Les classiques françaises à l'usage de la jeunesse protestante; or, Selections from ... French classical works, preceded by lives of the writers by C. Lombard de LucC Lombard de Luc 1858 |
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... coups de la fortune : l'orage renverse plutôt le chêne que le roseau . Ne dis je veux , qu'après avoir calculé si tu peux . Fais du bien si tu veux qu'on t'en fasse . Cherche avec persévérance et tu trouveras . La paresse a pour ...
... coups de la fortune : l'orage renverse plutôt le chêne que le roseau . Ne dis je veux , qu'après avoir calculé si tu peux . Fais du bien si tu veux qu'on t'en fasse . Cherche avec persévérance et tu trouveras . La paresse a pour ...
Page 24
... coup d'œil égaré , Et , sans aucune affaire , est toujours affairé . Tout ce qu'il vous débite en grimaces abonde ; A ... coups la conversation . Le beau temps et la pluie , et le froid et le chaud , Sont des fonds qu'avec elle on épuise ...
... coup d'œil égaré , Et , sans aucune affaire , est toujours affairé . Tout ce qu'il vous débite en grimaces abonde ; A ... coups la conversation . Le beau temps et la pluie , et le froid et le chaud , Sont des fonds qu'avec elle on épuise ...
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... coups de bâton entre les gens qui s'aiment , ne font que regaillardir l'affection . Va , je m'en vais au bois , et je te promets aujourd'hui plus d'un cent de fagots . MOLIÈRE . Instructions Utiles . Un certain Grec disait à l'empereur ...
... coups de bâton entre les gens qui s'aiment , ne font que regaillardir l'affection . Va , je m'en vais au bois , et je te promets aujourd'hui plus d'un cent de fagots . MOLIÈRE . Instructions Utiles . Un certain Grec disait à l'empereur ...
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... arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas . Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : 32 POÉSIE .
... arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas . Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : 32 POÉSIE .
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C Lombard de Luc. Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin . Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord ... coups épouvantables ...
C Lombard de Luc. Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin . Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord ... coups épouvantables ...
Common terms and phrases
admirable aime Alceste âme Athalie beau belles bientôt cacher Célimène cesse changer CHATEAUBRIAND cher chercher choses ciel cœur commerce corps coups cours d'être demande devant Dieu dieux dire discours donne écrit enfants enfin esprit faisant femme fille fils fond font force forme fortune frère fruit gens gloire Grèce heureux homme humaine j'ai jette jeune Joas jour juger l'autre l'esprit l'homme l'un l'univers laisse lieux livre loin lois lui-même lumière Madame main maître malheureux marche Martine mère mettre mieux milieu mille misère monde montre mort n'en nature parler passe pays peine pensée père personne peuple pieds placer plaisir porte pouvoir premier puisse qu'à qu'un Racine raison regarde reine rendre reste rien rois s'il sage sais sait sang semble sentiment sera servir seul soldats soleil songe sort souvent terre tombe tombeau triste trouve vérité veut veux vices vient voie Voilà vois voit voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 32 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 48 - ... L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui l'univers n'en sait rien.
Page 22 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux, les hommes comme ils font ; Je ne trouve partout, que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage, et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Page 40 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 27 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 49 - La méthode de ne point errer est recherchée de tout le monde. Les logiciens font profession d'y conduire, les géomètres seuls y arrivent, et hors de leur science et de ce qui l'imite il n'ya point de véritables démonstrations.
Page 36 - L'absence est le plus grand des maux: Non pas pour vous, cruel! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 22 - Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie Partout où vous allez donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 40 - Repartit le vieillard. Tout établissement Vient tard et dure peu. La main des Parques blêmes De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée. Qui de nous, des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier ? Est-il aucun moment Qui vous puisse assurer d'un second seulement...
Page 21 - Non, je ne puis souffrir cette lâche méthode, Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode ; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, Ces obligeants diseurs d'inutiles paroles, Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.