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tius, son père. Il ne souffre pas qu'on mette en

accusation Carinas Céler ni Julius Densus.

XI. Consulat de Claude Néron et de L. Antistius. Actes

d'indulgence de Néron.

XII. La puissance de sa mère s'ébranle peu à peu par l'amour auquel Néron se laisse aller pour l'affran

chie Acté, et par sa liaison avec Othon et Sénécion. XIII. Agrippine se plaint d'abord, puis a recours aux caresses. Présent que fait Néron à sa mère, et comment il est reçu.

XIV. Néron éloigne Pallas de l'administration des affaires. Agrippine se répand en menaces.

XV. Britannicus porte ombrage à Néron, qui le fait empoisonner. Britannicus échappe au poison par une évacuation.

XVI. Nouvelle tentative d'empoisonnement dans laquelle Britannicus succombe.

XVII. Funérailles de Britannicus: Néron s'excuse de leur précipitation, et comble de largesses ses plus intimes amis.

XVIII. Il prive sa mère de ses gardes et la relègue dans un palais qu'Antonia avait habité.

XIX. Isolement d'Agrippine. Inimitié entre celle-ci et Julia Silana. Dénonciation d'un prétendu complot d'Agrippine en faveur de Rubellius Plautus.

XX. Néron, épouvanté par le détail de l'accusation, ordonne la mort de sa mère et de Plautus; mais Burrus obtient que sa mère serait entendue.

XXI. Justification d'Agrippine. Elle demande un entretien avec son fils, qui lui accorde la punition de ses délateurs et des faveurs pour ses amis.

XXII. Diverses récompenses et punitions.

XXIII. Pallas et Burrus sont faussement accusés d'avoir formé le complot d'appeler à l'empire Corn. Sylla.

On condamne l'accusateur à l'exil.

XXIV. La cohorte ordinairement de garde aux jeux publics est retirée. Néron, sur l'avis des aruspices, purifie

la ville.

XXV. Consulat de Q. Volusius et de P. Scipion. Débauches nocturnes de Néron. Mort de Montanus. Les pan

tomimes sont chassés d'Italie.

XXVI. On se plaint dans le sénat de l'insolence des affranchis. XXVII. Néron écrit au sénat de prononcer individuellement contre les affranchis, toutes les fois qu'un patron se plaindrait.

XXVIII. Il est fait défense aux tribuns d'attenter aux droits des préteurs et des consuls. On restreint aussi le pouvoir des édiles.

XXIX. Changemens et modifications dans la forme de l'administration du trésor.

XXX. Jugement de divers personnages accusés de concussion. Caninius Rebilus se fait ouvrir les veines;

L. Volusius meurt après avoir rempli une carrière de quatre-vingt-treize années.

XXXI. Second consulat de Néron: L. Pison est son collègue. Les colonies de Capoue et de Nucérie reçoivent des renforts de vétérans. Largesses au peuple. On verse dans le trésor quarante millions de sesterces pour soutenir le crédit. Édit sur les jeux.

XXXII. Sénatus-consulte sur la vie des maîtres. Pomponia Grécina, accusée de superstitions étrangères, est

soumise au jugement marital, et déclarée innocente. XXXIII. P. Celer, Cossutianus, Capiton, Eprius Marcellus sont accusés de concussion.

XXXIV. Troisième consulat de Néron; Valerius Messala est son collègue. Libéralité de Néron. La guerre entre

les Parthes et les Romains est poussée vigoureu

sement.

XXXV. Corbulon met tout en œuvre pour ramener la discipline parmi ses troupes énervées par une longue paix. Froid rigoureux.

XXXVI. Pactius Orphitus, malgré les ordres contraires de Corbulon, s'engage avec l'ennemi et est défait. Punition qui lui est infligée.

XXXVII. Tiridate insulte l'Arménie et pille tous ceux qu'il croit fidèles aux Romains. Corbulon cherche long-temps

et vainement à le combattre. Tiridate lui envoie des

députés.

XXXVIII. Entrevue projetée entre les deux chefs, et manquée par la faute de Tiridate.

XXXIX. Corbulon prend plusieurs forts en Arménie, ce qui lui donne la confiance d'assiéger Artaxata.

XL. Ruse de Tiridate pour attirer Corbulon dans une embuscade.

XLI. Artaxata ouvre ses portes ses habitans ont la vie sauve, mais la ville est incendiée, démolie et rasée

au niveau du sol. Phénomène qui eut lieu. Honneurs rendus à Néron.

XLII. P. Suilius le délateur est accusé. Ses invectives contre

Sénèque.

XLIII. Suilius est relégué dans les îles Baléares, après avoir été privé de ses biens.

XLIV. Octavius Sagitta poignarde Pontia, son amante. Un affranchi s'accuse du forfait.

XLV. Beauté, fortune, mœurs, mariages, adultères de Sabina Poppea.

XLVI. Elle feint d'être éprise de la figure de Néron, qui, pour la posséder, donne à Othon, son mari, le gouvernement de la Lusitanie.

XLVII. Corn. Sylla, suspect au prince, est relégué dans l'enceinte de Marseille.

XLVIII. Troubles à Pouzzoles réprimés par l'énergie des frères
Scribonius.

XLIX. Sénatus-consulte sur les gladiateurs syracusains. Pétus
Thrasea, par son opposition, donne occasion à

ses adversaires de censurer son discours. Réponse
de ce sénateur.

L. Néron hésite s'il n'ordonnera pas la suppression de
tous les impôts; mais les sénateurs lui font voir les
inconvéniens qui naîtraient de cette mesure.
LI. Édit ayant pour but d'alléger les charges du peuple
et de modérer la cupidité des publicains.

LII. Sulpicius Camerinus et Pomponius Silvanus, pro-
consuls, sont accusés. Néron les fait absoudre.

LIII. Vetus, par un canal creusé entre la Moselle et l'Araris, veut établir une communication entre le Rhin

et l'Océan; Élius Gracilis, jaloux de l'entreprise, l'en détourne.

LIV. Les Frisons tentent vainement de se fixer près du Rhin. LV. Les Ansibariens envahissent le même territoire, et demandent aux Romains d'y vivre sous leurs lois. LVI. Le général romain repousse la demande des Ansibariens, mais il parle dans un autre sens à Boiocalus.

Réponse de ce dernier. Défaite des Ansibariens. LVII. Grand combat entre les Hermondures et les Cattes. Ces derniers sont taillés en pièces. Dans la cité des Ubiens, des feux sortis de terre dévorent les métairies, les campagnes, les bourgs.

LVIII. Le figuier Ruminal perd ses branches et se dessèche; enfin de nouveaux jets le raniment.

Ces faits se passèrent dans l'espace d'un peu plus de quatre ans, sous les consulats de :

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CHAP. I. Consulat de C. Vipstanus et de Fonteius. Néron est
de plus en plus épris de Poppée, qui, par ses larmes
et ses artifices, essaie de l'amener au mariage.
II. Agrippine, dans son ardeur de retenir le pouvoir, se
présente à Néron, prête à l'inceste. Sénèque, pour
arrêter ses séductions, recourt à Acté.

III. Néron résout la mort de sa mère. Moyen offert par
Anicetus.

IV. L'expédient est agréé par Néron, qui, pour éloigner
toute idée du crime, invite Agrippine à un repas.
V. Agrippine échappe au naufrage qui lui était préparé,
et Acerronia, ayant eu l'imprudence de se dire la
mère de l'empereur, est massacrée.

VI. Agrippine, feignant d'ignorer le complot de son fils lui envoie annoncer qu'elle a échappé à un grand

péril.

VII. Craintes de Néron; il consulte Sénèque et Burrus. Anicetus se charge de faire périr Agrippine.

VIII. Mort d'Agrippine.

IX. Ses obsèques.

X. Remords de Néron. Les centurions et les tribuns le rappellent à l'espérance. Il se retire à Naples et écrit

au sénat.

XI. Teneur de sa lettre.

XII. Basses adulations du sénat. Cause de la perte de Pétus Thrasea. Prodiges. Actes de clémence de Néron.

XIII. Hésitation de Néron sur la manière dont il rentrera à Rome. Sa réception dans cette ville.

XIV. Néron cocher et citharoede. Il fait venir sur la scène les descendans d'illustres familles, et force des chevaliers romains à descendre dans l'arène.

XV. Néron institue la fête des Juvénales. Il monte sur la scène, préludant sur une lyre avec beaucoup d'étude et de préméditation. Formation des Augustans. XVI. Le prince s'occupe de poésie et de philosophie, XVII. Affreux carnage entre les habitans de Nucérie et ceux de Pompéi. Livineius et d'autres complices de cette sédition sont punis d'exil.

XVIII. Pedius Blésus est chassé du sénat. Acilius Strabon est dénoncé par les Cyrénéens. Néron approuve sa conduite.

XIX. Mort de Domitius Afer et de M. Servilius.

XX. Quatrième consulat de Néron; Cornelius Cossus est son collègue. Jeux quinquennaux institués à Rome. On en parle diversement.

XXI. Les uns les blâment, les autres en font l'éloge.

XXII. Une comète et des prodiges font croire à la chute de Néron. Celui-ci ordonne à Plautus, que la voix pu

blique désignait comme son successeur, de se retirer en Asie. Maladie de Néron.

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