Manuel de littérature française: comprenant: 10 des notices biographiques et littéraires; 20 des oeuvres ou morceaux choisis de chaque auteur; 30 des notes explicatives; 40 un questionnaire détaillé pour chaque auteur, Volume 10 |
From inside the book
Results 1-5 of 52
Page 34
... avez Shakespeare , nous avons Molière . " " Mais Molière , s'écria - t - il , n'est pas français : il appartient au monde entier ! Dieu , voulant donner à la terre un auteur comique parfait , a laissé tomber Molière du haut de l'em ...
... avez Shakespeare , nous avons Molière . " " Mais Molière , s'écria - t - il , n'est pas français : il appartient au monde entier ! Dieu , voulant donner à la terre un auteur comique parfait , a laissé tomber Molière du haut de l'em ...
Page 38
... avez de l'argent caché ? 15 HAR . Non , coquin , je ne dis pas cela . ( Bas . ) J'enrage ! ( Haut . ) Je demande si malicieusement tu n'irais point faire courir le bruit que j'en ai ? LA FL . Eh ! que nous importe que vous en ayez ou ...
... avez de l'argent caché ? 15 HAR . Non , coquin , je ne dis pas cela . ( Bas . ) J'enrage ! ( Haut . ) Je demande si malicieusement tu n'irais point faire courir le bruit que j'en ai ? LA FL . Eh ! que nous importe que vous en ayez ou ...
Page 41
... avez entendu ... ? CLE . Quoi , mon père ? HAR . Là .. ÉL . Quoi ? HAR . Ce que je viens de dire ? CLÉ . Non . HAR . Si fait , si fait . ÉL . Pardonnez - moi . HAR . Je vois bien que vous en avez ouï quelques mots . C'est que je m ...
... avez entendu ... ? CLE . Quoi , mon père ? HAR . Là .. ÉL . Quoi ? HAR . Ce que je viens de dire ? CLÉ . Non . HAR . Si fait , si fait . ÉL . Pardonnez - moi . HAR . Je vois bien que vous en avez ouï quelques mots . C'est que je m ...
Page 42
... avez pas lieu de vous plaindre , et l'on sait que vous avez assez de bien . HAR . Comment ! j'ai assez de bien ! Ceux qui le disent en ont menti . Il n'y a rien de plus faux ; et ce sont des 5 coquins qui font courir ces bruits - là ...
... avez pas lieu de vous plaindre , et l'on sait que vous avez assez de bien . HAR . Comment ! j'ai assez de bien ! Ceux qui le disent en ont menti . Il n'y a rien de plus faux ; et ce sont des 5 coquins qui font courir ces bruits - là ...
Page 48
... avez là un vrai visage de santé ! HAR . Qui , moi ? FROS . Jamais je ne vous vis un teint si frais et si gaillard . HAR . Tout de bon ? FROS . Comment ! vous n'avez de votre vie été si jeune que vous êtes , et je vois des gens de vingt ...
... avez là un vrai visage de santé ! HAR . Qui , moi ? FROS . Jamais je ne vous vis un teint si frais et si gaillard . HAR . Tout de bon ? FROS . Comment ! vous n'avez de votre vie été si jeune que vous êtes , et je vois des gens de vingt ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abner ALPHONSE DAUDET assez Athalie avez beau belle C'était Calypso cent charme chère chevaux chèvre chose chrétiens ciel Cloth cœur Comédie Corneille coup Dieu dieux dire donne ÉLISE enfants esprit est-ce êtes Félix femme fille française French FROS Frosine gens GEORGE SAND Gil Blas Gilliatt gloire Grèce Harpagon homme j'ai j'en jeune Joad Joas Josabet jour l'homme laisser langue latin Ligne LL.D Madame Madame de Sévigné main maître Jacques manger Mariane ment Mme de Sévigné Mme de Staël Molière monde monsieur Seguin mort Napoléon Néarque Notes Page Ligne parler passé PAUL Pauline pauvre pensée père personnages peuple Ph.D pieds pieuvre pleurs poésie poète Polyeucte Qu'est-ce raison reste rien rois roman sang SCÈNE Seigneur sentiments serait seul Sévère siècle songe sort STRA STRATONICE style Télémaque temple terre trouve Valère Verbs veux Victor Hugo Villemer voilà vois yeux
Popular passages
Page 27 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 21 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire...
Page 199 - Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes.
Page 65 - Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde.
Page 65 - ... cher ami ! on m'a privé de toi; et puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support , ma consolation , ma joie : tout est fini pour moi , et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi , il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus; je me meurs; je suis mort; je suis enterré.
Page 126 - Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 18 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 102 - Seigneur, de vos bontés il faut que je l'obtienne; Elle a trop de vertus pour n'être pas chrétienne ! Avec trop de mérite il vous plut la former Pour ne vous pas connaître et ne vous pas aimer, Pour vivre des enfers esclave infortunée, Et sous leur triste joug mourir comme elle est née.
Page 165 - Ma fille. En achevant ces mots épouvantables, Son Ombre vers mon lit a paru se baisser. Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser. Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 140 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.