Philosophie de Kant: Examen de la Critique du jugementLadrange, 1850 - 331 pages |
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admettre Anaxagore arts arts figuratifs attribue beauté beaux-arts c'est-à-dire caractère causalité cause intelligente causes finales cept chose cipe concept déterminé concevoir concordance conditions connaissance conséquent considération contemplation Critique du Jugement Descartes dessein destination distinction distingue doctrine effet Épicure espèces de jugements esprit expliquer facultés de connaître fonde formes franç général Herder idée déterminée indépendamment intel jugements de goût jugements esthétiques jugements logiques jugements téléologiques jugeons Kant veut kantienne l'agréable l'art l'entendement l'esprit l'existence de Dieu l'expérience l'explication l'idée l'imagination l'intuition l'objet lois lui-même ments de goût nature nécessaire objets organisés particulier philosophie Philosophie de l'esprit physique plaisir du beau pouvons premier preuve principe à priori principe régulateur produit purement mécaniques qu'une question raison pratique raison pure rapport réalité objective réelle rien satisfaction Schelling science seconde sens sensible sentiment du beau sentiment du sublime serait seulement Spinoza stoïciens subjective suppose supra-sensible système théisme tion tout-à-l'heure valeur objective vérité vrai
Popular passages
Page 101 - Nous avons beau enfler nos conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 127 - Oui, finissons sans trouble, et mourons sans regrets, En laissant l'Univers comblé de nos bienfaits. Ainsi l'Astre du jour, au bout de sa carrière, Répand sur l'horizon une douce lumière, Et les derniers rayons qu'il darde dans les airs Sont les derniers soupirs qu'il donne à l'Univers...
Page 188 - Spiritus intus alit: totamque infusa per artus ' Mens agitat molem, et magno se corpore miscet ' Inde hominum pecudumque genus vitaeque volantum ' Et quae marmoreo fert monstra sub aequore pontus.
Page 239 - C'est sanctifier la philosophie que de faire couler ses ruisseaux de la fontaine des attributs de Dieu. Bien loin d'exclure les causes finales et la considération d'un être agissant avec sagesse, c'est de là qu'il faut tout déduire en physique.
Page 224 - La concordance de tant d'espèces d'animaux dans un certain schème commun, qui ne paraît pas seulement leur servir de principe dans la structure de leurs os, mais aussi dans la disposition des autres parties, et cette admirable simplicité de forme qui, en raccourcissant certaines parties et en allongeant certaines autres, en enveloppant celles-ci et en développant celles-là, a pu produire une si grande variété d'espèces, font naître en nous l'espérance, bien faible, il est vrai, de pouvoir...
Page 224 - ... soyons pas obligés de nous en tenir à un simple principe du jugement (qui ne nous apprend rien sur la production de ces êtres), et de renoncer sans espoir à la prétention de pénétrer la nature dans ce champ. La concordance de tant d'espèces d'animaux dans un certain schème commun, qui ne paraît pas seulement leur servir de principe dans la structure de leurs os, mais aussi dans la disposition des autres parties, et cette admirable simplicité de forme qui en raccourcissant certaines...
Page 160 - Kant veut qu'on distingue deux espèces de finalité dans la nature : ou bien , considérant une production de la nature en elle-même, nous supposons que la nature a eu immédiatement pour but cette production ; ou bien nous la considérons comme un moyen relativement à d'autres choses que nous regardons comme des fins de la nature. Dans le premier cas, la finalité que nous attribuons à la nature est intérieure; elle est relative dans le second. Cette seconde espèce de finalité est nécessairement...
Page 239 - ... point quand ils viennent à philosopher sur l'univers, et au lieu de faire voir que cette intelligence fait tout pour le mieux, et que c'est là la raison des choses qu'elle a trouvé bon de produire conformément à ses fins, tâchent d'expliquer tout par le seul concours des particules brutes, confondant les conditions et les instruments avec la véritable cause.
Page 105 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. L'univers n'en sait rien1.
Page 239 - Mais quand je cherchai les dernières raisons du Mécanisme et des lois mêmes du Mouvement, je fus tout surpris de voir qu'il était impossible de les trouver dans les Mathématiques, et qu'il fallait retourner à la Métaphysique. C'est ce qui me ramena aux...