 | François-René vicomte de Chateaubriand - Art and religion - 1802 - 358 pages
...l'immensité , une oreille attentive à la foible voix de sa créature j voilà ce qu'on ne sauroit peindre , et ce que tout le cœur de l'homme suffit...sentir. Passons à la scène terrestre. Un soir je m'étois égaré dans une forêt , à quelque distance de la cataracte de Niagara-; bientôt je vis... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - Art and religion - 1816 - 428 pages
...l'abîme , d'une main retenant le soleil aux portes de l'occident , de l'autre élevant la lune dans l'orient , et prêtant , à travers l'immensité,...attentive à la voix de sa créature : voilà ce qu'on ne sauroit peindre , et ce que tout le cœur de l'homme suffit à peine pour sentir. Passons à la scène... | |
 | France - 1817 - 878 pages
...l'abîme, d'une main retenant le soleil aux portes de foc* -, dent, de l'autre élevant la lune dans l'orient, et prêtant, à travers l'immensité , une...tout le cœur de l'homme suffit à peine pour sentir. (Génie du Christianisme, page 24° > *•" volume. ) A Monsieur le Rédacteur des Annales maritimes.... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1826 - 426 pages
...l'abîme , d'une main retenant le soleil aux portes de l'occident, de l'autre élevant la lune dans l'orient, et prêtant à travers l'immensité, une...attentive à la voix de sa créature : voilà ce qu'on ne sauroit peindre , et ce que tout le cœur de l'homme suffit à peine pour sentir. Passons à la scène... | |
 | France - 1827 - 582 pages
...prêtant, â travers l'immensité, une oreille attentive â la faible voix de sa créature , roilâ ce qu'on ne saurait peindre , et ce que tout le cœur de l'homme suffit â peine â sentir. > La ville est divisée en deux parties , ville Vieille et ville Neuve. La première,... | |
 | Timothy Flint - Mississippi River Valley - 1828 - 828 pages
...extracts hereafter. We close with giving the following passage, in the original, and in translation. ' Passons à la scène terrestre. 'Un soir je m'étais égaré dans une grande forêt, à quelque dis1 tance de la cataracte de Niagara; bientôt je vis le jour s'éteindre... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 470 pages
...travers l'immensité, une oreille attentive à lavoix de sa créature : voilà ce qu'on ne sauroit peindre, et ce que tout le cœur de l'homme suffit...sentir. , Passons à la" scène terrestre. Un soir je m'étois égaré dans une forêt, à quelque distance de la cataracte de Niagara; bientôt je vis le... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1835 - 460 pages
...l'abîme, d'une main retenant le soleil aux portes de l'occident, de l'autre élevant la lune dans l'orient, et prêtant, à travers l'immensité, une...attentive à la voix de sa créature : voilà ce qu'on ne sauroit peindre, et ce que tout le cœur de l'homme suffit à peine pour sentir. Passons à la scène... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 390 pages
...l'abîme, d'une main retenant le soleil aux portes de l'occident, de l'autre élevant la lune dans l'orient, et prêtant, à travers l'immensité, une...attentive à la voix de sa créature : voilà ce qu'on ne sauroit peindre, et ce que tout le cœur de l'homme suffit à peine pour sentir. Passons à la scène... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1836 - 450 pages
...travers l'immensité, une oreille attentive à la voix de sa créature : voilà ce qu'on ne sauroit peindre, et ce que tout le cœur de l'homme suffit à peine pour sentir. Un soir je m'étois égaré dans une forêt, à quelque distance de la cataracte de Niagara; bientôt... | |
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Dieu penché sur l'abîme, d'une main retenant le soleil aux portes de l'occident, de l'autre élevant la lune dans l'orient, et prêtant... 
