Moralistes et philosophes1872 |
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Page iii
... jour , ont leur physionomie propre par laquelle ils se distinguent de leurs devanciers et de leurs successeurs , et qui n'est saisie au vif que par des contemporains . Par exemple , ceux à qui il a été donné de voir et d'entendre M. Cou ...
... jour , ont leur physionomie propre par laquelle ils se distinguent de leurs devanciers et de leurs successeurs , et qui n'est saisie au vif que par des contemporains . Par exemple , ceux à qui il a été donné de voir et d'entendre M. Cou ...
Page iv
... jour de la publi- cité , M. Damiron s'est vu , même de son vivant , enveloppé par les ombres de l'oubli , devenues bien plus épaisses encore autour de sa mé- moire . C'est un de mes vœux les plus constants et les plus chers de le faire ...
... jour de la publi- cité , M. Damiron s'est vu , même de son vivant , enveloppé par les ombres de l'oubli , devenues bien plus épaisses encore autour de sa mé- moire . C'est un de mes vœux les plus constants et les plus chers de le faire ...
Page 4
... jour vers le milieu du x ° siècle , dans la ville ou aux environs d'Aurillac . C'est tout ce qu'on 1. M. Olleris a suivi notre conseil . La Vie de Gerbert a été publiée en un volume in - 8 ° dans l'année même où parurent ses OEuvres ...
... jour vers le milieu du x ° siècle , dans la ville ou aux environs d'Aurillac . C'est tout ce qu'on 1. M. Olleris a suivi notre conseil . La Vie de Gerbert a été publiée en un volume in - 8 ° dans l'année même où parurent ses OEuvres ...
Page 7
... jours à l'Empereur , celui - ci fonda sur lui les mêmes espérances et l'amena à sa cour , dont il devint le principal ornement . Il n'y était pas depuis longtemps lorsque y arriva , en 972 , en qualité d'ambassadeur du roi Lothaire , un ...
... jours à l'Empereur , celui - ci fonda sur lui les mêmes espérances et l'amena à sa cour , dont il devint le principal ornement . Il n'y était pas depuis longtemps lorsque y arriva , en 972 , en qualité d'ambassadeur du roi Lothaire , un ...
Page 9
... jour de la fête de Saint - Marc . Les moines étaient fu- rieux . Il y en eut qui proposèrent de détruire les écoles . Il eût paru plus simple de modifier la discipline2 . » > Quant à l'instruction qu'on faisait payer si chèrement , elle ...
... jour de la fête de Saint - Marc . Les moines étaient fu- rieux . Il y en eut qui proposèrent de détruire les écoles . Il eût paru plus simple de modifier la discipline2 . » > Quant à l'instruction qu'on faisait payer si chèrement , elle ...
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Common terms and phrases
absolument Adalbéron âme Aristote Bouillier c'est-à-dire cartésienne cause chose chrétien connaissance conscience conséquent corps Cousin d'Aristote Damiron Descartes Dieu dire disciples divine doctrine dogme écrits elle-même esprit éternelle existence facultés Fiorentino force forme Galilée général Gerbert Gersonide Gilles de Rome Goethe Guide des égarés hommes Hugues Capet humaine idées intelligence Janet justice Kant l'âme l'amour l'auteur l'autre l'école l'Église l'esprit l'étendue l'existence l'histoire l'homme l'immortalité l'in l'infini l'univers laisse Leibniz lettres Lévi ben Gerson liberté livre lois losophie lui-même Maïmonide Maine de Biran Malebranche matière ment métaphysique méthode monde morale moyen âge nature nécessaire non-seulement œuvres Olleris Othon III panthéisme passer passions pensée perfection personne Pétrarque philo philoso philosophie Platon poëte politique Pomponace première principe propre Providence pure qu'une raison Ravaisson religion reste rien s'est saint Saint-Hilaire science scolastique sens sentiment seul siècle société sophie Spinoza spiritualisme stoïcisme substance système théologie tion Traité universelle vérité volonté
Popular passages
Page 196 - Cela se fait par figure et mouvement, car cela est vrai. Mais de dire quels, et composer la machine, cela est ridicule; car cela est inutile, et incertain, et pénible. Et quand cela serait vrai, nous n'estimons pas que toute la philosophie vaille une heure de peine.] XCII.
Page 196 - Je ne puis pardonner à Descartes ; il aurait bien voulu, dans toute sa philosophie, pouvoir se passer de Dieu, mais il n'a pu s'empêcher de lui faire donner une chiquenaude, pour mettre le monde en mouvement : après cela, il n'a plus que faire de Dieu.
Page 202 - Et quelle indignité pour ce qui s'appelle homme, D'être baissé sans cesse aux soins matériels, Au lieu de se hausser vers les spirituels ! Le corps, cette guenille, est-il d'une importance...
Page 236 - Et tout ce que je puis dire à ceux qui croient qu'ils peuvent parler, se taire, en un mot, agir, en vertu d'une libre décision de l'âme, c'est qu'ils rêvent les yeux ouverts.
Page 166 - ... une parfaite connaissance de toutes les choses, que l'homme peut savoir, tant pour la conduite de sa vie que pour la conservation de sa santé et l'invention
Page 203 - ... l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher.
Page 270 - Alors un petit Juif, au long nez, au teint blême, Pauvre, mais satisfait, pensif et retiré, Esprit subtil et creux, moins lu que célébré, Caché sous le manteau de Descartes, son maître, Marchant à pas comptés, s'approcha du grand Être: « Pardonnez-moi, dit-il en lui parlant tout bas, « Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas "'; « Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques.
Page 382 - ... si je pouvais un moment cesser de penser que je suis chrétien, je ne pourrais m'empêcher de mettre la destruction de la secte de Zénon au nombre des malheurs du genre humain 3. Elle n'outrait que les choses dans lesquelles il ya de la grandeur : le mépris des plaisirs et de la douleur.
Page 173 - C'est en effet parler de Dieu comme d'un Jupiter ou d'un Saturne , et l'assujettir au styx et aux destinées , que de dire que ces vérités sont indépendantes de lui. Ne craignez point, je vous prie, d'assurer et de publier partout que c'est Dieu qui a établi ces lois en la nature, ainsi qu'un roi établit les lois en son royaume...
Page 446 - Dieu a tout fait de rien, du néant, de ce néant relatif qui est le possible ; c'est que ce néant il en a été d'abord l'auteur, comme il l'était de l'être. De ce qu'il a annulé en quelque sorte et anéanti de la plénitude infinie de son être (se ipsum exinanivit) il a tiré, par une sorte de réveil et de résurrection, tout ce qui existe.