Trésor de la chanson, par Johannes VidebimusJacques Albin S. Collin de Plancy 1850 |
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... femme , tonnerre , Je n'entends rien gronder . Chacun me dit , à la ronde , etc. Je suis boiteux des deux jambes ; Mais combien on en voit , En maint endroit , Qui , bien qu'ils soient très ingambes , N'en marchent pas plus droit ...
... femme , tonnerre , Je n'entends rien gronder . Chacun me dit , à la ronde , etc. Je suis boiteux des deux jambes ; Mais combien on en voit , En maint endroit , Qui , bien qu'ils soient très ingambes , N'en marchent pas plus droit ...
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... Femmes qui voulez éprouver . Je suis nouveau marchand de vin , Venez tous boire à ma boutique ; Venez sabler ce jus divin , Et donnez - moi votre pratique . Je tiens des vins pour tous les goûts , Pour les vieux et pour la jeunesse , J ...
... Femmes qui voulez éprouver . Je suis nouveau marchand de vin , Venez tous boire à ma boutique ; Venez sabler ce jus divin , Et donnez - moi votre pratique . Je tiens des vins pour tous les goûts , Pour les vieux et pour la jeunesse , J ...
Page 64
... femme et ses enfants ; Quand il s ' conduit avec économie , Il garde encor queq ' chos ' pour ses vieux [ ans . Mais il ne faut pas que l ' cabaret l'entraîne , Il faut qu'il sach ' continuer ses travaux , Comm ' le bon Dieu , six jours ...
... femme et ses enfants ; Quand il s ' conduit avec économie , Il garde encor queq ' chos ' pour ses vieux [ ans . Mais il ne faut pas que l ' cabaret l'entraîne , Il faut qu'il sach ' continuer ses travaux , Comm ' le bon Dieu , six jours ...
Page 98
... Femmes , filez sans redouter Les filatures mécaniques , Le travail ne peut s'arrêter . Pour nous , pour l'âge qui s'avance , Pour tous les bras le travail s'étendra . Filez toujours , c'est l'opulence , Travaillez ; Dieu vous bénira ...
... Femmes , filez sans redouter Les filatures mécaniques , Le travail ne peut s'arrêter . Pour nous , pour l'âge qui s'avance , Pour tous les bras le travail s'étendra . Filez toujours , c'est l'opulence , Travaillez ; Dieu vous bénira ...
Page 99
Jacques Albin S. Collin de Plancy. Femmes , filez ; votre constance Dans le travail toujours nous soutiendra . Filez , tissez , c'est l'opulence , Travaillez ; Dieu vous bénira . Duguesclin pris était tranquille , Car il disait au roi ...
Jacques Albin S. Collin de Plancy. Femmes , filez ; votre constance Dans le travail toujours nous soutiendra . Filez , tissez , c'est l'opulence , Travaillez ; Dieu vous bénira . Duguesclin pris était tranquille , Car il disait au roi ...
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Trésor de la Chanson, Par Johannes Videbimus Jacques Albin Simon Collin De Plancy No preview available - 2018 |
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Common terms and phrases
Académiciens Accordez-moi quelques instants Adieu Ah oui vraiment AIR connu ami Thomas ARMAND GOUFFÉ belle liberté boire bon enfant bon roi Dagobert bon tabac bons amis d'Paris BOUCHE Cadet Rousselle CHANSON DE ROLAND CHANT DES OUVRIERS chantez Roland châteaux en Espagne cher voisin couplets criai d'esprit sont bêtes DÉSAUGIERS Dieu vous bénira DOYEN f'ras feuille du chêne gaîté gens d'esprit gloire grains hi han J'ai de l'argent J'ai du bon j'étais bête J'suis en fonds jamais dans l'embarras Jean de Nivelle Jean de Vert Jean qui pleure Jean qui rit Jean-Jacques Rousseau l'esprit l'jour de l'an l'opulence lisez marchons ménage de Garçon mirontaine Mironton n'te tourment'rons guère Nigauds Nivelle est bon philosophe REIGNY reprit l'ange rien rira le dernier ronde Rousselle est bon Saint-Eloi Satan Soldats Sombre imposteur tabatière Thomas N'est jamais travers leurs pics V'là c'que va-t-en vante vieux charlatan voilà la route
Popular passages
Page 38 - Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé...
Page 205 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois, Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois, Mère abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère ; Parlez-nous de lui.
Page 206 - Je venais d'entrer en ménage. A pied grimpant le coteau Où pour voir je m'étais mise, Il avait petit chapeau Avec redingote grise. Près de lui je me troublai ; Il me dit: Bonjour, ma chère! Bonjour, ma chère ! — Il vous a parlé, grand'mère!
Page 40 - Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 41 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons ! Marchons ! qu'un sang impur abreuve nos sillons ! 1794 M.-J.
Page 182 - Au clair de la lune Mon ami Pierrot Prête-moi ta plume Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte Je n'ai plus de feu Ouvre-moi ta porte Pour l'amour de Dieu.
Page 39 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 40 - Français , en guerriers magnanimes , Portez ou retenez vos coups ; Epargnez ces tristes victimes A regret s'armant contre nous, (bis.) Mais ces despotes sanguinaires , Mais les complices de Bouille , Tous ces tigres qui sans pitié Déchirent le sein de leur mère Aux armes, etc. Amour sacré de la patrie , Conduis , soutiens nos bras vengeurs ! Liberté , liberté chérie , Combats avec tes défenseurs!
Page 206 - Mais quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers, Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte; J'ouvre ; bon Dieu ! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'asseoit où me voilà, S'écriant: Oh! quelle guerre! Oh! quelle guerre! — Il s'est assis là, grand'mère! Il s'est assis là ! 'J'ai faim, dit-il; et bien vite Je sers piquette et pain bis.
Page 39 - Français! pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes...