| René Descartes - 1824 - 524 pages
...approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes , qui , n'étant appelées ni parleur naissance ni parleur fortune au maniement des affaires publiques , ne laissent...toujours en idée quelque nouvelle réformation; et si je pensois qu'il y eût la moindre chose en cet écrit par laquelle on me pût soupçonner de cette folie,... | |
| René Descartes - 1824 - 518 pages
...rochers et descendant jusques aux bas des précU pices. C'est pourquoi je ne saurois aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui , n'étant appelées ni par leur naissance ni parleur fortune au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en idée quelque... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...et descendant jusques au bas des précipices. (3) C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant...pensais qu'il y eût la moindre chose en cet écrit par la1 Ab nmietis pnpnli« (addition 4c la traduction latine). quelle on me pût soupçonner de cette... | |
| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...et descendant jusques au bas des précipices. (3) C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes , qui , n'étant...réformation; et si je pensais qu'il y eût la moindre chose eu cet écrit par laquelle on me put soupconner de cette folie, je serais très marri de souffrir qu'il... | |
| René Descartes - Philosophy - 1842 - 626 pages
...rochers et descendant jusques au bas des précipices. C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui , n'étant...la moindre chose en cet écrit par laquelle on me put soupçonner de cette folie, je serais très-marri de souffrir qu'il fût publié. Jamais mon dessein... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...rochers et descendant jusques au bas des précipices. C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant...on me pût soupçonner de cette folie , je serais très-marri de souffrir qu'il fût publié. Jamais mon dessein ne s'est étendu plus avant que de tâcher... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...descendant jusques au bas des précipices. C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces bumeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées...idée quelque nouvelle réformation ; et si je pensais qtPil y eût la moindre chose en cet écrit par laquelle on me pût soupçonner de cette folie, je... | |
| 1844 - 976 pages
...que très-rudes. On n'approuve pas ces humeurs brouillonnes et inqùiétes,qni n'étant appelées nî par leur naissance ni par leur fortune au maniement...laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle reformation '. Ce conseil du maître est sage , mats 11 n'a pas été suivi par Ifs disciples ; l'examen... | |
| 1844 - 508 pages
...à retenir étant ébranlés, et leurs chutes né peuvent être que très-rudes. On n'approuve pas ces humeurs brouillonnes et inquiètes,' qui n'étant...leur naissance ni par leur fortune au maniement des affairés publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle réformation '. Ce... | |
| Alfred Lorquet - Philosophy - 1847 - 424 pages
...rochers et descendant jusques au bas des précipices. C'est pourquoi je ne1 saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant...on me pût soupçonner "de cette folie , je serais très-marri de souffrir qu'il fût publié. Jamais mon dessein ne s'est étendu plus avant que de tâcher... | |
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