Oeuvres, Volume 1L. Debure, 1827 |
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... coup et naturellement le tra- ducteur de Virgile ou de Lucréce ; et les objets de la vie commune sont relevés chez lui par ces tours nobles et cet heureux choix d'expressions qui les rendent dignes du poëme épique . Tel est l'artifice ...
... coup et naturellement le tra- ducteur de Virgile ou de Lucréce ; et les objets de la vie commune sont relevés chez lui par ces tours nobles et cet heureux choix d'expressions qui les rendent dignes du poëme épique . Tel est l'artifice ...
Page xxxviii
... coup à la lecture d'une ode de Malherbe , comme Malebranche à celle d'un livre de Descartes , et sentir cet enthou- siasme d'une ame qui , voyant de plus près la gloire , s'étonne d'être née pour elle . Mais pourquoi Mal- herbe opéra ...
... coup à la lecture d'une ode de Malherbe , comme Malebranche à celle d'un livre de Descartes , et sentir cet enthou- siasme d'une ame qui , voyant de plus près la gloire , s'étonne d'être née pour elle . Mais pourquoi Mal- herbe opéra ...
Page xlvi
... coup d'oeil qui fit donner à Molière le nom de contemplateur , sa philosophie , si admi- rable dans les développements du cœur humain , ne s'éleva point jusqu'aux généralités qui forment les systèmes de là quelques incertitudes dans ses ...
... coup d'oeil qui fit donner à Molière le nom de contemplateur , sa philosophie , si admi- rable dans les développements du cœur humain , ne s'éleva point jusqu'aux généralités qui forment les systèmes de là quelques incertitudes dans ses ...
Page cviii
... coup sur un des som- mets du Parnasse , il pouvoit se vanter à juste titre d'avoir le premier ouvert le chemin par lequel il avoit su l'y conduire . Cependant il est utile d'examiner si d'autres ne lui en avoient pas indiqué l'entrée ...
... coup sur un des som- mets du Parnasse , il pouvoit se vanter à juste titre d'avoir le premier ouvert le chemin par lequel il avoit su l'y conduire . Cependant il est utile d'examiner si d'autres ne lui en avoient pas indiqué l'entrée ...
Page cxxiii
... coup qu'il tire , Lui enfonce la tête , et d'une autre façon , Qu'elle ne sçavoit point , lui apprit la leçon . Alors le loup s'enfuit , voyant la bête morte , Et de son ignorance ainsi se réconforte . N'en déplaise aux docteurs ...
... coup qu'il tire , Lui enfonce la tête , et d'une autre façon , Qu'elle ne sçavoit point , lui apprit la leçon . Alors le loup s'enfuit , voyant la bête morte , Et de son ignorance ainsi se réconforte . N'en déplaise aux docteurs ...
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Common terms and phrases
Æsop anciens animaux apologues Asinus auroit auteurs avoient avoit belette bête Bidpaï C'étoit Calila et Dimna chien chose Claude Barbin contes Corrozet Crésus déja devoit Didot dieux disoit dit-il donner écrit éditions modernes Égypte Esop Ésope étoient étoit eût FABLE VII FABLE XIX fables d'Ésope fabuliste Firenzuola Fontaine François de Maucroix françoise Gabrias genre gens grace grenouille homme HORAT imité in-folio intitulée J'ai Journal des Savants Jupiter l'aigle l'âne l'apologue l'auteur l'édition l'Hitoupadesa laissa langue latin Lessing lion livre de Calila loup Lycérus maître Marot Molière morale n'avoit n'en Nevelet OEuvres ouvrage Pantcha-Tantra paroît Phædr Phédre Philibert Hegemon philosophe Phrygien Pierre de Boissat Pilpay Planude Plutarque poésie poëte pouvoit première édition prose publiées Rabelais raison recueil de fables réimpression réimprimée renard Richelet rien s'en Sacy sage sentiment seroit seul siècle sorte style Tantra tion traduction trouve Verdizotti version volume Vulpes Xantus
Popular passages
Page 137 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 90 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 119 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Page 184 - Ce maudit animal vient prendre sa goulée Soir et matin, dit-il, et des pièges se rit ; Les pierres, les bâtons y perdent leur crédit.
Page 168 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page 57 - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 65 - Pendant qu'ils étaient en train. A la porte de la Salle Ils entendirent du bruit; Le Rat de ville détale, " Son camarade le suit. Le bruit cesse, on se retire : Rats en campagne aussitôt; Et le citadin de dire :
Page 89 - Le chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 249 - Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait Toût : Creusez, fouillez, bêchez ; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse.
Page 109 - Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.