A Classical French Reader: Selected from the Best Writers of that Language in Prose and Poetry; Preceded by an Introduction, Designed to Facilitate the Study of the Rudiments of the French. And Attended with Notes, Explanatory of Idioms, Etc. Throughout the Work. Compiled for the Use of the Round Hill SchoolCarter, Hendee and Company, 1833 |
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Page ix
... Enfin la mort vient l'avertir qu'il doit aban- donner les illusions qui l'ont constamment trompé . II . Often the pronouns attending the reflected verbs in French , are omitted in the translation in English , as , je me promène , I walk ...
... Enfin la mort vient l'avertir qu'il doit aban- donner les illusions qui l'ont constamment trompé . II . Often the pronouns attending the reflected verbs in French , are omitted in the translation in English , as , je me promène , I walk ...
Page 21
... enfin ils s'entendent tous à croire une puis- sance divine , un être suprême . Vous me demandez ' ce que c'est que Dieu . Je feral avec vous , comme Simonite avec le tyran Hiéron , qui lui proposoit la même question . " D'abord il ...
... enfin ils s'entendent tous à croire une puis- sance divine , un être suprême . Vous me demandez ' ce que c'est que Dieu . Je feral avec vous , comme Simonite avec le tyran Hiéron , qui lui proposoit la même question . " D'abord il ...
Page 22
... enfin un jour les peuples seroient heureux , s'il arrivoit , ou que des sages fussent choisis pour gouverner , ou que la sa- gesse fût la seule étude , le seul objet de ceux qui gou- vernent . Xerxès , à qui la fortune avoit prodigué ...
... enfin un jour les peuples seroient heureux , s'il arrivoit , ou que des sages fussent choisis pour gouverner , ou que la sa- gesse fût la seule étude , le seul objet de ceux qui gou- vernent . Xerxès , à qui la fortune avoit prodigué ...
Page 30
... enfin dans les colonies cette vie champêtre , qui fut la première destination de l'homme , la plus convenable à la santé , à la fécondité . On y jouit peut - être de tout le bonheur compatible avec la fragilité de la condition humaine ...
... enfin dans les colonies cette vie champêtre , qui fut la première destination de l'homme , la plus convenable à la santé , à la fécondité . On y jouit peut - être de tout le bonheur compatible avec la fragilité de la condition humaine ...
Page 31
... enfin ; et bientôt après un calme profond lui succède . Les ondes , violemment émues , se balancent long - temps encore après que le vent a cessé . Mais in- sensiblement leurs sillons s'aplanissent ; et sur une mer immobile , le navire ...
... enfin ; et bientôt après un calme profond lui succède . Les ondes , violemment émues , se balancent long - temps encore après que le vent a cessé . Mais in- sensiblement leurs sillons s'aplanissent ; et sur une mer immobile , le navire ...
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A Classical French Reader: Selected From The Best Writers Of That Language ... Nicolas Marcellus Hentz No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
¹à affreux aimé Alcine Alix âme Aristonous auroit avoient avoit Bérenger bientôt bords bras brillant Brisach bruit c'étoit Calchas Callisthène charme château de Presles cher choses ciel cieux Clazomène cœur combat corps coup courage crainte Crantor cruelle d'Alix Dieu Dieux douce douleur doux éclat enfans ennemis étoient étoit faisoit fille fleurs fleuve flots foible foiblesse Fresnes front fumans funeste fureur gloire guerriers heureux hommes hymen Idoménée j'ai jamais jeune jour l'âme l'homme larmes long-temps Lycaonie Lysimaque main malheureux maux Ménélas mère monde montagnes mort mortels mourir nature nuages nuit ombres pâle paroît passions peine père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs Pluton Pyth regards rien rivage rochers Rocroi rois sage sais sang SECTION sembloit sentiment seroit seul soin soleil Sophronyme sort temple tendre terre tombe tombeau tremblant trésors triste Turenne vaisseau vallons vents verb vertu victoire vieillard Voilà voit voix VOLTAIRE voyoit yeux zéphyr
Popular passages
Page 239 - Et moi, qui l'amenai triomphante, adorée, Je m'en retournerai seule et désespérée ! Je verrai les chemins encor tout parfumés Des fleurs dont sous ses pas on les avait semés ! Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice.
Page 27 - ... dans son sein et autour de BCS bras, ni les jalousies, ni les défiances, ni la crainte, ni les vains désirs, n'approchent jamais de cet heureux séjour de la paix. Le jour n'y finit point; et la nuit, avec ses sombres, voiles, y est inconnue; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 170 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
Page 262 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 236 - Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 233 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Page 20 - Nous sommes si présomptueux , que nous voudrions être connus de toute la terre , et même des gens qui viendront quand nous ne serons plus; et nous sommes si vains, que l'estime de cinq ou six personnes qui nous environnent nous amuse et nous contente.
Page 206 - Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Page 147 - Giton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l'estomac haut, la démarche ferme et délibérée; il parle avec confiance, il fait répéter celui qui l'entretient...
Page 237 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, • Tendre au fer de Calchas une tête innocente ; Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.