Encore des comédiens et du clerge: accompagne d'une notice sur le ministère français en 1825; et de quelques reflexions politiques et religieuses au sujet des journaux le Constitutionnel et le Courrier attaqués par le réquisitoire de M. le procureur-général Bellart, conseiller-d'état, par le baron d'Henin de Cuvillers ...

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Popular passages

Page 4 - La charité est patiente, elle est douce et bienfaisante. La charité n'est point envieuse, elle n'est point téméraire et précipitée. Elle ne s'enfle point d'orgueil. Elle n'est point dédaigneuse. Elle ne cherche point ses propres intérêts. Elle ne se pique et ne s'aigrit de rien. Elle n'a point de mauvais soupçons.
Page 5 - Ne faites point à autrui ce que vous ne voudriez pas qui vous fût fait.
Page 4 - Et quand j'aurais le don de prophétie, que je pénétrerais tous les mystères, et que...
Page 5 - Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, priez pour ceux qui vous persécutent...
Page 4 - Nous ne voyons maintenant que comme dans un miroir et dans des énigmes; mais alors nous verrons Dieu face à face. Je ne connais maintenant Dieu qu'imparfaitement; mais alors je le connaîtrai comme je suis moi-même connu de lui.
Page 121 - ... soit contraire à la loi et à la parole do Dieu, nous ne sommes ni assez extravagants, ni assez furieux pour soulever contre nous la colère d'un prince ou d'un monarque, afin d'attirer sur notre tête les outrages, les tortures et la mort elle-même.
Page 109 - XIV avait appelé le législateur des bienséances du monde et le censeur le plus utile des ridicules de ses sujets...
Page 122 - est pas de ce monde, rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu...
Page 3 - Non est ambitiosa, non quaerit quae sua sunt, non irritatur, non cogitât malum; non gaudet super iniquitate, congaudet autem veritati; omnia suffert, omnia crédit, omnia sperat, omnia sustinet „ . Superest ut videanms iitrum has charitatis notas prae se Dei Fámula tulerit.
Page 177 - C'est ce qu' Aristote appelle pétition de principe 1", ce qu'on voit assez être entièrement contraire à la vraie raison; puisque, dans tout raisonnement, ce qui sert de preuve doit être plus clair et plus connu que ce qu'on veut prouver.

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