Trésor de la chanson, par Johannes VidebimusJacques Albin S. Collin de Plancy 1850 |
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... parlé pour tout le monde , Ne puis - je pas parler pour moi ? Dans la haute magistrature Donnez - moi quelque dignité , Ou bien , un ' petit ' préfecture , Vous serez un bon député . M. TRÉBOR . LES VILLAGEOIS EN DIGNITÉ . Lettre d'une ...
... parlé pour tout le monde , Ne puis - je pas parler pour moi ? Dans la haute magistrature Donnez - moi quelque dignité , Ou bien , un ' petit ' préfecture , Vous serez un bon député . M. TRÉBOR . LES VILLAGEOIS EN DIGNITÉ . Lettre d'une ...
Page 72
... parlé des spadassins ; J'ai parlé de nos drames ; J'ai parlé des médecins . A la rime peu fidèle , J'ai négligé la raison ; Et voilà ce qu'on appelle Une chanson . BRAZIER . J'AI DE L'ARGENT . AIR : Le premier pas se fait sans qu'on y ...
... parlé des spadassins ; J'ai parlé de nos drames ; J'ai parlé des médecins . A la rime peu fidèle , J'ai négligé la raison ; Et voilà ce qu'on appelle Une chanson . BRAZIER . J'AI DE L'ARGENT . AIR : Le premier pas se fait sans qu'on y ...
Page 89
... parle et l'on glose ; Qu'importe ! si dans le malheur On sent que je vaux quelque chose . PRÉVOT D'IRAY . LA POLITESSE . AIR : De tous les capucins du monde , etc. On désoblige en cette ville De la façon la plus civile ! Aux protecteurs ...
... parle et l'on glose ; Qu'importe ! si dans le malheur On sent que je vaux quelque chose . PRÉVOT D'IRAY . LA POLITESSE . AIR : De tous les capucins du monde , etc. On désoblige en cette ville De la façon la plus civile ! Aux protecteurs ...
Page 94
... : L'esprit sans doute en est la cause . Mais c'est un faiseur de couplets Qui dit des choses déshonnêtes : Il fait rire quatre valets . Dieu ! que les gens d'esprit sont bêtes ! Plus loin je rencontre un savant Qui parle de ses 94 LIVRE V.
... : L'esprit sans doute en est la cause . Mais c'est un faiseur de couplets Qui dit des choses déshonnêtes : Il fait rire quatre valets . Dieu ! que les gens d'esprit sont bêtes ! Plus loin je rencontre un savant Qui parle de ses 94 LIVRE V.
Page 95
Jacques Albin S. Collin de Plancy. Plus loin je rencontre un savant Qui parle de ses découvertes : Inventeur des moulins à vent , Enfonceur de portes ouvertes , Pour nous garder tous en santé Il a des trouvailles parfaites : Mais il s ...
Jacques Albin S. Collin de Plancy. Plus loin je rencontre un savant Qui parle de ses découvertes : Inventeur des moulins à vent , Enfonceur de portes ouvertes , Pour nous garder tous en santé Il a des trouvailles parfaites : Mais il s ...
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Trésor de la Chanson, Par Johannes Videbimus Jacques Albin Simon Collin De Plancy No preview available - 2018 |
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Common terms and phrases
Académiciens Accordez-moi quelques instants Adieu Ah oui vraiment AIR connu ami Thomas ARMAND GOUFFÉ belle liberté boire bon enfant bon roi Dagobert bon tabac bons amis d'Paris BOUCHE Cadet Rousselle CHANSON DE ROLAND CHANT DES OUVRIERS chantez Roland châteaux en Espagne cher voisin couplets criai d'esprit sont bêtes DÉSAUGIERS Dieu vous bénira DOYEN f'ras feuille du chêne gaîté gens d'esprit gloire grains hi han J'ai de l'argent J'ai du bon j'étais bête J'suis en fonds jamais dans l'embarras Jean de Nivelle Jean de Vert Jean qui pleure Jean qui rit Jean-Jacques Rousseau l'esprit l'jour de l'an l'opulence lisez marchons ménage de Garçon mirontaine Mironton n'te tourment'rons guère Nigauds Nivelle est bon philosophe REIGNY reprit l'ange rien rira le dernier ronde Rousselle est bon Saint-Eloi Satan Soldats Sombre imposteur tabatière Thomas N'est jamais travers leurs pics V'là c'que va-t-en vante vieux charlatan voilà la route
Popular passages
Page 38 - Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé...
Page 205 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois, Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois, Mère abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère ; Parlez-nous de lui.
Page 206 - Je venais d'entrer en ménage. A pied grimpant le coteau Où pour voir je m'étais mise, Il avait petit chapeau Avec redingote grise. Près de lui je me troublai ; Il me dit: Bonjour, ma chère! Bonjour, ma chère ! — Il vous a parlé, grand'mère!
Page 40 - Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 41 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons ! Marchons ! qu'un sang impur abreuve nos sillons ! 1794 M.-J.
Page 182 - Au clair de la lune Mon ami Pierrot Prête-moi ta plume Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte Je n'ai plus de feu Ouvre-moi ta porte Pour l'amour de Dieu.
Page 39 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 40 - Français , en guerriers magnanimes , Portez ou retenez vos coups ; Epargnez ces tristes victimes A regret s'armant contre nous, (bis.) Mais ces despotes sanguinaires , Mais les complices de Bouille , Tous ces tigres qui sans pitié Déchirent le sein de leur mère Aux armes, etc. Amour sacré de la patrie , Conduis , soutiens nos bras vengeurs ! Liberté , liberté chérie , Combats avec tes défenseurs!
Page 206 - Mais quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers, Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte; J'ouvre ; bon Dieu ! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'asseoit où me voilà, S'écriant: Oh! quelle guerre! Oh! quelle guerre! — Il s'est assis là, grand'mère! Il s'est assis là ! 'J'ai faim, dit-il; et bien vite Je sers piquette et pain bis.
Page 39 - Français! pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes...