Thèses d'histoire et nouvelles historiques |
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Page 173
... s'écria la Pseudo - Philosophie , n'est - il pas vrai qu'à tort ou à raison , la nation française était en 1791 opposée à Louis XVI et aspirait à la démocratie ? La question est mal posée . Ce qu'il y a de vrai , c'est que la position ...
... s'écria la Pseudo - Philosophie , n'est - il pas vrai qu'à tort ou à raison , la nation française était en 1791 opposée à Louis XVI et aspirait à la démocratie ? La question est mal posée . Ce qu'il y a de vrai , c'est que la position ...
Page 182
... s'écria la Philosophie de l'histoire , vous êtes bien sévère pour tant d'hommes savants et illustres , qui , de l'aveu de tous , honorent la France et peut - être le monde ! - Je ne parle pas d'eux , esprit volage que vous êtes , mais ...
... s'écria la Philosophie de l'histoire , vous êtes bien sévère pour tant d'hommes savants et illustres , qui , de l'aveu de tous , honorent la France et peut - être le monde ! - Je ne parle pas d'eux , esprit volage que vous êtes , mais ...
Page 282
... s'écria - t - il , est digne d'envie . Ainsi mourut Phaé- ton , après avoir chevauché comme moi . » On trouve dans les poésies de Gombaud une épigramme contre une femme extrêmement petite , dont le fond ressem- ble à celle - ci , mais ...
... s'écria - t - il , est digne d'envie . Ainsi mourut Phaé- ton , après avoir chevauché comme moi . » On trouve dans les poésies de Gombaud une épigramme contre une femme extrêmement petite , dont le fond ressem- ble à celle - ci , mais ...
Page 297
... s'écria le capitaine en voyant Sainval et re- connaissant tout le manége à la clarté des torches ! - Comment , traître ! reprit Sainval ; prenez donc garde , capitaine , avec une telle expression vous flétrissez vos lau- riers . C'est ...
... s'écria le capitaine en voyant Sainval et re- connaissant tout le manége à la clarté des torches ! - Comment , traître ! reprit Sainval ; prenez donc garde , capitaine , avec une telle expression vous flétrissez vos lau- riers . C'est ...
Page 300
... s'écria Sainval , que je suis l'oison ; vous reste- rez l'aigle . Je suis content de mon lot , soyez - le du vôtre , et terminous ici une discussion dont les suites seraient plus tristes encore que le commencement . » NINON CHEZ DES ...
... s'écria Sainval , que je suis l'oison ; vous reste- rez l'aigle . Je suis content de mon lot , soyez - le du vôtre , et terminous ici une discussion dont les suites seraient plus tristes encore que le commencement . » NINON CHEZ DES ...
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Common terms and phrases
amis amour Anecdotes dramatiques assez avez BALANCIER Bautru Bièvre Boileau bouts-rimés brèves c'est-à-dire c'était Callicratidas Charles X chose Christine composés comte d'Albert comte de Gabalis DÉMOC dialogue Dieu dire donner doute Dulot Duryer épigramme Epit Est-ce êtes Eutrop femme FÉN Gabalis Germanicus gouvernement Hérault Hist hommes Ibid j'ai jamais Joinville jugement l'abbé de Villars l'Attaignant l'infinitif laisser Languille Lasphrise latin Lycurgue Lysandre Marc Aurèle Maupin ment mieux Mlle Mme Deshoulières monde Monseigneur Morand mort mots n'ai n'avait Orgon parler passé Pellegrin pensée personne peuple Phèdre philosophie pièce plaisir Plutarch poëme poésie poëte pouvait Pradon présent prétérit prince qu'un raison répondit reprit reste rien rimes Romains s'écria s'il saint Louis Sainval sais Sarazin sénat serait seul sonnet Spart Sueton surtout syllabes théâtre Tibère tion Titus tragédie trouve verbes vérité veux Vieux poëtes voilà Voisenon voulez Voyez vrai
Popular passages
Page 366 - Cette âme si superbe est enfin dépendante. Depuis près de six mois , honteux , désespéré , Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis ; absente, je vous trouve...
Page 372 - N'est là que pour montrer deux énormes tétons, Que, malgré sa froideur, Hippolyte idolâtre. Il meurt enfin, traîné par ses coursiers ingrats, Et Phèdre, après avoir pris de la Mort aux Rats, Vient, en se confessant, mourir sur le théâtre.
Page 383 - C'est chez elle toujours que les fades auteurs S'en vont se consoler du mépris des lecteurs. Elle y reçoit leur plainte , et sa docte demeure Aux Perrins, aux Coras, est ouverte à toute heure.
Page 371 - Dans un fauteuil doré, Phèdre tremblante et blême Dit des vers où d'abord personne n'entend rien.
Page 182 - Totus mundus fabula est. Ce monde-ci n'est qu'une œuvre comique Où chacun fait ses rôles différents. • Là, sur la scène, en habit dramatique, Brillent prélats, ministres, conquérants. Pour nous, vil peuple , assis aux derniers rangs, Troupe futile, et des grands rebutée, Par nous d'en bas la pièce est écoutée ; Mais nous payons, utiles spectateurs; Et quand la farce est mal représentée, Pour notre argent nous sifflons les acteurs.
Page 94 - On sent en soi-même un plaisir secret lorsqu'on parle de cet empereur ; on ne peut lire sa vie sans une espèce d'attendrissement : tel est l'effet qu'elle produit, qu'on a meilleure opinion de soi-même, parce qu'on a meilleure opinion des hommes.
Page 379 - Dans un palais doré, Damon jaloux et blême Fait des vers où jamais personne n'entend rien. Il n'est ni Courtisan, ni Guerrier, ni Chrétien; Et souvent pour rimer, il s'enferme lui-même. La Muse, par malheur le hait autant qu'il l'aime, II a d'un franc Poète et l'air et le maintien.
Page 190 - Il ya, par exemple, grande différence entre imaginer le triangle et entendre le triangle. Imaginer le triangle, c'est s'en représenter un d'une mesure déterminée, et avec une certaine grandeur de ses angles et de ses côtés ; au lieu que . l'entendre, c'est en connaître la nature, et savoir en général que c'est une figure à trois côtés, sans déterminer aucune grandeur ni proportion particulière.
Page 484 - La grotte de la déesse était sur le penchant d'une colline. De là on découvrait la mer, quelquefois claire et unie comme une glace, quelquefois follement irritée contre les rochers, où elle se brisait en gémissant, et élevant ses vagues comme des montagnes.
Page 379 - En blâmant ses écrits, ai-je d'un style affreux Distillé sur sa vie un venin dangereux? Ma muse, en l'attaquant, charitable et discrète, Sait de l'homme d'honneur distinguer le poète.