Dictées correspondant à la première année de grammaire: 300 dictées - orthographe grammaticale - orthographe d'usage. Ed. conforme à l'arrêté ministériel du 25 juillet 1910, relatif à la nomenclature grammaticaleA. Colin, 1912 - 160 pages |
Common terms and phrases
1re ANN acanthe Adjectifs Alsace animaux arbres Attila Bayard beau besoin blanche blé bœufs bois brave BUFFON caféier chanson chant charançon CHARLES BIGOT charrette chat chêne cheval chèvre chien choses cœur colline couches couleur coup devoir Dictée Diogène douce doux églantier Égypte Élève enfants ERCKMANN-CHATRIAN Ésope faim fauvettes FENELON feuilles fleurs fleuve forêt froid gens grain groseillier HECTOR MALOT hippophage hippopotame hommes j'ai jamais jeune jour joyeux l'air l'eau l'enfant L'exilé partout l'hiver l'homme l'oiseau laboureur laisse loup madame Roland main maison mendiant ment mère MICHELET moisson montagne mort Neustrie nourrir occiput oiseaux Orthographe d'usage Oseille pain parents paresse partout est seul passant Passereau patrie pauvre pays père petit pied petits peuple pierre plaine plantes pleure pont du Gard printemps qu'un regard respecter rien rosée sauvage sent soir soldat soleil sorte terre tête THEURIET travail troupeaux vache vallée vent verbe verte VICTOR HUGO vieillards vieux vois
Popular passages
Page 38 - C'était un fort grand homme, très-bien fait, assez maigre, le visage assez de forme ronde, un grand front ; de beaux sourcils ; le nez assez court sans rien de trop, gros par le bout ; les lèvres assez grosses ; le teint rougeâtre et brun ; de beaux yeux noirs, grands, vifs, perçants, bien fendus ; le regard majestueux et gracieux quand il y prenait garde, sinon sévère et farouche, avec un tic qui ne revenoit pas souvent, mais qui lui démontoit les yeux et toute la physionomie, et qui donnoit...
Page 155 - Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers!
Page 132 - Portant le noir colback ou le casque poli, Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli, Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête, Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête. Leur bouche, d'un seul cri, dit: vive l'empereur! Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, Tranquille, souriant à la mitraille anglaise, La garde impériale entra dans la fournaise.
Page 107 - ... son camarade d'attelage. Qu'ils viennent voir au fond de l'étable un pauvre animal maigre, exténué, battant de sa queue inquiète ses flancs décharnés, soufflant avec effroi et dédain sur la nourriture qu'on lui présente, les yeux toujours tournés vers la porte, en grattant du pied la place vide à ses côtés, flairant les jougs et les chaînes que son compagnon a portés, et l'appelant sans cesse avec de déplorables mugissements. Le bouvier dira : — C'est une paire de bœufs perdue;...
Page 112 - L'incendie augmente, l'orient paraît tout en flammes; à leur éclat on attend l'astre longtemps avant qu'il se montre; à chaque instant on croit le voir paraître; on le voit enfin. Un point brillant part comme un éclair et remplit aussitôt tout l'espace; le voile des ténèbres s'efface et tombe.
Page 80 - Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau qui, répandu sur une colline vers le déclin d'un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé à la faux du moissonneur; le berger, soigneux et attentif, est debout auprès de ses brebis; il ne les perd pas de vue, il les suit...
Page 140 - Voyage dans file des Plaisirs. Après avoir longtemps vogué sur la mer Pacifique , nous aperçûmes de loin une île de sucre avec des montagnes de compote , des rochers de sucre candi et de caramel , et des rivières de sirop qui coulaient dans la campagne.
Page 112 - On le voit s'annoncer de loin par les traits de feu qu'il lance au-devant de lui. L'incendie augmente, l'orient paraît tout en flammes; à leur éclat on attend l'astre longtemps avant qu'il se montre; à chaque instant on croit le voir paraître; on le voit enfin.
Page 69 - Jusqu'au soir, on mangea. Quand on était trop fatigué d'être assis, on allait se promener dans les cours ou jouer une partie de bouchon dans la grange, puis on revenait à table. Quelques-uns, vers la fin, s'y endormirent et ronflèrent. Mais, au café, tout se ranima; alors on...
Page 124 - L'exilé partout est seul. Lorsque je voyais, au déclin du jour, s'élever du creux d'un vallon la fumée de quelque chaumière, je me disais : Heureux celui qui retrouve le soir le foyer domestique, et s'y assied au milieu des siens! L'exilé partout est seul.