Fables, with notes by F. Tarver |
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... pense . Tout babillard , tout censeur , tout pédant , Se peut connoître au discours que j'avance . Chacun des trois fait un peuple fort grand : Le Créateur en a béni l'engeance . En toute affaire , ils ne font que songer Au moyen d ...
... pense . Tout babillard , tout censeur , tout pédant , Se peut connoître au discours que j'avance . Chacun des trois fait un peuple fort grand : Le Créateur en a béni l'engeance . En toute affaire , ils ne font que songer Au moyen d ...
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... pense . Tout babillard , tout censeur , tout pédant , Se peut connoître au discours que j'avance . Chacun des trois fait un peuple fort grand : Le Créateur en a béni l'engeance . En toute affaire , ils ne font que songer Au moyen d ...
... pense . Tout babillard , tout censeur , tout pédant , Se peut connoître au discours que j'avance . Chacun des trois fait un peuple fort grand : Le Créateur en a béni l'engeance . En toute affaire , ils ne font que songer Au moyen d ...
Page 42
... pense . Vous connoissez mon bien , mon talent , ma naissance : Dois - je dans la province établir mon séjour ? Prendre emploi dans l'armée , ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses ...
... pense . Vous connoissez mon bien , mon talent , ma naissance : Dois - je dans la province établir mon séjour ? Prendre emploi dans l'armée , ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses ...
Page 43
... pense . » Le meunier , à ces mots , connoît son ignorance ; Il met sur pieds sa bête , et la fait détaler . L'âne , qui goûtoit fort l'autre façon d'aller , Se plaint en son patois . Le meunier n'en a cure , Il fait monter son fils , il ...
... pense . » Le meunier , à ces mots , connoît son ignorance ; Il met sur pieds sa bête , et la fait détaler . L'âne , qui goûtoit fort l'autre façon d'aller , Se plaint en son patois . Le meunier n'en a cure , Il fait monter son fils , il ...
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... pense . Vous connoissez mon bien , mon talent , ma naissance : Dois - je dans la province établir mon séjour ? Prendre emploi dans l'armée , ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses ...
... pense . Vous connoissez mon bien , mon talent , ma naissance : Dois - je dans la province établir mon séjour ? Prendre emploi dans l'armée , ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 9 - Pendant qu'ils étaient en train. A la porte de la salle Ils entendirent du bruit : Le rat de ville détale ; Son camarade le suit. Le bruit cesse, on se retire : Rats en campagne aussitôt ; Et le citadin de dire : * Achevons tout notre rôt. C'est assez, dit le rustique ; Demain vous viendrez chez moi. Ce n'est pas que je me pique De tous vos festins de roi : Mais rien ne vient m'interrompre ; Je mange tout à loisir. Adieu donc. Fi du plaisir Que la crainte peut corrompre ! FABLE X.
Page 63 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 75 - Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.
Page 5 - Mais encor? — Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. — Attaché! dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez? — Pas toujours; mais qu'importe? — Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrois pas même à ce prix un trésor.
Page 83 - L'un et l'autre approcha , ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps : Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 29 - N'ont-ils point de pitié de leur vieux domestique ? Sans doute qu'à la foire ils vont vendre sa peau. Parbleu ! dit le meunier, est bien fou du cerveau Qui prétend contenter tout le monde et son père.
Page 109 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 47 - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être. Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui; Le conte fait passer le précepte avec lui. En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire, Et conter pour conter me semble peu d'affaire.
Page 171 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime'; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire, Et font d'un art divin un métier mercenaire. Avant que la raison, s'expliquant par la voix...
Page 133 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?