L'enseignement moral à l'école primaireVve Auguste-Godchaux, 1900 - 170 pages |
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... êtes faible et lâche Et vous voit toujours rire quand on se fàche . Pas de gouvernement possible . A chaque instant L'ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ; Plus de règle . L'enfant n'a plus rien qui l'arrête . Vous ...
... êtes faible et lâche Et vous voit toujours rire quand on se fàche . Pas de gouvernement possible . A chaque instant L'ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ; Plus de règle . L'enfant n'a plus rien qui l'arrête . Vous ...
Page 24
... êtes polis , tra- vailleurs , si vous êtes travailleurs . Ne perdez pas de vue la responsabilité qui , sous ce rapport , pèse sur vous , et vous formerez de bons petits frères et de bonnes petites sœurs qui marcheront sur vos traces et ...
... êtes polis , tra- vailleurs , si vous êtes travailleurs . Ne perdez pas de vue la responsabilité qui , sous ce rapport , pèse sur vous , et vous formerez de bons petits frères et de bonnes petites sœurs qui marcheront sur vos traces et ...
Page 29
... êtes tué , que deviendront ces enfants- là ! Ma vie est moins précieuse que la vôtre ! ... j'y vais ! » Rien ne peut la retenir : elle part , traverse les rues , fran- chit les barricades , et , risquant vingt fois sa vie , rapporte ...
... êtes tué , que deviendront ces enfants- là ! Ma vie est moins précieuse que la vôtre ! ... j'y vais ! » Rien ne peut la retenir : elle part , traverse les rues , fran- chit les barricades , et , risquant vingt fois sa vie , rapporte ...
Page 59
... êtes souverains ... Il y a un jour dans l'année où le gagne - pain , le journa- lier , le manoeuvre , l'homme qui traîne des fardeaux , l'homme qui casse des pierres au bord des routes , juge les représentants , le sénat , les ministres ...
... êtes souverains ... Il y a un jour dans l'année où le gagne - pain , le journa- lier , le manoeuvre , l'homme qui traîne des fardeaux , l'homme qui casse des pierres au bord des routes , juge les représentants , le sénat , les ministres ...
Page 94
... êtes parfois tentés de mentir , comme cela arrive trop souvent pour éviter une punition méritée , souvenez - vous du petit héros qui a mieux aimé subir un injuste supplice que de souiller sa conscience d'un mensonge . A. RENDU ...
... êtes parfois tentés de mentir , comme cela arrive trop souvent pour éviter une punition méritée , souvenez - vous du petit héros qui a mieux aimé subir un injuste supplice que de souiller sa conscience d'un mensonge . A. RENDU ...
Common terms and phrases
aime amour André CHÉNIER animaux Aubertot avez Bernard Palissy bientôt bonne réputation buveur d'absinthe Caïn camarades capitaine Certificat d'Etudes primaires citoyen cœur colère conduit corps courage d'autrui dépenses devoirs de charité devoirs de justice Devoirs envers devons dévouement Dieu dignité personnelle disait domestique donner enfants êtes famille femme fils FLORIAN force Franklin frères garçon grand-papa gymnastique Hautes-Pyrénées heureux homme HUGO intérêt jamais jeune jour l'école l'enfant l'esprit l'homme l'impôt Leçon LECTURES Lepelletier lois Mademoiselle Marie maison maitre malade malheur manque mère Meuse Michel de l'Hôpital misère modeste monsieur Montrez morale mort MOTIFS DU DEVOIR ouvriers pain parents paresse passer patrie patron pauvre pays peine penser père personne petit petite propreté Racan reconnaissance RÉDACTIONS remplir respect reste RÉSUMÉ rien Robinson Crusoé santé secours sentiments Serge Ivanowitch service serviteurs seulement sobriété société sœurs soins soldat sortes souvent Soyons suffrage universel travail vertu Victor HUGO voilà vote Yonne
Popular passages
Page 47 - Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau. Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère; Et, comme ferait une mère, La voix d'un peuple entier les berce en leur tombeau.
Page 103 - Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci: Les vents me sont moins qu'à vous redoutables, Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Eesisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 103 - Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 89 - Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout.
Page 97 - Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 102 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 155 - J'ai des jambes, et vous des yeux. Moi , je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide : Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez. Ainsi , sans que jamais notre amitié décide Qui de nous deux remplit le plus utile emploi, Je marcherai pour vous , vous y verrez pour moi.
Page 97 - Croyez-vous qu'il suffise d'en porter le nom et les armes, et que ce nous soit une gloire d'être sortis d'un sang noble, lorsque nous vivons en infâmes? Non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas. Aussi, nous n'avons part à la gloire de nos ancêtres qu'autant que nous nous efforçons de leur ressembler; et cet éclat de leurs actions qu'ils répandent sur nous nous impose un engagement de leur faire le même honneur, de suivre les pas qu'ils nous tracent, et de ne point dégdnérer...
Page 142 - D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando...
Page 128 - Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fit ; — Faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir.