FaustC. Delagrave, 1893 - 19 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
allein allen alles Altmayer andern armen auch Augen Blut Brander Busen chant cœur daß diable dich die Welt diesen dieß Dieu doch Drum einmal Erde erst euch eure ewig faßt Faust flamme François Sabatier frei Freund Frosch führen ganze gehen gehn geht Geist gern geschehn gethan gewiß gleich Glück Gott Gretchen Grète groß Habt hast Haus Herr Herrn Herz Herzen heute Himmel hinaus hören in's Incubus ist's j'ai jeder Kind klein Komm kommt könnt Kraft Laß läßt Leben Leib leicht Liebchen liebe macht Mann Margarete Marthe Menschen MEPHISTO Mephistopheles mich möcht muß mußt Mutter Nacht nicht PHÉLÈS recht sagen sagt schon schöne Schritt Schüler seht seyd seyn SIBEL sich sieht sind singt Sinn soll sollt SORCIÈRE steht Teufel tief viel vois Wagner wär Weib Wein weiß Welt wenig wieder wohl wollt Wort Zeit
Popular passages
Page 134 - Et puis dans l'onde noire Fit voler le metal. Sabatier hat dies Lied zwar auch etwas verwässert, aber wenigstens nicht ganz entgeistigt. Dagegen ist bei beiden ziemlich gelungen Gretchens Lied „Meine Ruh' ist hin'' usw Sabatier lässt Gretchen sagen : Mon repos.
Page 16 - Aucun scrupule ou doute ne m'accable, Et je n'ai peur ni d'enfer ni de diable. Mais plus de joie aussi, mais plus d'espoir, Mais je ne crois pas de bien rien savoir, Mais je ne crois pas de rien pouvoir faire 20 Qui améliore l'homme et qui l'éclaire. Je n'ai non plus argent ni bien, Ni gloire, ni honneurs ni rien.
Page 106 - N'a rien qui tant le charme, La vide à tout festin; Quand il y boit, de larmes Toujours ses yeux sont pleins. Et quand la mort s'approche, Fiefs et villes il remet A l'héritier plus proche, Mais non le gobelet.. Il tient sa cour royale, Et sied, avec ses pairs, A table, en sa grand' salle Qui s'ouvre sur la mer.
Page 21 - Esprit d'action, je me sens, près de toi! L'ESPRIT. Tu ressembles — à l'Esprit que tu comprends, 160 Non pas à moi!
Page 127 - Sßergönneft mir, in i^re tiefe Sruft, SBie in ben Sufen eine§ greunb§, ju fd)auen.
Page 2 - C'est vous encore, formes vacillantes, Vous, que voyait jadis mon œil ému. De vous saisir faut-il qu'enfin je tente? Ces illusions, mon cœur, y croirais-tu? 5 Vous m'entourez ! Dans vos vapeurs flottantes Emportez-moi, je n'y résiste plus; Mon sein d'un juvénile émoi frissonne Au vent magique qui vous environne.
Page 107 - II boit son dernier coup; La coupe, — il la soulève, La jette au flot qui bout. Il voit comme elle tombe, Boit, plonge et disparaît. 2425 Ses yeux se ferment, se plombent; Et plus il ne but jamais.
Page 143 - Que traîne Ma chair, qui la connaît? Tout ce qui mon cœur déchire, Qu'il redoute, qu'il désire, Seule, seule tu le sais ! 3245 Et où que j'aille, existe, Si triste, triste, triste, Dans l'âme je me sens!
Page 175 - Malheur incompréhensible à toute âme humaine que plus d'une créature soit tombée dans...