Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales ; Le Parnasse parla le langage des halles ; La licence à rimer alors n'eut plus de frein ; Apollon travesti devint... Le romantisme des classiques - Page 176by Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1888Full view - About this book
| Adrien Baillet - Criticism - 1722 - 490 pages
...yeux <£ abord , plût par fa nouveauté, On ne vit plus en vers que. pointes triviales. Je Parnafjè parla le langage des Halles. La licence à rimer alors n'eut plus de frein j •Apollon travefti devint un Tabarin.. , Cette contagion .infetta les Provincest I f Elles font... | |
| Charles Batteux - Literature - 1771 - 392 pages
...nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales. Le Parnasse parla le langage des haies. .8 5 La licence à rimer alors n'eut plus de frein. Apollon...*. Cette contagion infecta les provinces, Du Clerc & du Bourgeois passa jusques aux Princes. Le plus mauvais plaisant eut ses approbateurs , 90 Et jusqu'à... | |
| Aristoteles - 1771 - 354 pages
...nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales. Le Parnasse parla le langage des haies. 8 5 La licence à rimer alors n'eut plus de frein. Apollon travesti devint un Tabarin 4. Cette contagion infecta les provinces, Du Clerc ck du Bourgeois passa jusques aux Princes. Le plus... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - French literature - 1776 - 394 pages
...les yeux d'abord , plut par fa nouveauté. On ne vit plus en vers que pointe triviales. Le ParnafTe parla le langage des halles. La licence à rimer alors n'eut plus de frein. •Apollon travefti devint un Tabarin {/). Cetre conragion infecta les provinces , Du clerc & du bourgeois pafla... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1782 - 366 pages
...les yeux d'abord , plut par fa nouveauré. On ne vit plus en vers que pointes triviales : Le Parnafle parla le langage des halles :" La licence à rimer alors n'eut plus de frein. Apollon travefti devint un Tabarîn. Certe contagion infefta les. provinces , Du clerc Je du bourgeois pafla... | |
| Scarron (Monsieur) - 1786 - 366 pages
...sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. On ne vk plus en vers que pointes triviales. Le Parnasse parla le. langage...halles. La licence à rimer , alors n'eut plus de fceioÇ Apollon travesti devint un Tabarin. Cette contagion infecta les proviucesj *, î- * » » |>u... | |
| Ovid - 1799 - 438 pages
...Boileau a fait connoître en deux mots le mérite de cet ouvage dans son art poétique , où il dit : (i) Le plus mauvais plaisant eut ses approbateurs , Et jusqu'à d'Assoucy , tout trouva des lecteurs. (i) L'auteur de cette vie d'Ovide ne parle pas de la traduction des fastes, publiée en i/84.... | |
| Publius Ovidius Naso - 1798 - 438 pages
...Boileau a fait connoître en deux mots le mérite de cet ouvage dans son art poétique , où il dit : (i) Le plus mauvais plaisant eut ses approbateurs , Et jusqu'à d'Assoucy , tout trouva des lecteurs. (i) L'auteur de cette vie d'Ovide ne parle pas de la traduction des fastes, publiée en 1/84,... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 pages
...fut extrêmement en vogue do puis le commencement du dernier siecle jusquts vers i660 qu'il tomba. . Le Parnasse parla le langage des halles : La licence...un Tabarin. Cette contagion infecta les provinces , J)u clerc et du bourgeois passa jnsques aux princes I Le plus mauvais plaisant eut ses approbateurs;... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...plus de frein ; •'^ Le Parnasse parla le langage des halles: ....'-. . Apollon travesti devint nn Tabarin. Cette contagion infecta les provinces, Du...passa jusques aux princes : Le plus mauvais plaisant ent ses approbateurs ; Et, jusqu'à d'Assouci (i), tont trouva des lecteurs. Mais de ce style enfin... | |
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