Mémoires d'outre-tombe, Volume 7E. et V. Penaud frères, 1849 |
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... force les lignes de l'ennemi sur la Sambre . Le 16 , il bat les Prussiens dans ces champs de Fleurus où la victoire semble à jamais fidèle aux Français . Les villages de Ligny et de Saint- Amand sont emportés . Aux Quatre - Bras , nou ...
... force les lignes de l'ennemi sur la Sambre . Le 16 , il bat les Prussiens dans ces champs de Fleurus où la victoire semble à jamais fidèle aux Français . Les villages de Ligny et de Saint- Amand sont emportés . Aux Quatre - Bras , nou ...
Page 80
... force ... faites - le par- tir ... ses services ne peuvent être acceptés . Les services de Napoléon ne pouvaient être acceptés ! Et n'aviez - vous pas accepté ses bien- faits et ses chaînes ? Napoléon ne s'en allait point ; il était ...
... force ... faites - le par- tir ... ses services ne peuvent être acceptés . Les services de Napoléon ne pouvaient être acceptés ! Et n'aviez - vous pas accepté ses bien- faits et ses chaînes ? Napoléon ne s'en allait point ; il était ...
Page 89
... force foulé aux pieds les choses saintes dont il invo- quait la garantie ? n'avait - il pas enlevé Tous- saint - Louverture et le roi d'Espagne ? n'avait - il pas fait arrêter et détenir prisonniers pendant des années les voyageurs ...
... force foulé aux pieds les choses saintes dont il invo- quait la garantie ? n'avait - il pas enlevé Tous- saint - Louverture et le roi d'Espagne ? n'avait - il pas fait arrêter et détenir prisonniers pendant des années les voyageurs ...
Page 116
... force brutale . Sa fortune inouïe a laissé à l'ou- trecuidance de chaque ambition l'espoir d'ar- river où il était parvenu . Et pourtant cet homme , si populaire par le cylindre qu'il avait roulé sur la France , était l'ennemi mortel de ...
... force brutale . Sa fortune inouïe a laissé à l'ou- trecuidance de chaque ambition l'espoir d'ar- river où il était parvenu . Et pourtant cet homme , si populaire par le cylindre qu'il avait roulé sur la France , était l'ennemi mortel de ...
Page 119
... force . Pour ne pas avouer l'amoindrissement de territoire et de puissance que nous devons à Bonaparte , la génération actuelle se console en se figurant que ce qu'il nous a retranché en force , il nous l'a rendu en illustration ...
... force . Pour ne pas avouer l'amoindrissement de territoire et de puissance que nous devons à Bonaparte , la génération actuelle se console en se figurant que ce qu'il nous a retranché en force , il nous l'a rendu en illustration ...
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Common terms and phrases
abdication affaires amis anglais arrivé aurait avaient avez bataille bataille de Waterloo Berlin billet Blacas Bonaparte c'était Canning Cent-Jours Chambre des pairs Chamisso Charlotte Charte CHATEAUBRIAND chose cœur comte Congrès Congrès de Vérone Corbière d'Espagne Decazes dépêche dernier destitution devant Dieu diplomatiques duc de Wellington duchesse de Cumberland eût Ferronnays Fouché Gand Georges IV gouvernement guerre d'Espagne homme j'ai j'aurais j'avais j'étais jamais jours juin l'Angleterre l'empereur l'Europe l'honneur l'opposition laissé lettre liberté Londres Longwood Lord Bathurst Lord Liverpool lord Londonderry Louis XVIII m'avait m'étais madame la duchesse marquis de Londonderry mémoire ment ministre monarchie monde Monsieur le vicomte Montmorency mort n'avait n'était Napo Napoléon noble parler passé patrie personne peuples politique porte portefeuille pouvait premier prince reste révolution Richelieu rien rois royale s'était saint Sainte-Hélène sentiments serait seul siècle soldats sort Talleyrand teaubriand tête tion tomber tribune trône trouve Vérone Villèle voulait Waterloo
Popular passages
Page 84 - Altesse Royale, en butte aux factions qui divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale comme du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 159 - Je meurs dans l'union de notre sainte mère l'Église catholique , apostolique et romaine , qui tient ses pouvoirs par une succession non interrompue de saint Pierre auquel Jésus-Christ les avait confiés ; je crois fermement et je confesse...
Page 70 - Sire, la chose est faite : je demande à Votre Majesté la permission de me taire. — Non, non, dites : vous savez comme j'ai résisté depuis Gand. — Sire, je ne fais qu'obéir à vos ordres ; pardonnez à ma fidélité : je crois la monarchie finie.
Page 157 - Vous êtes au-dessus de ces faiblesses; mais que voulez-vous? je ne suis ni philosophe ni médecin. Je crois à Dieu, je suis de la religion de mon père : n'est pas athée qui veut.
Page 116 - ... davantage l'envie plébéienne, le niveau ascendant a plus flatté son orgueil. La vanité française se bouffit aussi de la supériorité que Bonaparte nous donna sur le reste de l'Europe; une autre cause de la popularité de Napoléon tient à l'affliction de ses derniers jours. Après sa mort, à mesure que l'on connut mieux ce qu'il avait souffert à Sainte-Hélène, on commença à s'attendrir; on oublia sa tyrannie pour se souvenir qu'après avoir d'abord vaincu nos ennemis, qu'après les...
Page 94 - C'est pourquoi il a tant de prise sur l'imagination des peuples, et tant d'autorité sur le jugement des hommes positifs.
Page 349 - Je vous écris à côté d'un poêle, la tête pesante et le cœur triste, en jetant les yeux sur la rivière de la Sprée, parce que la Sprée tombe dans l'Elbe, l'Elbe dans la mer, et que la mer reçoit la Seine, et que notre maison de Paris est assez près de cette rivière...
Page 14 - Napoléon m'ouvrît un exil éternel, la patrie l'emportait dans ce moment dans mon cœur ; mes vœux étaient pour l'oppresseur de la France, s'il devait, en sauvant notre honneur, nous arracher à la domination étrangère. Wellington triomphait-il? La légitimité rentrerait donc dans Paris derrière ces uniformes rouges qui venaient de reteindre leur pourpre au sang des Français ! La royauté aurait donc pour...
Page 451 - J'ai un tel dégoût de tout, un tel mépris pour le présent et pour l'avenir immédiat, une si ferme persuasion que les hommes désormais, pris ensemble comme public (et cela pour plusieurs siècles), seront pitoyables, que je rougis d'user mes derniers moments au récit des choses passées, à la peinture d'un monde fini dont on ne comprendra plus le langage et le nom.
Page 209 - Lally-Tollendal tonnait en faveur des libertés publiques ; il faisait retentir les voûtes de notre solitude de l'éloge de trois ou quatre lords de la chancellerie anglaise, ses aïeux, disait-il : quand son panégyrique de la liberté de la presse était terminé, arrivait un mais, fondé sur des circonstances, lequel mais nous laissait l'honneur sauf sous l'utile surveillance de la censure.