Oeuvres completesDidot Freres, 1857 - 720 pages |
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... DE TOUS LES COMMENTATEURS Molière , Jean Papterte Poquelin PARIS CHEZ FIRMIN DIDOT FRÈRES , FILS ET CE , LIBRAIRES IMPRIMEURS DE L'INSTITUT DE FRANCE RUE JACOB , 56 M DCCC LVII VIE DE MOLIÈRE , PAR GRIMAREST * . | |. ŒUVRES.
... DE TOUS LES COMMENTATEURS Molière , Jean Papterte Poquelin PARIS CHEZ FIRMIN DIDOT FRÈRES , FILS ET CE , LIBRAIRES IMPRIMEURS DE L'INSTITUT DE FRANCE RUE JACOB , 56 M DCCC LVII VIE DE MOLIÈRE , PAR GRIMAREST * . | |. ŒUVRES.
Page 1
... fils et petit - fils de tapissiers , valets de chambre du roi Louis XIII . Son père avait sa boutique sous les piliers des Halles , dans une mai- son qui lui appartenait en propre . Sa mère s'appelait Boudet ; elle était aussi fille d ...
... fils et petit - fils de tapissiers , valets de chambre du roi Louis XIII . Son père avait sa boutique sous les piliers des Halles , dans une mai- son qui lui appartenait en propre . Sa mère s'appelait Boudet ; elle était aussi fille d ...
Page 2
... fils ; le père s'y rendit , et se détermina à l'envoyer au collége des jésuites 1 . Le jeune Poquelin était né avec de si heureuses disposi- tions pour les études , qu'en cinq années de temps il fit non- seulement ses humanités , mais ...
... fils ; le père s'y rendit , et se détermina à l'envoyer au collége des jésuites 1 . Le jeune Poquelin était né avec de si heureuses disposi- tions pour les études , qu'en cinq années de temps il fit non- seulement ses humanités , mais ...
Page 8
... fils de Beauchâteau fut célèbre à huit ans . On recueillit ses poésies sous le titre de Muse nuissante du jeune Beauchd- teau , 1657. Le poëte Maynard orna ce recueil d'une préface . A onze ans , Beauchâteau présenta son ouvrage à l ...
... fils de Beauchâteau fut célèbre à huit ans . On recueillit ses poésies sous le titre de Muse nuissante du jeune Beauchd- teau , 1657. Le poëte Maynard orna ce recueil d'une préface . A onze ans , Beauchâteau présenta son ouvrage à l ...
Page 25
... fils de Pandolfe . CÉLIE , esclave de Trufaldin . MASCARILLE , valet de Lélie . HIPPOLYTE , fille d'Anselme . ANSELME , père d'Hippolyte . TRUFALDIN , vieillard . PANDOLFE , père de Lélie . LEANDRE , fils de famille . ANDRES , cru ...
... fils de Pandolfe . CÉLIE , esclave de Trufaldin . MASCARILLE , valet de Lélie . HIPPOLYTE , fille d'Anselme . ANSELME , père d'Hippolyte . TRUFALDIN , vieillard . PANDOLFE , père de Lélie . LEANDRE , fils de famille . ANDRES , cru ...
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Common terms and phrases
ADRASTE AGNÈS aime ALCESTE ALCMÈNE Allons amant âme amour AMPHITRYON ARGANTE ARISTE ARNOLPHE ASCAGNE assez avez beau BÉJART BÉLISE belle CÉLIMÈNE charmes chose CHRYSALE ciel CLAUDINE CLÉANTE CLÉANTHIS CLÉONTE CLITANDRE CLITIDAS cœur comédie COMTESSE courroux COVIELLE dansants Dieu dire DON GARCIE DON JUAN DON PÈDRE DORANTE DORINE doux ÉLISE ELMIRE ELVIRE ENTRÉE DE BALLET ÉRASTE ÉRIPHILE Est-ce êtes femme fille FROSINE gens GEORGE DANDIN GÉRONTE GROS-RENÉ HARPAGON homme j'ai j'en l'amour LÉANDRE LÉLIE LISETTE LUBIN LUCILE m'en MADAME JOURDAIN MADELON MADEMOISELLE DE BRIE MAÎTRE JACQUES MARIANE MASCARILLE MÉLICERTE MERCURE Molière monde MONSIEUR DE POURCEAUGNAC MONSIEUR DE SOTENVILLE MORON MYRTIL ORGON ORONTE parler père personne PHILAMINTE PHILINTE prendre princesse PSYCHÉ raison rien s'il vous plaît sais SBRIGANI SCAPIN SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII seigneur sera seul SGANARELLE soins sort SOSIE SOSTRATE souffrir TARTUFFE TRISSOTIN trouve TRUFALDIN URANIE vais VALÈRE veut veux vœux voilà vois yeux
Popular passages
Page 206 - Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser les Destins, et dire des injures aux Dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre des défauts de tout le monde.
Page 192 - Enfin, à mon amour rien ne peut s'égaler. Quelle preuve veux-tu que je t'en donne, ingrate? Me veux-tu voir pleurer? veux-tu que je me batte? Veux-tu que je m'arrache un côté de cheveux? Veux-tu que je me tue?
Page 307 - Qu'il faut qu'un galant homme ait toujours grand empire Sur les démangeaisons qui nous prennent d'écrire ; Qu'il doit tenir la bride aux grands empressements Qu'on a de faire éclat de tels amusements ; Et que, par la chaleur de montrer ses ouvrages, On s'expose à jouer de mauvais personnages.
Page 572 - Je le suis , ma Psyché , de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure : L'air même que vous respirez * Avec trop de plaisir passe par votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche; Et, sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 565 - Veut qu'on soit insensible à ces cruels revers. En vain de la raison les secours sont offerts, Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce qu'on aime : L'effort en est barbare aux yeux de l'univers, Et c'est brutalité plus que vertu suprême.
Page 312 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 307 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer? Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer'? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre , Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre. Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations , Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme , Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme , Pour prendre , de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 630 - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 321 - Ah ! rien n'est comparable à mon amour extrême; Et dans l'ardeur qu'il a de se montrer à tous, II va jusqu'à former des souhaits contre vous. Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable, Que le Ciel en naissant ne vous eût donné rien...
Page 215 - Oui, toujours des marquis, que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? le marquis aujourd'hui est le plaisant de la comédie. Et comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie.