A Classical French Reader: Selected from the Best Writers of that Language in Prose and Poetry; Preceded by an Introduction, Designed to Facilitate the Study of the Rudiments of the French. And Attended with Notes, Explanatory of Idioms, Etc. Throughout the Work. Compiled for the Use of the Round Hill SchoolCarter, Hendee and Company, 1833 |
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... bords . L'équitation est ce qu'un jeune prince apprend le mieux , parce que son cheval ne le flatte pas . Celui qui affecte de dire toujours comme vous dites et de faire toujours comme vous faites , n'est pas votre ami ; c'est votre ...
... bords . L'équitation est ce qu'un jeune prince apprend le mieux , parce que son cheval ne le flatte pas . Celui qui affecte de dire toujours comme vous dites et de faire toujours comme vous faites , n'est pas votre ami ; c'est votre ...
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... bords de la mer , où il savoit que cette Isle avoit été autrefois flottante : il considéroit cette côte , où s'èle- voient , au - dessus des sables et des rochers , de petites col- lines toujours couvertes d'un gazon naissant et fleuri ...
... bords de la mer , où il savoit que cette Isle avoit été autrefois flottante : il considéroit cette côte , où s'èle- voient , au - dessus des sables et des rochers , de petites col- lines toujours couvertes d'un gazon naissant et fleuri ...
Page 68
... bords du fleuve Xante , dans les ondes duquel Apollon au retour de la chasse , couvert de poussière , a tant de fois plongé son corps , et lavé ses beaux cheveux blonds . Ils trouvèrent le long de ce fleuve des peupliers et des saules ...
... bords du fleuve Xante , dans les ondes duquel Apollon au retour de la chasse , couvert de poussière , a tant de fois plongé son corps , et lavé ses beaux cheveux blonds . Ils trouvèrent le long de ce fleuve des peupliers et des saules ...
Page 69
... bord du fleuve . Puis ils aperçurent les troupeaux de moutons qui revenoient des gras pâturages : les mères bêlantes , et pleines de lait , y étoient suivies de leurs petits agneaux bondissans . On voyoit partout les ouvriers em ...
... bord du fleuve . Puis ils aperçurent les troupeaux de moutons qui revenoient des gras pâturages : les mères bêlantes , et pleines de lait , y étoient suivies de leurs petits agneaux bondissans . On voyoit partout les ouvriers em ...
Page 72
... bords enchantés du Méandre , qui se joue par tant de détours , et qui semble quitter à regret le pays qu'il arrose ; des rives toujours vertes de Caystres ; des bords de Pactole , qui roule sous ses flots un sable doré ; de la Pamphylie ...
... bords enchantés du Méandre , qui se joue par tant de détours , et qui semble quitter à regret le pays qu'il arrose ; des rives toujours vertes de Caystres ; des bords de Pactole , qui roule sous ses flots un sable doré ; de la Pamphylie ...
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A Classical French Reader: Selected From The Best Writers Of That Language ... Nicolas Marcellus Hentz No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
¹à affreux aimé Alcine Alix âme Aristonous auroit avoient avoit Bérenger bientôt bords bras brillant Brisach bruit c'étoit Calchas Callisthène charme château de Presles cher choses ciel cieux Clazomène cœur combat corps coup courage crainte Crantor cruelle d'Alix Dieu Dieux douce douleur doux éclat enfans ennemis étoient étoit faisoit fille fleurs fleuve flots foible foiblesse Fresnes front fumans funeste fureur gloire guerriers heureux hommes hymen Idoménée j'ai jamais jeune jour l'âme l'homme larmes long-temps Lycaonie Lysimaque main malheureux maux Ménélas mère monde montagnes mort mortels mourir nature nuages nuit ombres pâle paroît passions peine père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs Pluton Pyth regards rien rivage rochers Rocroi rois sage sais sang SECTION sembloit sentiment seroit seul soin soleil Sophronyme sort temple tendre terre tombe tombeau tremblant trésors triste Turenne vaisseau vallons vents verb vertu victoire vieillard Voilà voit voix VOLTAIRE voyoit yeux zéphyr
Popular passages
Page 239 - Et moi, qui l'amenai triomphante, adorée, Je m'en retournerai seule et désespérée ! Je verrai les chemins encor tout parfumés Des fleurs dont sous ses pas on les avait semés ! Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice.
Page 27 - ... dans son sein et autour de BCS bras, ni les jalousies, ni les défiances, ni la crainte, ni les vains désirs, n'approchent jamais de cet heureux séjour de la paix. Le jour n'y finit point; et la nuit, avec ses sombres, voiles, y est inconnue; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 170 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
Page 262 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 236 - Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 233 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Page 20 - Nous sommes si présomptueux , que nous voudrions être connus de toute la terre , et même des gens qui viendront quand nous ne serons plus; et nous sommes si vains, que l'estime de cinq ou six personnes qui nous environnent nous amuse et nous contente.
Page 206 - Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Page 147 - Giton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l'estomac haut, la démarche ferme et délibérée; il parle avec confiance, il fait répéter celui qui l'entretient...
Page 237 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, • Tendre au fer de Calchas une tête innocente ; Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.