La littérature française au dix-septième siècle |
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... théâtre à lui . Sur les places publiques , dans les carrefours , dans les hameaux , s'arrêtaient les jongleurs , les trouvères , race voyageuse qui riait et chantait par toute la France et pour toute la France . Aux grandes fêtes , il ...
... théâtre à lui . Sur les places publiques , dans les carrefours , dans les hameaux , s'arrêtaient les jongleurs , les trouvères , race voyageuse qui riait et chantait par toute la France et pour toute la France . Aux grandes fêtes , il ...
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... théâtre , comme il fit quitter la poésie à Boileau ? Et pourquoi ? Pour en faire des histo- riographes ! Les exemples abondent ; on les trouvera en leur lieu dans les leçons consacrées à chaque écrivain . Reste la protection effective ...
... théâtre , comme il fit quitter la poésie à Boileau ? Et pourquoi ? Pour en faire des histo- riographes ! Les exemples abondent ; on les trouvera en leur lieu dans les leçons consacrées à chaque écrivain . Reste la protection effective ...
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... théâtre au moment où Hardi finissait sa lon- gue carrière , vers 1629. Nous n'avons aujourd'hui que le plus profond mépris pour les poètes , les pièces , le public , les acteurs , le théâtre de ce temps - là . Il est convenu que rien ne ...
... théâtre au moment où Hardi finissait sa lon- gue carrière , vers 1629. Nous n'avons aujourd'hui que le plus profond mépris pour les poètes , les pièces , le public , les acteurs , le théâtre de ce temps - là . Il est convenu que rien ne ...
Page 78
... théâtre une fraîcheur , une naïveté d'impressions dont nous ne pouvons nous faire une idée . D'abord c'était un divertissement tout nou- veau : il n'y avait encore dans tout Paris que deux scènes permanentes , l'une au Marais , l'autre ...
... théâtre une fraîcheur , une naïveté d'impressions dont nous ne pouvons nous faire une idée . D'abord c'était un divertissement tout nou- veau : il n'y avait encore dans tout Paris que deux scènes permanentes , l'une au Marais , l'autre ...
Page 80
... théâtre quand Corneille fit représenter Mélite en 1629 . Les six premières pièces qu'il donna eurent toutes un grand succès , la troisième surtout , la Veuve . Médée , qui suivit , fut reçue froidement : c'était presqu'une pure tra ...
... théâtre quand Corneille fit représenter Mélite en 1629 . Les six premières pièces qu'il donna eurent toutes un grand succès , la troisième surtout , la Veuve . Médée , qui suivit , fut reçue froidement : c'était presqu'une pure tra ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 383 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 198 - Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie, j'ai versé telles gouttes de sang pour toi.
Page 88 - ... n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourrait être excité plus fortement par la vue des malheurs arrivés aux personnes de notre condition, à qui nous ressemblons tout à fait, que par l'image de ceux qui font trébucher de leurs trônes les plus grands monarques, avec qui nous n'avons aucun rapport qu'en tant que nous sommes susceptibles des passions qui les ont jetés dans ce précipice : ce qui ne se rencontre pas toujours?
Page 326 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 48 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat : dans les ouvrages les plus enjoués et dans les plus sérieux, il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et de passionné. On a retranché . si je ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduits.
Page 60 - Mais aussitôt après je pris garde que , pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et , remarquant que cette vérité : Je pense , donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 410 - De la foi d'un chrétien les mystères terribles D'ornements égayés ne sont point susceptibles...
Page 222 - Quant à son temps, bien le sut dispenser : Deux parts en fit, dont il soûlait passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire.
Page 105 - ... ni le haïr à demi; ferme génie que nous avons vu, en ébranlant l'univers, s'attirer une dignité qu'à la fin il...
Page 92 - Il est facile aux spéculatifs d'être sévères; mais s'ils voulaient donner dix ou douze poèmes de cette nature au public, ils élargiraient peut-être les règles encore plus que je ne fais, sitôt qu'ils auraient reconnu par l'expérience quelle contrainte apporte leur exactitude, et combien de belles choses elle bannit de notre théâtre.