qu'il est devenu à la mode, il néglige un peu ses pratiques. 7. Où avez-vous acheté cette robe de chambre?-C'est mon tailleur qui me l'a faite; la doublure en est très-chaude.

Colloquial Exercise.-(Dressing.)

(DIRECTION.-The questions should first be answered by the teacher.)

1. A quelle heure vous habillez-vous ? 2. Où vous habillez-vous? 3. Avec quoi vous brossez-vous les cheveux? 4. Avec quoi faites-vous votre raie? 5.

De quelle pommade vous servez-vous? 6. De quel savon vous servez-vous ? 7. Avec quoi vous nettoyez-vous les ongles? 8. Avec quoi vous essuyez-vous les mains? 9. Faites-vous votre toilette en pantoufles? 10. Qui est-ce qui fait votre noeud de cravate? 11. Avec quoi brossez-vous vos habits? 12. Qui estce qui cire vos chaussures ?-(The pupil should write answers of his own.)

109. Cent-neuvième conversation.

LA TOILETTE.—(Pour les dames.)

PRINCIPAUX OBJETS DE LA TOILETTE D'UNE DAME.

[blocks in formation]

Un col, a collar.

Un peigne, a comb.

Un peignoir, a morning-gown.
Des manchettes (f.), cuffs.
Une ceinture, a band, a sash.
Une boucle, a buckle.'
Une broche, a brooch.
Un collier, a necklace.
Une bague, a ring.

Des boucles d'oreilles, ear-rings.
Un flacon, a scent-bottle.
Des bracelets (m.), bracelets.
Des épingles (r.), pins.
Une pelote, a pin-cushion.

I.-1. Êtes-vous contente de votre couturière ?—Non, elle m'habille rarement bien. 2. Aimez-vous les manches ouvertes?-Pour une robe habillée je les préfère aux manches fermées. 3. Les manches fermées ne sont-elles pas très-chaudes ?-Si, je les trouve même incommodes l'été. 4. Portez-vous un bonnet dans la maison ?-Je porte un bonnet-coiffure très-léger.

5. Où se fabriquent les meilleures dentelles françaises?—A Valenciennes, à Alençon, à Chantilly, &c. 6. Fabrique-t-on de beaux châles à Paisley-Oui, on y fait de très-belles imitations de cachemires français. 7. Les gants français ne sont-ils pas les meilleurs ?-Si, ce sont les neilleurs pour la qualité, la coupe et les nuances. 8. N'aimez-vous pas la manière dont les Françaises se chaussent ?-Si, le pied de ces dames gagne beaucoup à l'élégance de leurs chaussures. 9. Les volants ne sontils pas très-gracieux ?-Si, et je regrette qu'elles sont passées de mode. 10. Aimez-vous les plis dans une jupe ?-Oui, c'est très-joli dans une jupe de mousseline ou de toute autre étoffe claire.

II.-1. Quelle robe portez-vous en soirée ?-Je porte une robe décolletée, si l'on doit danser. 2. N'aviez-vous pas une robe décolletée à la dernière soirée musicale ?-Non, j'avais une robe montante. 3. Quelle robe aviez-vous au concert?-J'avais une robe de soie de couleur claire. 4. Quelle toilette faites-vous pour aller à l'opéra ?-Je mets une robe décolletée, de la dentelle ou quelques fleurs dans mes cheveux, et j'emporte ma sortie de bal que je mets s'il fait froid. 5. Votre marchande de modes a-t-elle un bel assortiment de coiffures ?-Oui, il y a du choix chez elle rubans, dentelle, fleurs, tout y est fort joli. 6. Où sont votre éventail et votre ombrelle ?-Je les ai laissés sur la banquette de la voiture. 7. Votre voile est-il en dentelle ?-Oui, il est en (dentelle de) Chantilly.

8. En quoi est votre manchon?-Il est en martre-zibeline. 9. Qui vous a vendu ce boa?-C'est le pelletier chez lequel vous avez acheté votre palatine. 10. Est-il en zibeline?-Il est de la même fourrure que mon manchon. 11. Votre pelletier a-t-il un grand choix d'hermines?Oui, il est on ne peut mieux monté en fourrures de tout genre. 12.

N'avez-vous pas perdu votre bracelet en or?-Non, c'est mon collier de perles fines que j'ai perdu. 13. En quoi est cette broche?--Elle est en corail, j'ai toute la parure assortie. 14. Avez-vous choisi cette boucle en or pour votre cousine Julie ?-Non, c'est pour moi; je lui destine des boucles d'oreilles en diamants. 15. Ne va-t-elle pas se marier samedi ?— Si, je suis une des demoiselles d'honneur. 16. Avez-vous vu son trousseau ?-Oui, il est très-beau, elle me l'a montré en détail.

Exercise. (Translation and Reading.)

ROUENNERIES, NOUVEAUTÉS, SOIERIES, FOURRURES, ETC.

1. Aujourd'hui, mes chères enfants, nous allons nous rendre chez le marchand de nouveautés. Voyez l'enseigne: "Aux Villes de France." Quel éclat, quelle splendeur, quelles salles vastes et hautes! on dirait un bazar; les tiroirs, les comptoirs, les montres sont travaillés d'une manière admirable. Que de glaces, de dorures! le velours, le satin, l'or, l'argent brillent de toutes parts. On foule aux pieds des tapis dignes de l'empereur de Turquie, et les siéges, les causeuses ne seraient pas déplacés dans le palais d'un roi. Ici, sont les toiles de Hollande, de Bretagne; les cotons, les cretonnes, les percales, les calicots, les jaconas, les organdis, les mousselines unies, brochées; les batistes, les linons, les gazes, les madapolams, les guingans, les coutils, les cotonnades; là, des mouchoirs de tous prix, de toutes grandeurs, des cols de toutes formes, depuis le col plat piqué ou brodé d'un point de chaînette, jusqu'au col de mousseline brodé au plumetis et garni d'une riche valenciennes. Plus loin, s'étalent les produits de la bonneteric; des bas de coton blanc, bleu, gris, écru; fins, gros, minces, unis, à jours ou bredés.

2. Voici l'article des soieries: quelle variété de couleurs! quelle fraîcheur éclatante! voyez ces levatines, ces marcelines, ces taffetas, ces gros de Naples, ces pous de soie marron, gorge de pigeon, amarante, orange, cerise; et ccs soies chinées, brochées; ces reps si fermes, si forts, aux riches nuances, et ces velours simulés, épinglés. Je suis tout éblouie de l'éclat de ces nouveautés. Voyez aussi ces manteaux, ces burnous, ces écharpes, ces châles tout ouatés, doublés de soic grise, rose, bleue; et ces camails garnis de passementerie, d'effilés, de dentelles si riches, si hautes. Mais voici l'endroit des fourrures: voyez le cygne, la martre, l'hermine, le renard des Pyrénées réunis en masse; puis des manchons, des boas, des palatines, le tout superbe et de belle qualité. Mais voici les stoffs, l'alépine, l'escot, le mérinos uni, lisse, croisé; le cachemire, le satin de laine, le chaly, le pékin, le pou de laine. Regardez bien, mes enfants; un autre jour nous verrons la mercerie, la ganterie et les rubans.-MNE DEBIERNE-REY.

110. Cent-dixième conversation.-(Première partie.)

PROMENADE À LA CAMPAGNE.

—(A walk in the country.)

I.-1. Connaissez-vous le fermier ?—Oui, c'est un très-brave homme; allons le voir. 2. La ferme ne se trouve-t-elle pas au coin d'un bois ?— Si, elle est abritée par un très-joli bois. 3. Où va ce charretier ?—Il va porter de l'engrais dans les champs. 4. Prendrons-nous ce chemin de traverse?-Oui; nous allons nous trouver dans un pays charmant, plein de petits ruisseaux et de haies d'aubépine. 5. Faut-il sauter par-dessus la barrière?-Non, il y a un tourniquet. 6. Serons-nous obligés de traverser la grand'route ?--Non; nous pourrons aller le long des haies jusqu'au hameau.

II.-7. Où ce cantonnier trouve-t-il toutes ces pierres ?-Elles viennent de la carrière que vous voyez de l'autre côté de la route. 8. Connaissezvous l'église du village?-Oui, c'est une petite église couverte en ardoise; nous apercevrons le clocher tout à l'heure. 9. Voulez-vous venir au

presbytère?-Oui, c'est une jolie habitation au milieu d'un beau jardin. 10. Connaissez-vous le pasteur ?-Oui, il a été mon professeur; il sera charmé de voir un de ses anciens élèves. 11. L'église n'est-elle pas dans ce bouquet de sapins ?-Si, et derrière l'église se trouve le presbytère. 12. Lirons-nous quelques-unes des épitaphes du cimetière ?—Oui, et il y en a d'assez curieuses et de très-anciennes.

Exercise. (Translation and Reading.)

SI LES HOMMES NE TE VOIENT PAS, DIEU TE VOIT.

M. DE LA FERRIÈRE se promenait un jour dans les champs avec Fabien, son plus jeune fils. C'était un beau jour d'automne, et il faisait encore grand chaud. "Mon papa," lui dit Fabien, en tournant la tête du côté d'un jardin, le long duquel ils marchaient alors, “j'ai bien soif.”

"Et moi aussi, mon fils," lui répondit M. de la Ferrière. prendre patience, jusqu'à ce que nous arrivions à la maison."

"Mais il faut

Fabien-Voilà un poirier chargé de bien belles poires. Voyez, c'est du

doyenné. Ah! que j'en mangerais une avec plaisir !

M. de la Ferrière.-Je le crois sans peine; mais cet arbre est dans un jardin fermé de toutes parts.

Fab.-La haie n'est pas trop fourrée, et voici un trou par où je pourrais bien

passer.

M. de la Fer.-Et que dirait le maître du jardin, s'il était là?

Fab.-Oh! sûrement, il n'y est pas, et il n'y a personne qui puisse nous voir. M. de la Fer.-Tu te trompes, mon enfant. Il y a quelqu'un qui nous voit, et qui nous punirait avec justice, parce qu'il y aurait du mal à faire ce que tu me

proposes.

Fab.-Et qui serait-ce donc, mon papa ?

M. de la Fer.-Celui qui est présent partout, qui ne nous perd jamais un instant de vue, et qui voit jusque dans le fond de nos pensées, Dieu. Fab.-Ah! vous avez raison: je n'y songe plus.-BERQUIN.

(La suite à la prochaine leçon.)

Cent-dixième conversation.-Seconde partie.)

PROMENADE À LA CAMPAGNE.—(Suite et fin.

See p. 150.)

I.—1. Est-ce là l'école du village ?—Oui, et voilà les écoliers qui sortent; sont-ils heureux! 2. Connaissez-vous le maître d'école ?—Je l'ai vu à l'église; c'est lui qui est le chantre. 3. Est-ce le maire qui demeure dans cette maison à contrevents verts?-Non, c'est le médecin du village. 4. Qui est-ce qui habite cette jolie maisonnette blanche ?— C'est le maître d'école. 5. Que pensez-vous de ces chaumières avec leurs vergers?-Elles ont un air de propreté qui respire le bien-être. 6. Demeurez-vous dans un pays montagneux ?-Non, j'habite un pays plat, un peu monotone, mais admirable de fertilité et de culture. 7. Voulez-vous venir nous reposer chez le meunier?—Avec plaisir; nous prierons la meunière de nous donner du laitage. 8. N'entendez-vous pas le tic-tac du moulin?-Si; on l'entend de bien plus loin. 9. Quand apercevrons-nous les grands ormes?- Quand nous aurons passé la rivière à gué.

II.-10. Ces canards sont-ils au meunier?—Oui, ainsi que ces oies et ces deux beaux cygnes. 11. Voyez-vous la chute d'eau ?-Oui, c'est une très-jolie cascade. 12. Traversons-nous le marais?-Oui, prenons garde aux tourbières. 13. Y a-t-il des canards sauvages dans ce marais?Oui, il y vient aussi des sarcelles, des bécassines, &c. 14. Où est le bois? -Nous y arriverons dans une demi-heure; il y a des fraises délicieuses.

15. Y a-t-il une source dans le bois ?-Il y a une source d'eau excellente dans la clairière. 16. Vous désaltérerez-vous à cette fontaine ?--Oui, et nous y ferons un petit repas composé de pain et de fraises. 17. La clairière est-elle au milieu du bois?—Non, mais elle est assez avant dans le bois. 18. Habitez-vous un pays plat?-Non, nous habitons un pays très-accidenté.

Exercise. (Translation and Reading.)

SI LES HOMMES NE TE VOIENT PAS, DIEU TE VOIT.—(Fin.)

Au même instant, il se leva de derrière la haie, un homme qu'ils n'avaient pu voir, parce qu'il était étendu sur un banc de gazon. C'était un vieillard à qui appartenait le jardin, et qui parla de cette manière à Fabien :

"Remercie Dieu, mon enfant, de ce que ton père t'a empêché de te glisser dans mon jardin, et d'y venir prendre une chose qui ne t'appartenait pas. Apprends qu'au pied de ces arbres, on a tendu des piéges pour surprendre les voleurs; tu t'y serais cassé les jambes, et tu serais resté boiteux pour toujours. Mais, puisque au premier mot de la sage leçon que t'a faite ton père, tu as témoigné de la crainte de Dieu, et que tu n'as pas insisté plus longtemps sur le vol que tu méditais, je vais te donner avec plaisir des fruits que tu désires."

A ces mots, il alla vers le plus beau poirier, secoua l'arbre, et porta à Fabien son chapeau rempli de poires.

M. de la Ferrière voulait tirer de l'argent de sa bourse, pour récompenser cet honnête vieillard; mais il ne put l'engager à céder à ses instances. "J'ai eu du plaisir, monsieur, à obliger votre enfant, et je n'en aurais plus, si je m'en laissais payer. Il n'y a que Dieu qui paye ces choses-là."

M. de la Ferrière lui tendit la main par-dessus la haie; Fabien le remercia aussi dans un assez joli compliment; mais il lui témoignait sa reconnaissance d'une manière encore bien plus vive, par l'air d'appétit avec lequel il mordait dans les poires, dont l'eau ruisselait de tous côtés.

"Voilà un bien brave homme," dit Fabien à son papa, lorsqu'il cut fini la dernière poire, et qu'ils se furent éloignés du vieillard.

M. de la Ferrière.-Oui, mon ami: il l'est devenu, sans doute, pour avoir pénétré son cœur de cette grande vérité, que Dieu ne laisse jamais le bien sans récompense, et le mal sans châtiment.

Fabien.-Dieu m'aurait donc puni si j'avais pris les poires?

M. de la Fer.-Le bon vieillard t'a dit ce qui te serait arrivé.

Fab.-Mes pauvres jambes l'ont échappé belle! Mais ce n'est pas Dieu qui a tendu lui-même ces piéges?

M. de la Fer-Non sans doute, ce n'est pas lui-même; mais les piéges n'ont pas été tendus à son insu, et sans sa permission. Dieu, mon cher enfant, règle tout ce qui se passe sur la terre, et il dirige toujours les événements de manière à récompenser les gens de bien de leurs bonnes actions, et à punir les méchants de leurs crimes.-BERQUIN.

111. Cent-onzième conversation.-(Première partie.)

UNE MAISON DE CAMPAGNE ET SES DÉPENDANCES.-(A country house, &c.) I.-1. Habitez-vous cette maison de campagne depuis long temps?Nous y sommes depuis le printemps. 2. Vos chevaux sont-ils dans l'écurie (f.)?-Oui, et si vous avez envie de vous promener (à cheval), ils sont à votre disposition. 3. Les vaches sont-elles dans l'étable?--Oui, la laitière est àt les traire. 4. Le vacher est-il dans le pré?-Oui, mais il ya rentrer avec les veaux. 5. Le jardinier est-il dans la serre ?-Non, il est dans le jardin fleuriste; il arrose les plates-bandes. 6. La jardinière estelle dans la serre-chaude?-Non, elle cueille des légumes dans le potager.

ti. e., La laitière est occupée à les traire.

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