| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1812 - 462 pages
...pourquoi vieillit-on ? Oh, mon tuteur , pardonnez-le-moi , je déteste la vie. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi ; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient, sans peneer, sans réfléchir, sans sentir ; chacun... | |
| Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 892 pages
...nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient sans penser,...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude, et moi j'étais abîmée dans les réflexions les plus noires : je pensais que j'avais passé ma vie... | |
| Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 534 pages
...ennuyeux; tous me quittèrent à une heure, et tous me laissèrent sans regret. — J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient sans penser, sans réfléchir, sans sentir; chacun... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1857 - 498 pages
...vrai; mais pourquoi sommes-nous sur terre, et surtout pourquoi vieillit-on?... J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude : Mm« la duchesse d'Aiguillon crevait de rire; Mme de Forcalquier dédaignait tout; Mme de La Vallière... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 774 pages
...chasser sa mélancolie, ne faisait que l'entretenir dans ses idées noires : « J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude. Madame la duches.-e d'Aiguillon crevait de rire, madame de Forcalquier dédaignait tout, madame de... | |
| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - French letters - 1865 - 852 pages
...s'affaiblit terriblement ; il anra bien de la peine à passer l'hiver1. « «J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes...sans sentir. Chacun jouait son rôle par habitude : madame la duchesse d'Aiguillon crevait de rire, madame de Forcalquier dédaignait tout, madame de... | |
| Arts - 1865 - 1014 pages
...l'ennuie, et les retours sur elle-même que ces réflexions lui suggèrent. J'admirais, hier au soir, la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude. Mmo la duchesse d'Aiguillon crevait de rire, Mme de Forcalquier dédaignait tout, Mme de La Vallière... | |
| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1865 - 854 pages
...surtout pourquoi vieillit-on? O mon tuteur, pardonnez-le-moi, je déteste la vie. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi ; hommes...allaient, venaient, parlaient, riaient, sans penser, i II avait dit dans la lettre ci-dessus mentionnée, et qui était datée de Rath : • Je lis les... | |
| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1865 - 848 pages
...pourquoi vieillit-on? O mon tuteur, pardonnez- le- moi, je tlcteste la vie. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes...allaient, venaient, parlaient, riaient, sans penser, i II avait dit dana la lettre ri.dtvwns mentionnée, et qui était datée dr Rath : « Je lis les Essais... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - France - 1871 - 782 pages
...avec les noms propres au bas des portraits, de peur qu'il n'y ait erreur. « J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient, sans penser, sans réfléchir, sans sentir. Chacun... | |
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