Actes de l'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de BordeauxHotel des sociétés savantes, 1877 - Science "Compte rendu des seances," appended to each colume, beginning with v. 18, 1856. |
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... MINIER . Faire de la morale en prose Et n'être pas trop endormant , C'est difficile assurément ; Mais , en vers , c'est bien autre chose : On a beau de fleurs l'émailler , Sermon qui rime fait bâiller . Pour t'exprimer , pauvre morale ...
... MINIER . Faire de la morale en prose Et n'être pas trop endormant , C'est difficile assurément ; Mais , en vers , c'est bien autre chose : On a beau de fleurs l'émailler , Sermon qui rime fait bâiller . Pour t'exprimer , pauvre morale ...
Page 37
... est un flot limpide , abondant , Où la raison se désaltère . Son vers aimable a la douceur Du trésor qu'amasse l'abeille ; Il s'est souvenu que l'oreille Est le plus court chemin du cœur ! A M. HIPPOLYTE MINIER PAR M. TH . FROMENT . 37.
... est un flot limpide , abondant , Où la raison se désaltère . Son vers aimable a la douceur Du trésor qu'amasse l'abeille ; Il s'est souvenu que l'oreille Est le plus court chemin du cœur ! A M. HIPPOLYTE MINIER PAR M. TH . FROMENT . 37.
Page 38
... MINIER PAR M. TH . FROMENT . En recevant ces vers , trop indulgents sans doute , Où d'un petit ruisseau qui s'enfuit goutte à goutte Tu fais une onde aux flots jaseurs , J'ai compris que tous deux , ayant mèmes étoiles , Au même vent du ...
... MINIER PAR M. TH . FROMENT . En recevant ces vers , trop indulgents sans doute , Où d'un petit ruisseau qui s'enfuit goutte à goutte Tu fais une onde aux flots jaseurs , J'ai compris que tous deux , ayant mèmes étoiles , Au même vent du ...
Page 598
... Minier au congrès de 1861 , que « le plus souvent elle nous emprunte , en hommes et » en idées , ces rayons qui font son éclat , et qu'au juste >> orgueil de sa science elle ne doit point ajouter le dédain » de la nôtre . » Quarante ...
... Minier au congrès de 1861 , que « le plus souvent elle nous emprunte , en hommes et » en idées , ces rayons qui font son éclat , et qu'au juste >> orgueil de sa science elle ne doit point ajouter le dédain » de la nôtre . » Quarante ...
Page 630
... MINIER ( He ) , rue Pèlegrin , 39-41 . 1859. VILLIET ( JOSEPH ) C. + , route d'Espagne , 61 et 63 . 1862. LESPIAULT , professeur d'astronomie à la Faculté des Sciences , rue Michel - Montaigne , 5 . 1862. ROUX , professeur de ...
... MINIER ( He ) , rue Pèlegrin , 39-41 . 1859. VILLIET ( JOSEPH ) C. + , route d'Espagne , 61 et 63 . 1862. LESPIAULT , professeur d'astronomie à la Faculté des Sciences , rue Michel - Montaigne , 5 . 1862. ROUX , professeur de ...
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Actes année Arch Aristide Cavaillé-Coll arrondissement de Libourne aultres avecques Barrault bateaux Bazas BELLOT DES MINIÈRES Blaignac Bourdeaulx Branne Brives-Cazes Brugnac Brunet Bulletin Cabarra canton de Branne ceste charge Charles Des Moulins Charles Durand château chevalier clavier collègue Cubzac d'Arpaillan Dezeimeris donner Dordogne écuyer esté facteur faict fief François Ier frère Froment Garonne général Gironde Guienne Guyenne homme j'ay janvier jeux jour jurats l'abbé BELLOT l'église l'orgue Laubesc Leo Drouyn lettre Libourne livres Loquin Lugagnac maçonnerie maison noble Manuscrit 6948 mars membre ment Messieurs mètres mode de bac Monsieur Montremblant monuments Motte Moulins Naujan Navarre Noailles Oré orgue paroisse de Postiac passage passé Perponcher pieds Pierre piles présents Président Prêtre Jean projets de ponts Puch Rétou rivière Romagne Saint-Vidal Sauvagnac Sauve savant Scaliger Sciences séances seigneur de Blaignac seigneur de Sauvagnac sera sieur Société terre tion transfusion travaux travée Valat XVIIe siècle δὲ καὶ τὰ τὸ
Popular passages
Page 593 - Jette au gouffre éternel tes anges mutilés. Les clous du Golgotha te soutiennent à peine ; Sous ton divin tombeau le sol s'est dérobé : Ta gloire est morte, ô Christ ! et sur nos croix d'ébène Ton cadavre céleste en poussière est tombé...
Page 247 - Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire : les grands sujets lui sont défendus ; il les entame quelquefois , et se détourne ensuite sur de petites choses, qu'il relève par la beauté de son génie et de son style.
Page 592 - Je ne crois pas, ô Christ ! à ta parole sainte. Je suis venu trop tard dans un monde trop vieux. D'un siècle sans espoir naît un siècle sans crainte ; Les comètes du nôtre ont dépeuplé les cieux.
Page 27 - Leur siècle est en dépôt dans leurs nobles volumes. Tout a changé pour nous, mœurs, sciences, coutumes, Pourquoi donc nous faut-il, par un pénible soin, Sans rien voir près de nous, voyant toujours bien loin, Vivant dans le passé, laissant ceux qui commencent, Sans penser, écrivant d'après d'autres qui pensent, Retraçant un tableau que nos yeux n'ont point vu, Dire et dire cent fois ce que nous avons lu?
Page 567 - Restaurer un édifice, ce n'est pas l'entretenir, le réparer ou le refaire; c'est le rétablir dans un état complet, qui peut n'avoir jamais existé à un moment donné.
Page 592 - Eu se frappant le cœur, baiser tes pieds sanglants; Et je reste debout sous tes sacrés portiques, Quand ton peuple fidèle, autour des noirs arceaux, Se courbe en murmurant sous le vent des cantiques, Comme au souffle du nord un peuple de roseaux.
Page 235 - Par bonheur, nous sommes dans un siècle où les vues commencent sensiblement à s'étendre de tous côtés; tout ce qui peut être pensé ne l'a pas été encore, l'immense avenir nous garde des événements que nous ne croirions pas aujourd'hui, si quelqu'un pouvait les prédire».
Page 296 - Barrault, chevalier, conseiller du roi en ses conseils d'État et privé, capitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances...
Page 620 - Sont exemptés de l'observation des formalités précitées, les travaux des aspirants aux médailles d'encouragement et aux prix dont l'obtention aurait exigé des recherches locales, ou des procès-verbaux d'expériences qu'ils auraient faites euxmêmes. Sont admis à concourir, les étrangers et les régnicoles, même ceux de ces derniers qui appartiennent à l'Académie à titre de membres correspondants.
Page 91 - et que si l'Europe reçut, dès le milieu du douzième siècle, une vague notion de l'existence en Asie d'un souverain prince et pontife à la fois, adonné à des croyances qui étaient ou semblaient être celles d'une secte chrétienne; cette notion, vraie peutêtre au moment où elle se répandit en Occident, cessa bientôt, par l'effet des bouleversements politiques, d'être susceptible d'une application réelle».