HUME (David). Comment il entend la - - - - de la propriété, I, 120. Sur la - - - HUTCHESON. Son opinion sur le beau, I, Idéalisme. Différentes acceptions de ce 3. - - - - Idée. Différentes acceptions de ce mot, - Images distinguées des idées exactes, Images représentatives des objets ex- - Imagination. Ce qu'on entendait par - - Immédiate (Idée), II, 8. Immortalité de l'âme. Raisons sur lesquelles elle s'appuie, I, 14; III, 441. Impénétrabilité, distincte de la matérialité, II, 13. - Impénétrabilité réciproque des parties de l'espace, II, 155, Impénétrabilité réciproque des parties du temps, II, 192. L'impénétrabilité est-elle une nécessité dans les corps, III, 292. Impossibilité. Analyse de cette idée, III, 40.-Impossibilité métaphysique, physique et morale, ibid. Impression (L') du corps n'est pas la perception de l'âme, I, 11. - Les impressions du corps sont perçues par l'âme comme des objets extérieurs, I, 12.-Impression, distinguée de la perception, de l'affection et de la sensation, II, 54, 59, 61, 62. Inclination. Son unité, I, 8.-Ce qu'on entend par ce mot, I, 55. — Índépendance des inclinations à l'égard des autres facultés, I, 56. — Leurs caractères communs, I, 57, 91.-Leur désintéressement primitif, ibid. et 103. Opinion de David Hume sur ce sujet, ibid.;-de Zénon, I, 92; — de Cicéron, ibid.; de Sénèque, ibid.-Leur division, I, 97, 102. Opinion de Descartes sur ce sujet, ibid.;-de Platon, I, 100;-d'Aristote, I, 101;-de Malebranche, ibid. Celles qui se rapportent à des objets personnels, I, 105. · Celles qui se rapportent à nos semblables, I, 165. Les inclinations qui se rapportent à des objets non personnels, I, 222. Inclinations antipathiques, I, 302. - Inclinations sympathiques, ibid. - Liaison de quelques inclinations entre elles, I, 309. Leur équilibre, I, 315. 317. Leur utilité, I, Leur influence sur la mé moire, II, 273. le jugement, III, 25, 29. Incomplètes (Idées). Signification de ce terme, II, 6. Incomplexe (Idée), Il, 4. Inconnu (Appréhension instinctive de 1'), I, 137. Croyance_instinctive à l'autorité de l'inconnu, I, 190. Indéfini (L') distingué de l'infini, II, 209.-Idée de l'indéfini, II, 243. Indépendance (Amour de l'), I, 157. Tempérée par la docilité, ibid. Indivisibilité des parties élémentaires de l'espace, II, 164. Indignation, I, 224. Induction (L'), II, 419.-Ses différentes formes, II, 420.-Sa nature, II, 435. Son abus, ibid. - Double sens de ce mot, II, 436.-Induction d'Aristote, II, 436; III, 122, 241.-L'induction de Bacon, II, 441.-L'induction distinguée de l'association des idées, II, 446;-de la croyance à la perfection de Dieu, II, 447; - du principe de causalité, II, 448. - Raisons du nom d'induction, II, 449.— L'induction ne suffit pas pour produire la croyance à la perfection de Dieu, II, 504;-ni l'idée de création, II, 512.-La part de l'induction dans la croyance en Dieu, II, 505. - Ses erreurs, III, 21.-Elle ne peut produire l'idée de l'infini, III, 242. Infini (L') distingué du parfait, II, 189, 246.-L'infini distingué de l'indéfini ou de l'indéterminé, II, 209. - Êtres infinis, II, 242. —Analyse de cette idée, II, 244.-Si l'infini peut être appelé un tout, II, 245.-Si l'idée de l'infini est négative, ibid. —Origine de cette idée, II, 246.- La connaissance de l'infini n'est pas due au raisonnement, III, 135.-L'infini distingué du général, III, 242. Innée (Connaissance), selon Platon, III, 212.-Rejetée par Aristote, III, 240. Idées innées. Sens de ce mot chez Descartes, III, 261. Selon Leibniz, III, 304. Discussion de Locke sur ces idées, III, 321. Instant (L') sans durée distingué du temps réel, II, 306. Instinct. Mouvements instinctifs, 1, 66. Diverses acceptions de ce mot, I, 358.-Conceptions a priori qui éclairent les instincts, II, 292. Intelligence, son unité, I, 7.-Synonyme d'entendement et raison, I, 56. - Son indépendance à l'égard des autres facultés, I, 57. - Facultés intellectuelles; leurs caractères com 531. Jouissance, I, 93. J muns, 1, 58;-réglées par la volonté, Je, Sens de ce mot, II, 122. 1,348; distinctes de la volonté,1,349. JOB. Modèle de la véritable piété, II, -Différentes manières de diviser l'intelligence, II, 1.-Les faits intellectuels considérés suivant leurs objets, II, 3; suivant leur mode, II, 6;suivant leur origine, II, 9. — Culture de l'intelligence considérée comme l'une des vertus, II, 313. Principaux systèmes sur l'intelligence, III, 199. Divisions établies dans l'intelligence, par Platon, III, 213, 214. -- Sa nature suivant Aristote, III, 247, 249, 251. L'intelligence distinguée de la raison, par Port-Royal, III, 270. Les discussions des philosophes sur l'intelligence comprennent surtout quatre questions, III, 431. Résumé sur les facultés intellectuelles, II, 533. Intelligence pure. Sens de ce mot chez Intelligibles (Les choses). Sont seules Intérêt (Doctrine de l'), II, 376. 297; Jugement. Il précède l'idée, III, 2. 13. 14. Les jugements sont 1° les perceptions primitives, III, 6; 2° les conceptions idéales, III, 9; 3° les croyances, III, 10. Vraie relation du jugement et de l'idée, III, 11. · Les premiers jugements ne sont ni les plus simples ni les plus complexes possible, III, 12. Composition et décomposition des jugements, III, Jugements complexes, III, - Le jugement n'est pas la volonté, III, 49. En quel sens diton que nous pouvons le suspendre, III, 51. Jugements analytiques ou explicatifs, et jugements synthétiques ou extensifs. Sens de ces mots dans la doctrine de Kant, III, 343. Les jugements analytiques de Kant ne sont pas des connaissances nécessaires ou des connaissances a priori, III, 344. Jugements mathématiques, III, 345. Juste, étymologie de ce mot, III, 335. K KANT. Sa théorie du beau, I, 292. — Sa théorie sur l'intelligence, III, 341. Son conceptualisme, III, 342. gements analytiques et synthétiques, III, 343. Sa fausse idée des connaissances nécessaires, III, 343, 345. Division des jugements synthétiques a priori, III, 345. Distinction erronée de la physique pure et de la métaphysique, III, 346.-Division des conceptions transcendantales, III, 348. Celles qui accompagnent la faculté sensitive, III, 352.- L'étendue et la forme, III, 354.- Le temps, III. 360. - Conclusions sur l'espace et le temps, III, 363. - Les conceptions transcendantales qui accompagnent l'entendement, III, 365. gories, III, 368; d'avec les notions d'espace et de temps, III, 369. - Ce ne sont que des catégories de l'abstraction, III, 370. Elles ne sont pas toutes a priori, III, 372. Elles ne sont pas vides de réalité extérieure, III, 374. Connaissance mal expliquée, III, 375. Analogies de Kant avec Descartes, III, 377. Le schème, III, 379. Principes de l'entendement, III, 381. Critique de ces principes, III, 383. Résumé sur les catégories, III, 388. - Des conceptions transcendantales qui accompagnent la raison pure ou des idées, III, 390. Paralogismes de la psychologie rationnelle, III, 397.. Antinomies de la cosmologie rationnelle, III, 402. - Idéal de la théologię rationnelle, III, 409. Les antécédents de cette doctrine, III, 410. Preuves morales de l'existence de Dieu, III, 416. Distinction entre la connaissance et la croyance, III, 421. Résumé sur la doctrine de Kant, III, 424. L Laideur. Sa définition, I, 275. Langage. Son utilité pour la connaissance de soi-même, II, 123. - Langage des signes, II, 457.- Il exprime les choses morales, II, 462, 489. Le langage articulé fait partie du langage naturel, II, 462. Peut-il être appelé une méthode analytique, III, 92. Langues. Causes de leur diversité, II, 476. Leurs différentes familles, II, 479. Elles ne sont pas le résultat du hasard, II, 486. Elles ne sont pas uniquement le résultat de l'imitation, II, 487. Elles ne sont pas le fruit du raisonnement, II, 491. En un certain sens, elles ne font pas de progrès ibid.. Elles ne sont pas d'invention humaine, II, 485, 492, 495. Cela est montré par l'histoire, II, 500.- Les langues barbares ne sont pas les restes d'une ancienne civilisation, II, 497. — La langue n'a pas été matériellement révélée de Dieu, II, 498. LEIBNIZ. Son opinion sur la différence des corps inanimés et des corps vivants, I, 24. Sur la division des facultés, I, 54. Sur la faculté motrice, I, 82. Sur la sympathie, I, 195. Sur les sens extérieurs, II, Sur l'espace, II, 174. Sur le temps, II, 210. Sa manière 93. - Liberté (La), I, 319. Elle ne fait pas partie de la raison, I, 49. - Amour de la liberté, I, 157; tempéré par la docilité, ibid.— Preuve directe de la liberté, I, 324. Ses preuves indirectes, I, 328. Sa conciliation avec les attributs de Dieu, I, 330. Opinion de Bossuet sur ce point, ibid. et I, 335. Elle consiste non dans le pouvoir d'agir, mais dans le pouvoir de vouloir, I, 332. Du doute sur la liberté dans l'intérêt de la foi, 1, 341. Le respect de la liberté peut-il être considéré comme le seul précepte de la morale, II, 410. LOCKE. Sa division des facultés, 1, 54. Sa théorie sur les sens extérieurs, II, 95. Sa confusion de la perception, de l'impression de l'idée et de la sensation, II, 55. Son opinion sur l'origine de l'idée d'infini, II, 246. - Sa description de l'idée d'unité, II, 305. Sa doctrine morale, II, 382. Sa théorie de la connaissance, III, 55. Sa discussion sur les idées innées, III, 321. Sa théorie des facultés intellectuelles, III, 327. - Ses contradictions, III, 329, 332. Son opinion sur l'idée de substance, III, 330. Sur les vérités éternelles, III, 331. Magnétique (Somnambulisme), I, 356. Main (La). Le principal organe du toucher, II, 16. MAINE DE BIRAN. Son opinion sur la volonté, considérée comme l'unique faculté de l'âme, I, 28. Matière de la connaissance. Sens de ces mots, III, 353. Maxime. Sens de ce mot, III, 262. Maximum du bonheur (Le). Doit-il être la seule règle de nos actions, II, 408. Médiate (Idée), II, 8. MÉGARE (Secte de). Ses objections contre la connaissance, III, 63. Mélodie (Perception de la), II, 35. Conception idéale de la mélodie, II, 294. Mélodie expressive, II, 297. Majeur, majeure. Ce que l'on entend Mémoire. Perfectionnée par la volonté, par ces mots, III, 117. Mal moral. Sa définition, II, 316. Sa MALEBRANCHE. Son opinion sur la division des facultés, I, 54. Sur la faculté motrice, 1, 81. Sur la division des inclinations, I, 101. Sur le respect de l'antiquité, I, 183.Ses accusations contre les sens, II, 24, 28, 30, 31. Ses objections contre la théorie des scolastiques sur les sens extérieurs, II, 85. théorie sur les sens extérieurs, II, 86. Son opinion sur la conscience, II, 127. Sa théorie de l'intelligence, III, 283. - Il y a suivant lui quatre manières de connaître, ibid.Son opinion sur le rapport des vérités éternelles avec Dieu, III, 284. Halléabilité (Perception de la), II, 19. I, 355. Sa nature, II, 142, 145. Notions qui lui sont dues, II, 149. Conceptions de la mémoire, II, 251. Mémoire locale, II, 256. Mé moire métaphysique, II, 256, 266, 433. Mémoire physique, II, 253, 266,433.-Mémoire verbale, II,256.Mémoire des enfants, II, 266. — Mémoire des hommes mûrs, ibid. Mémoire oratoire et poétique, ibid. Mémoire scientifique, II, 267. Moyen de perfectionner la mémoire, II, 275. Mémoire artificielle, ibid. Résumé sur la mémoire, II, 277. Mémoire imaginative, III, 149. Mémoire intellectuelle, ibid. l'on peut dire qu'une idée est dans la mémoire, III, 323. Menteur (Sophisme du), III, 64. Mépris, II, 318. Mérite (Idée du), II, 317. Méritoire. Signification de ce mot, ibid. Manière (Paralogismes qui naissent de Merveilleux (Amour du), I, 228. la), III, 26. Materia. Sens de ce mot, II, 13. Matérialisme. Conséquences matérialistes que l'on tire de l'étymologie des mots, III, 334. Matérialité (La). En quoi elle consiste, II, 13. Si Le merveilleux est le caractère assigné par Aristote à la poésie, III, 161, 164, 173. Le merveilleux qui étonne la raison, et celui qui la contredit, III, 176, 179. |