Livre Des Enfants Pour L'étude Du Français, Book 1 |
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Page 106
... pleurez pas , mon petit frère ; Petit frère , ne pleurez pas ! Que voulez - vous que je vous donne ! Faut - il vous montrer le beau jour , Ou , sur la vitre qui résonne , Imiter le bruit du tambour ? Quoi , monsieur , rien ne vous fait ...
... pleurez pas , mon petit frère ; Petit frère , ne pleurez pas ! Que voulez - vous que je vous donne ! Faut - il vous montrer le beau jour , Ou , sur la vitre qui résonne , Imiter le bruit du tambour ? Quoi , monsieur , rien ne vous fait ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 115 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 104 - Non, non ! que rien ne vous sépare ! Non, les voici, je vous les, rends. Apprenez-leur dans le bocage A voltiger auprès de vous ; Qu'ils écoutent votre ramage, Pour former des sons aussi doux.
Page 116 - LE CORBEAU ET LE RENARD Maître Corbeau sur un arbre perché Tenait en son bec un fromage; Maître Renard par l'odeur alléché Lui tint à peu près ce langage: "Hé, bonjour, monsieur du Corbeau Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 115 - Que faisiez-vous au temps chaud? Dit-elle à cette emprunteuse. — Nuit et jour à tout venant Je chantois , ne vous déplaise. — Vous chantiez! j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Page 97 - Un enfant élevé dans un pauvre village Revint chez ses parents, et fut surpris d'y voir Un miroir. D'abord il aima son image ; Et puis, par un travers bien digne d'un enfant, Et même d'un être plus grand , 11 veut outrager ce qu'il aime, Lui fait une grimace, et le miroir la rend.
Page 97 - II se fait mal aux mains. Sa colère en augmente ; Et , furieux , au désespoir, Le voilà , devant ce miroir, Criant , pleurant , frappant la glace. Sa mère , qui survient , le console , l'embrasse . Tarit ses pleurs, et doucement lui dit : N'as-tu pas commencé par faire la grimace A ce méchant enfant qui cause ton dépit?
Page 108 - LE COQ ET LA PERLE. UN jour un coq détourna Une perle , qu'il donna Au beau premier lapidaire. Je la crois fine, dit-il ; Mais le moindre grain de mil Serait bien mieux mon affaire.
Page 116 - Hé! bonjour, Monsieur du Corbeau, Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.' A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie; Et pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s'en saisit, et dit: 'Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit au dépens de celui qui l'écoute. Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 103 - Je le tiens, ce nid de fauvette! Ils sont deux, trois, quatre petits! Depuis si longtemps je vous guette! Pauvres oiseaux! vous voilà pris. Criez, sifflez, petits rebelles, Débattez-vous; oh! c'est en vain: Vous n'avez pas encor vos ailes; Comment vous sauver de ma main?
Page 103 - Moi qui, l'été, dans ces vallons, Venais m'endormir sous un chêne, Au bruit de leurs douces chansons! Hélas! si du sein de ma mère Un méchant venait me ravir, Je le sens bien, dans sa misère Elle n'aurait plus qu'à mourir.