| Voltaire - 1740 - 246 pages
...JEt le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On put à Dcfpréaux pardonner la fatire ; Jl joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le miel que cette Abeille avoit tiré des fleurs, Pouvoit de fa piquure adoucir les douleurs : Mais , pour un lourd Frelon ,... | |
| Voltaire - 1757 - 430 pages
...Et le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; II joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le...cette abeille avait tiré des fleurs , Pouvait de Ci -piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frêlon , méchamment imbéctlle , Qui vit du... | |
| Voltaire, Claude Villaret - French poetry - 1759 - 300 pages
...fTline Lettre écrite à un Académicien de Berlin•» Oh peut à Defpréaux pardonner la fatyre, 1I joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le miel que cette abeille ayait tiré des fleurs , Pouvait de fa piquure adoucir les douleurs. Mais gour un lourd frelon , méchamment... | |
| Voltaire, Claude Villaret - 1760 - 310 pages
...Académicien de Berlin. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre, II joignit l'art de plaire au plaifir de médire. Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs , Pouvait de fa piquure adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon méchamment imbécille , Qui vit du mal qu'il... | |
| Voltaire - 1757 - 440 pages
..., Et le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; Il joignit l'art de plaire au malheur de médire....cette abeille avait tiré des fleurs , Pouvait de Ci piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon , méchamment imbécille , Qui vit du mal... | |
| Voltaire - 1764 - 466 pages
...Et le prouvant très bien , du moins par fes écrite On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; II joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le...cette abeille avait tiré des fleurs, Pouvait de fa piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon , méchamment imbécile , Qui vit du mal qu'il... | |
| Voltaire - 1766 - 388 pages
...Sont le loyer de quiconque ofe écrire Oy peut à Defpréau* pardonner la. fa~ tyre : 11 joignit tan de plaire au malheur de médire. Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs, • Pouvait de la piquure adoucir les doit-' leurs : Mais pour un lourd frélon , méchamment imbécile t Qui vit... | |
| Voltaire - 1770 - 484 pages
...confciÙer. Et le prouvant très bien, du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; Il joignit l'art de plaire au malheur de médire....cette abeille avait tiré des fleurs, Pouvait de fa piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frélon, méchamment imbécile, Qui vit du mal qu'il... | |
| Voltaire - 1771 - 524 pages
...Et le prouvant très bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatire ; II joignit l'art de plaire au malheur de médire. Le...cette abeille avait tiré des fleurs. Pouvait de fa piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon, méchamment imbécile, Qui vit du mal qu'il... | |
| Voltaire - French poetry - 1771 - 464 pages
...le prouvant très-bien , du moins par fes écrits. On peut à Defpréaux pardonner la fatyre ; ïl joignit l'art 'de plaire au malheur de médire. Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs, TROISIEME i) i à c ô uk S.Pouvait de fa piquûre adoucir les douleurs. Mais pour un lourd frelon,... | |
| |