| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 364 pages
...petites contrariétés. Mon père voudroit toujours disposer de mon temps, ou du moins en connoître l'emploi. Nous ne sommes plus ensemble comme nous...l'enfance, des entraves de la jeunesse. Nous avons chacundu chemina faire pour nous rapprocher ; lui, pour sepersuader que j'ai acquis le droit d'avoir... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 176 pages
...petites contrariétés. Mon père voudroit toujours disposer de mon temps, ou du moins en connoître l'emploi. Nous ne sommes plus ensemble comme nous...trop dégagé de l'assujettissement de l'enfance, îles entraves de la jeunesse. s Nous avons chacun du chemin à faire pour nous rapprocher; lui, pour... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...voudrait toujours disposer de mon temps ou du moins en connaître l'emploi. Nous ne sommes plus enr semble comme nous étions avant son départ. Ces trois mois,...d'arranger ma vie d'après l'honneur, mais suivant mes goûts; moi, pour me rappeler qu'il ya si peu de temps que mon père réglait encore toutes mes actions.... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...mouvement qui nous échappe. Que nons sommes heureux ! CHAPITRE XXIII. J'ai osé dire que j'étais heureux.... Ah ! que ma situation est changée! Il...d'arranger ma vie d'après l'honneur, mais suivant mes goûts; moi, pour me rappeler qu'il ya si peu de temps que mon père réglait encore toutes mes actions.... | |
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