An Introduction to the French Language: Containing Fables, Select Tales, Remarkable Facts, Amusing Anecdotes, &c. : with a Dictionary of All the Words, Translated Into English |
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Page 15
... s'il fallait vivre avec ce boudin qui est à mon nez : croyez - moi , il nous reste un souhait à faire , laissez - le - moi , ou je vais me jeter par la fenêtre . " En disant ces paroles , elle courut ouvrir la fenêtre , et son mari ...
... s'il fallait vivre avec ce boudin qui est à mon nez : croyez - moi , il nous reste un souhait à faire , laissez - le - moi , ou je vais me jeter par la fenêtre . " En disant ces paroles , elle courut ouvrir la fenêtre , et son mari ...
Page 16
... s'il plait à Dieu , jusqu'à cent mille dragmes . II . " Lorsque je me verrai riche de cent mille dragmes , je m'estimerai autant qu'un prince , et j'enverrai demander en mariage la fille du grand - visir , en faisant représenter à ce ...
... s'il plait à Dieu , jusqu'à cent mille dragmes . II . " Lorsque je me verrai riche de cent mille dragmes , je m'estimerai autant qu'un prince , et j'enverrai demander en mariage la fille du grand - visir , en faisant représenter à ce ...
Page 19
... s'il les empoisonnait , ses compagnons de voyage en mour- raient et que le trésor lui resterait , et il empoisonna les mets . Cependant les deux autres avaient médité , pen- dant son absence , de le tuer et de partager entre eux le ...
... s'il les empoisonnait , ses compagnons de voyage en mour- raient et que le trésor lui resterait , et il empoisonna les mets . Cependant les deux autres avaient médité , pen- dant son absence , de le tuer et de partager entre eux le ...
Page 32
... s'il eût été cou- vert d'un nuage épais . Mais si je fus étonné de cette ob- scurité , je le fus bien davantage , quand je m'aperçus que ce qui la causait , était un oiseau d'une grandeur extraordi- naire , qui s'avançait de mon côté en ...
... s'il eût été cou- vert d'un nuage épais . Mais si je fus étonné de cette ob- scurité , je le fus bien davantage , quand je m'aperçus que ce qui la causait , était un oiseau d'une grandeur extraordi- naire , qui s'avançait de mon côté en ...
Page 40
... s'il nous fût resté plus d'hommes ; mais , malheureusement , nous perdîmes tout notre monde au moment où nous allions gagner la victoire . V. Je me trouvai encore une fois au pouvoir des Fran- çais , et je pense que j'aurais passé un ...
... s'il nous fût resté plus d'hommes ; mais , malheureusement , nous perdîmes tout notre monde au moment où nous allions gagner la victoire . V. Je me trouvai encore une fois au pouvoir des Fran- çais , et je pense que j'aurais passé un ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 95 - Il n'y avait pas moyen de tomber à genoux dans la voiture ; l'invalide se confond en excuses et supplie l'empereur d'arrêter pour qu'il puisse descendre. " Non pas, lui dit Joseph ; après avoir mangé mon faisan, vous seriez trop heureux de vous débarrasser de moi aussi promptement; j'entends bien que vous ne me quittiez qu'à votre porte.
Page 60 - FOURMI La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 61 - Chaldéens, il n'ignorait pas les principes physiques de la nature tels qu'on les connaissait alors, et savait de la métaphysique ce qu'on en a su dans tous les âges, c'est-à-dire fort peu de chose.
Page 12 - Pourquoi s'inquiéter ? Jamais Dieu n'abandonne les siens. Son amour a des secrets que nous ne connaissons point. Croyons, espérons, aimons, et poursuivons notre route en paix. Si je meurs avant vous, vous serez le père de mes enfants : si vous mourez avant moi, je serai le père des vôtres. Et si, l'un et l'autre, nous mourons avant qu'ils soient en âge de pourvoir eux-mêmes à leurs nécessités, ils auront pour père le Père qui est dans les cieux.
Page 104 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Page 85 - LE CORBEAU ET LE RENARD Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : Et bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
Page 11 - Or, bien que la même pensée fût venue également à l'autre père, il ne s'y était point arrêté ; car, disait-il, Dieu, qui connaît toutes ses créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme, et sur mes enfants. Et celui-ci vivait tranquille, tandis que le premier ne goûtait pas un instant de repos ni de joie intérieurement. Un jour qu'il travaillait aux champs, triste et abattu à...
Page 10 - Deux hommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétait en luimême, disant : Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfants...
Page 83 - D'une façon fort civile, A des reliefs d'ortolans. Sur un tapis de Turquie • Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.
Page 104 - J'ai mon Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants dieux. JOAs. Il faut craindre le mien ; Lui seul est Dieu, madame, et le vôtre n'est rien.