Questions contemporaines |
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Page 15
... terre par tant de liens , par tant de puissances , par tant de plaisirs , sera - t - il prêt à en sacrifier volontairement quelque chose à la justice , à son pays , au bien des autres hommes ? ( 1 ) Epitre xcvii à l'auteur du livre des ...
... terre par tant de liens , par tant de puissances , par tant de plaisirs , sera - t - il prêt à en sacrifier volontairement quelque chose à la justice , à son pays , au bien des autres hommes ? ( 1 ) Epitre xcvii à l'auteur du livre des ...
Page 31
... terre . Pourquoi donc portez - vous votre enfant souriant à la source que vous dites empoisonnée ? N'êtes - vous pas son père pour le préserver , le sauver de ce que vous avez cru être le mal , le faux , la mort ! Et c'est vous qui l'y ...
... terre . Pourquoi donc portez - vous votre enfant souriant à la source que vous dites empoisonnée ? N'êtes - vous pas son père pour le préserver , le sauver de ce que vous avez cru être le mal , le faux , la mort ! Et c'est vous qui l'y ...
Page 32
... terre natale . En serait - il de même dans un pays catholique ? Entre l'amas de superstitions grossières amoncelées depuis des siècles par l'Église de Rome et la foi si simple , si pure de l'unitairien , il y a un abime . Cet abîme peut ...
... terre natale . En serait - il de même dans un pays catholique ? Entre l'amas de superstitions grossières amoncelées depuis des siècles par l'Église de Rome et la foi si simple , si pure de l'unitairien , il y a un abime . Cet abîme peut ...
Page 40
... terre , Et renier le reste , est - ce donc être heureux ? Non , c'est cesser d'être homme et dégrader son âme . Ces vers d'un Enfant du siècle sont bien le cri de notre époque . Quiconque connaît le temps présent avouera qu'un profond ...
... terre , Et renier le reste , est - ce donc être heureux ? Non , c'est cesser d'être homme et dégrader son âme . Ces vers d'un Enfant du siècle sont bien le cri de notre époque . Quiconque connaît le temps présent avouera qu'un profond ...
Page 47
... terre ? quand elle devient loi politique et qu'ils en- seignent qu'elle doit l'être ? quand elle jouit d'immenses biens qu'elle accroit sans relâche , et qu'ils s'en déclarent proprié- taires , tellement qu'y toucher serait non un pur ...
... terre ? quand elle devient loi politique et qu'ils en- seignent qu'elle doit l'être ? quand elle jouit d'immenses biens qu'elle accroit sans relâche , et qu'ils s'en déclarent proprié- taires , tellement qu'y toucher serait non un pur ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 280 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 344 - Entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos pensées, il n'y en a qu'une qui soit la bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre.
Page 312 - Tout est bien , sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme.
Page 141 - Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 202 - Les bonnes institutions sociales sont celles qui savent le mieux dénaturer l'homme , lui ôter son existence absolue pour lui en donner une relative , et transporter le moi dans l'unité commune; en sorte que chaque particulier ne se croie plus un , mais partie de l'unité, et ne soit plus sensible que dans le tout.
Page 81 - Nul ne peut être contraint de concourir d'une manière quelconque aux actes et aux cérémonies d'un culte ni d'en observer les jours de repos.
Page 44 - Je ne puis ; — malgré moi l'infini me tourmente. Je n'y saurais songer sans crainte et sans espoir ; Et, quoi qu'on en ait dit, ma raison s'épouvante De ne pas le comprendre, et pourtant de le voir.
Page 80 - La liberté des cultes, celle de leur exercice public, ainsi que la liberté de manifester ses opinions en toute matière sont garanties, sauf la répression des délits commis à l'occasion de l'usage de ces libertés.
Page 69 - C'est l'esprit qui vivifie : la chair ne sert de rien : Les paroles que je vous dis sont esprit et vie.
Page 125 - La justice est le produit de cette faculté : c'est le respect, spontanément éprouvé et réciproquement garanti, de la dignité humaine, en quelque personne et dans quelque circonstance qu'elle se trouve compromise, et à quelque risque que nous expose sa défense.