| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 364 pages
...une profonde " et constante douleur se nourrit de sou" venirs qu'un sentiment plus vif ne " pourroit supporter." Ces deux tableaux doivent avoir été...Leurs cadres noirs, tant de jeunesse et de charmes qui n'étoient plus, me causoient une émotion inexprimable. La maréchale s' en aperçut. <* Je fie voulois... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 198 pages
...venirs qu'un sentiment plus vif ne" pourroit supporter." Ces deux tableaôx doivent avoir été laits en même temps." Leurs cadres noirs, tant de jeunesse et de charmes qui n'é- ' toient plus, mecausoient une émotion inexprimable. La maréchale s'en aperçut. " Je ne Voulois... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...père. —Sûrement, reprit-elle, parce qu'il l'a trop regrettée. Ma douleur, douce et constante , s'est nourrie de souvenirs qu'un sentiment plus vif...— « Je ne voulais pas que vous entrassiez ici, rcprittlle, et c'est pour cela que je vous avais fait prier de m'attendre; car vous savez, Eugène,... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...père. — Sûrement, reprit-elle, parce qu'il l'a trop regrettée. Ma douleur, douce et constante, s'est nourrie de souvenirs qu'un sentiment plus vif...vous avais fait prier de m'attendre ; car vous savez, Eugène, que je suis bien aise de vous voir à toutes les heures. » Je considérais le portrait de... | |
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