 | Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 176 pages
...épouse. . , ." Mon père ayant éprouvé une injusticeavoit quitté la cour encore jeune, et s'étoit retiré dans ses terres. Là, sans rien regretter, sans rien vouloir, sans jamais se plaindre, il avoit acquis l'importance et l'autorité dont jouissoient autrefois les seigneurs... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...droit naturel du cher de sa famille ; la soumission de ma mère, l'état convenable d'une épouse. » Mon père, ayant éprouvé une injustice, avait quitté...jouissaient autrefois les seigneurs suzerains. Juste, loval, bienfaisant, vraiment noble, son château était le rendez-vous de toute la province. Appui... | |
 | Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...naturel du chef de la famille ; la soumission de ma mère, l'état convenable d'une épouse. » Mou père, ayant éprouvé une injustice, avait quitté...encore jeune et s'était retiré dans ses terres. La, sans rien regretter, sans rien vouloir, sans daigner se défendre , il avait acquis l'importance... | |
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Mon père ayant éprouvé une injustice avait quitté la cour encore jeune , et s'était retiré dans ses terres. Là, sans rien regretter, sans rien vouloir, sans daigner se défendre, il avait acquis l'importance et l'autorité dont jouissaient autrefois... 