| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 364 pages
...liberté. Cet aveu dissipa toutes mes craintes ; et, forcés de prévoir quelques peines, au moins nous ire craignions plus de malheurs. Madame d'Estouteville...Je lui demandai d'approuver notre union : elle nous écoutoit comme des enfants qui se bercent d'espérances trompeuses. Alors, à genoux aux pieds d'Athénaïs,... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 176 pages
...sans force pour refuser le seul moyen de nous voir. Aussi, après avoir hésité quelques instants, elle me permit d'engager la maréchale à commencer...lui rendre sa liberté. Cet aveu dissipa toutes mes craintes ; et, forcés de prévoir quelques peines, au moins nous ne craignions plus de malheurs. Madame... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...veille : la certitude d'être six mois séparés ne lui laissait plus la force de refuser le seul moyen de nous voir. Aussi, après avoir hésité quelques...d'Estouteville vint nous rejoindre. Elle me gronda d'avoirsuivi sa petite-fille; elle la réprimanda de n'avoir pas été plus maîtresse d'elle méme.... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...plus la force de refuser le seul moyen de nous voir. Aussi ..après avoir hésité quelques instants , elle me permit d'engager la maréchale à commencer...moins nous ne craignions plus de malheurs. Madame d'Estouleville vint nous rejoindre. Elle me gronda d'avoir suivi sa petite-fille; elle la réprimanda... | |
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