| Charles François Du Périer Dumouriez - France - 1795 - 386 pages
...n'ai qu' un regret; vous y êtes en danger. — Oni, certainement, dit Louis en soupirant. — ffe bien, sire, vous ne pouvez plus imaginer que je vous...approcherai plus, c'est par fidélité, c'est par ï attachement le plus, par que fose encore une dernière fois vous supplier , pour l'amour de votre... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1821 - 550 pages
...roi lui dit : « Vous allez donc joindre l'armée de Lukner? — Oui , Sire , je quitte avec délice cette affreuse ville : je n'ai qu'un regret , vous y êtes en danger. — Oui certainement , reprit le roi en soupirant. — (i) On trouvera des détails sur cette lettre et sur la démission... | |
| 1821 - 548 pages
...roi lui dit : « Vous allez donc joindre lrarmée de Lukner? — Oui , Sire , je quitte avec délice cette affreuse ville : je n'ai qu'un regret , vous y êtes en danger. — Oui certainement , reprit le roi en soupirant. — (i)0n trouvera des détails sur cette lettre et sur la démission... | |
| Charles Élie marquis de Ferrières - France - 1821 - 548 pages
...roi lui dit : «Vous allez donc joindre l'armée de X^ukner? — Oui , Sire , je quitte avec délice cette affreuse ville : je n'ai qu'un regret , vous y êtes en danger. — Qui certainement , reprit lie roi en soupirant. — (i) On trouvera des détails sur cette lettre... | |
| Charles François Du Périer Dumouriez - France - 1822 - 510 pages
...de la netteté de ce travail , et lui dit : « Vous » allez donc joindre l'armée de Luckner ? — Oui , » Sire , je quitte avec délices cette affreuse...approcherai plus; c'est par fidélité, c'est par l'at» tachement le plus pur que j'ose encore une derM nière fois vous supplier , pour l'amour de... | |
| 1822 - 482 pages
...de la netteté de ce travail , et lui dit : « Vous » allez donc joindre l'armée de Luckner ? — Oui , » Sire, je quitte avec délices cette affreuse...éloigné de votre conseil, je ne vous » approcherai pl us; c'est par fidélité, c'est par l'at» tachement le plus pur que j'ose encore une der» nière... | |
| Charles François Du Périer Dumouriez - France - 1822 - 478 pages
...de la netteté de ce travail , et lui dit : « Vous » allez donc joindre l'armée de Luckner ? — Oui , >» Sire , je quitte avec délices cette affreuse...» une fois éloigné de votre conseil, je ne vous w approcherai plus; c'est par fidélité, c'est par l'at» lachement le plus pur que j'ose encore une... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1822 - 488 pages
...allez donc joindre l'armée de Luckner ? — Oui , » Sire , je quitte avec délices cette aïfreuse ville. » Je n'ai qu'un regret ; vous y êtes en danger....— » Oui, certainement, dit Louis en soupirant. — v Eh bien, Sire, vous ne pouvez plus imaginer M que je vous parle par quelque intérêt personnel... | |
| Charles François Du Périer Dumouriez - France - 1822 - 486 pages
...de la netteté de ce travail, et lui dit : « Vous » allez donc joindre l'armée de Luckner ? — Oui, » Sire, je quitte avec délices cette affreuse ville. » Je n'ai qu'un regret ; vous j êtes en danger. — » Oui , certainement, dit Louis en soupirant. — » Eh bien, Sire, vous ne... | |
| 1840 - 550 pages
...de satisfaction de la netteté de mon travail , et me dit : Vous allez donc rejoindre l'armée? — Oui, sire, je quitte avec délices cette affreuse...sire , vous ne pouvez plus imaginer que je vous parle pour quelque intérêt personnel. C'est par fidélité, c'est par l'attachement le plus pur. que j'ose... | |
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