Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 3 |
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... pensée vivifiante de la monarchie , celui dont la main puissante comprimait toutes les ambitions coupables , dont les re- gards encourageaient tous les talents , dont les paroles dispensaient la fortune , les honneurs et la gloire . C ...
... pensée vivifiante de la monarchie , celui dont la main puissante comprimait toutes les ambitions coupables , dont les re- gards encourageaient tous les talents , dont les paroles dispensaient la fortune , les honneurs et la gloire . C ...
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... pensées . Dans son entière abnégation de toute autre jouissance , elle semblait ne plus considérer toutes les choses de ce monde que dans leurs rapports avec sa fille . Les louanges qu'on avait coutume de lui adresser à elle - même lui ...
... pensées . Dans son entière abnégation de toute autre jouissance , elle semblait ne plus considérer toutes les choses de ce monde que dans leurs rapports avec sa fille . Les louanges qu'on avait coutume de lui adresser à elle - même lui ...
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... pensées . A l'époque dont nous parlons , madame de Sévigné était péniblement préoccupée de ce grand devoir de mère . Peu de partis se présentaient , du moins de ceux qui pou- vaient être acceptés . Les preuves de cette assertion se ...
... pensées . A l'époque dont nous parlons , madame de Sévigné était péniblement préoccupée de ce grand devoir de mère . Peu de partis se présentaient , du moins de ceux qui pou- vaient être acceptés . Les preuves de cette assertion se ...
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... pensées est toujours simple , forte , naturelle et digne , en parfait rapport avec la noblesse de ses sentiments et l'élévation de son âme . L'académicien Charpentier déclare qu'elle n'écrit pas moins bien que mademoiselle de Scudéry ...
... pensées est toujours simple , forte , naturelle et digne , en parfait rapport avec la noblesse de ses sentiments et l'élévation de son âme . L'académicien Charpentier déclare qu'elle n'écrit pas moins bien que mademoiselle de Scudéry ...
Page 102
... pensées sérieuses , un grand penchant aux plaisirs et un sincère attachement aux sévères pratiques de la religion . Tous les sentiments , joyeux ou mélancoliques , tendres ou sublimes , énergiques ou délicats , trouvaient en elle des ...
... pensées sérieuses , un grand penchant aux plaisirs et un sincère attachement aux sévères pratiques de la religion . Tous les sentiments , joyeux ou mélancoliques , tendres ou sublimes , énergiques ou délicats , trouvaient en elle des ...
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Common terms and phrases
¹ SÉVIGNÉ affaires aimait amis amour août aurait avaient avant avril beau belle Bussy c'était cause cesse CHAPITRE chère chose cœur comte comte de Grignan Conférez conseils correspondance Coulanges cour cousin d'avoir d'être dame date décembre dernier devait Dieu dire dit-elle donne écrit écrivait édit enfin esprit états faisait Fayette femme février fille fils fût garde général gens goût Haye homme Ibid j'ai janvier jeune jours juillet juin l'autre l'Histoire Lauzun Lettres de madame lieu ligne livres Louis XIV madame de Grignan madame de Sévigné mademoiselle manière mariage marquis mars Mémoires ment mère mieux monde montre n'avait n'en n'était nombre nommé note nouvelles novembre parle passé pensées personnes petite plaisir portait pouvait première princesse Provence raison recueil reine rien s'était saint savait semble sentiments septembre serait seule sorte souvent sujet surtout traité trouve vérité vive voyage Voyez vrai
Popular passages
Page 204 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Page 292 - Sous ce tombeau gît Saint-Pavin; Donne des larmes à sa fin. Tu fus de ses amis peut-être? Pleure sur ton sort et le sien : Tu n'en fus pas? pleure le tien, Passant, d'avoir manqué d'en être.
Page 64 - J'envie, en écrivant, le sort de Pelletier. Bienheureux Scudéri, dont la fertile plume Peut tous les mois sans peine enfanter un volume! ' Tes écrits, il est vrai, sans art et languissants, Semblent être formés en dépit du bon sens : Mais ils trouvent pourtant, quoi qu'on en puisse dire, Un marchand pour les vendre , et des sots pour les lire...
Page 148 - Il a fallu montrer notre noblesse en Bretagne, et ceux qui en ont le plus ont pris plaisir de se servir de cette occasion pour étaler leur marchandise ; voici la nôtre. Quatorze contrats de mariage de père en fils ; trois cent cinquante ans de chevalerie ; les pères quelquefois considérables dans les guerres de Bretagne , et bien marqués dans l'histoire; quelquefois retirés chez eux comme des Bretons , quelquefois de grands biens, quelquefois de médiocres, mais toujours de bonnes et...
Page 201 - Vérone, où étaient alors réunis en congrès les empereurs de Russie et d'Autriche, le roi de Prusse et les ministres plénipotentiaires des autres puissances. Il fut reçu avec tous les honneurs dus à son rang, et partit le 1...
Page 408 - Je vous donne avec plaisir le dessus de tous les paniers; c'est-à-dire, la fleur de mon esprit, de ma tête, de mes yeux, de ma plume, de mon écritoire, et puis le reste va comme il peut.
Page 369 - J'ai trouvé de la douceur dans la tristesse que j'ai eue ici ; une grande solitude , un grand silence, un office triste , des ténèbres chantées avec dévotion , un jeûne canonique , et une beauté dans ces jardins , dont vous seriez charmée : tout cela m'a plu.
Page 428 - celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui
Page 370 - Il me gronda très sérieusement; et, transporté de zèle et d'amitié pour moi, il me dit que j'étais folle de ne point songer à me convertir ; que j'étais une jolie païenne; que je faisais de vous une idole dans mon cœur; que cette sorte d'idolâtrie était aussi dangereuse qu'une autre, quoiqu'elle me parût moins criminelle; qu'enfin je songeasse à moi.
Page 373 - Provence ; j'embrasse M. de Grignan , et je meurs d'envie de savoir de vos nouvelles. Dès que j'ai reçu une lettre, j'en voudrais tout à l'heure une autre , je ne respire que d'en recevoir.