 | Claude Pierre Goujet - 1745 - 506 pages
...Cuidez-vous'que fous mon cappcl N'y-euft tant de philpfophie Comme de dire, j'en appel ? Si avoit , je vous certifie. Combien que point trop ne m'y fie , 'Quand on me dit , préTent Notaire , Pendu ferez , je vous affie , Eftoit-il lors temps de me taire ? Son appel lui... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - French poetry - 1752 - 346 pages
...de dire , J'en appel î 8l J«»rf*r/«,«ftunino»Jarjoa. ;,«*«i«, tr,mj>erie.Si avoir , je TOUS certifie, Combien que point trop ne m'y fie» Quand on me dit , préfent Notaire, Pendu ferez, je vous affie ; Eftoic il lors tems de me taire ! PRINCE, fi j'eufle... | |
 | 1856 - 752 pages
...cappel Y eust tant de philosophie, Comme de dire : « J'en appel? » S'y avoit, je vous certiffie, Combien que point trop ne m'y fie. Quand on me dit, présent notaire : a Pendu serez 1 » je vous afBe, Estoit-il lors temps de me taire? C'est grâce à cette pièce que... | |
 | Poètes français - 1824 - 452 pages
...Guidez-vous que sous mon cappel N'y eust tant de philosophie , Comme de dire , j'en appel ? Si avoit , je vous certifie. Combien que point trop ne m'y fie , Quand on me dit , présent notaire , Pendu serés, je vous affie, Estoit-il lors temps de me taire ? ENVOI. PRINCE, si j'eusse eu la pépie, Pieça... | |
 | Pierre René Auguis - French poetry - 1824 - 452 pages
...Cuidez-vous que sous mon cappel N'y eust tant de pbilosophie , Comme de dire , j'en appel ? Si avoit , je vous certifie. Combien que point trop ne m'y fie, Quand on me dit , present notaire , Pendu serés, je vous affie, Estoit-il lors temps de me taire ? ENVOI. PRINCE,... | |
 | François Villon - 1832 - 492 pages
...dont je me sers. (i5) Par tricherie. Contre droit et justice. Combien que point trop ne m'y fie.Quant on me dit présent notaire, Pendu serez , je vous affie, Estoitil lors temps de nie taire ? ENVOI. 25 Prince, si j'eusse eu la pepie, Pieça je fusse ou est Clotaire, Aux champs debout,... | |
 | François Villon - French literature - 1854 - 424 pages
...que, soubzmon cappel6, Ny eust tant 7 de philosophie , Comme de dire : « J'en appel? » Si avoit , je vous certifie , Combien que point trop ne m'y fie. Quand on me dit, présent notaire8 : « Pendu serez ! » je vous affie9, Estoit-il lors temps de me taire? 1 Var. de l'édit.... | |
 | Antoine François Campaux - 1859 - 412 pages
...dire : j'en appel ? Si avait, je vous certifie, Combien que point trop ne m'y lie. Quand on médit, présent notaire : « Pendu serez! » je vous affie, Estoit-il lors temps de me taire? ENVOI. Prince, si j'eusse eu la pépie, Pieça je fusse où est Clotaire, Aux champs debout, comme... | |
 | Antoine François Campaux - 1859 - 414 pages
...Cuydez-vous que, soubz mon cappel, N'y eust tant de philosophie, Comme de dire : j'en appel ? Si avait, je vous certifie, Combien que point trop ne m'y fie. Quand on medit, présent notaire : « Pendu serez! » je vous affie, Estoit-il lors temps de me taire? ENVOI.... | |
 | Eugène Crépet - French poetry - 1861 - 746 pages
...— " Croyez-vous. — " Chaperon. — M Bon sens, sagesse.— " Certes, il y en avait bien asici. Combien que point trop ne m'y fie. Quand on me dit, présent notaire l : u Pendu serez! » je vous aftîe *, Estoit-il lors temps de me taire ? Prince, si j'eusse eu la... | |
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N'y eust tant de philosophie Comme de dire : « J'en appel? » Si avoit, je vous certifie, Combien que point trop ne m'y fie. 
