H.Gravelot inv., J.J.Flipart Se Ceft trop, ma paffion à la raison fait place. $ PRÉFACE DES HORACES, PAR L'ÉDITEU R. I on reprocha à Corneille d'avoir pris dans un contemporain les beautés les plus touchantes du Cid, on dut le louer d'avoir tranfporté fur la scène. française dans les Horaces, les morceaux les plus éloquens de Tite- Live, & même de les avoir embellis. On fait que quand on le menaça d'une feconde critique fur la tragédie des Horaces femblable à celle du Cid, il répondit, » Ho» race fut condamné par les Duumvirs, » mais il fut abfous par le peuple. « Horace n'eft point encor une tragédie entiérement régulière, mais on y verra des beautés d'un genre fupérieur. |