La littérature française au dix-septième siècle |
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... SIÈCLE PAR PAUL ALBERT = MAITRE DE CONFÉRENCES A L'ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE TROISIÈME ÉDITION PARIS LIBRAIRIE HACHETTE ET Cie 79 , BOULEVARD SAINT - GERMAIN , 79 1878 71333a 1878 . LA LITTÉRATURE FRANÇAISE AU XVII SIÈCLE LE.
... SIÈCLE PAR PAUL ALBERT = MAITRE DE CONFÉRENCES A L'ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE TROISIÈME ÉDITION PARIS LIBRAIRIE HACHETTE ET Cie 79 , BOULEVARD SAINT - GERMAIN , 79 1878 71333a 1878 . LA LITTÉRATURE FRANÇAISE AU XVII SIÈCLE LE.
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... maître de la vie et des biens de tous 2. Les théoriciens du pouvoir démontrèrent à grand renfort de textes tirés de l'Écriture sainte « que les rois ont le droit de tout faire impunément 1. La librairie Hachette vient de publier les ...
... maître de la vie et des biens de tous 2. Les théoriciens du pouvoir démontrèrent à grand renfort de textes tirés de l'Écriture sainte « que les rois ont le droit de tout faire impunément 1. La librairie Hachette vient de publier les ...
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... maître humain qui ne doit rien à ses sujets , mai qui consent à faire quelque chose pour eux . Il ne se mor tre guère que revêtu de majesté , dans toute la splende de sa gloire . Convaincu le premier de la sublimité de so rôle , de sa ...
... maître humain qui ne doit rien à ses sujets , mai qui consent à faire quelque chose pour eux . Il ne se mor tre guère que revêtu de majesté , dans toute la splende de sa gloire . Convaincu le premier de la sublimité de so rôle , de sa ...
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... maître , et le fait sentir à tous . Persuadé qu'il est le représentant de Dieu sur la terre , il croit qu'il peut , comme Dieu , créer ou communiquer le génie , que son choix suffira pour faire du pauvre Chamil- lard un grand ministre ...
... maître , et le fait sentir à tous . Persuadé qu'il est le représentant de Dieu sur la terre , il croit qu'il peut , comme Dieu , créer ou communiquer le génie , que son choix suffira pour faire du pauvre Chamil- lard un grand ministre ...
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... maîtres . Affections de famille , santé , intérêts de fortune , tout devait être sacrifié aux devoirs de courti- san . Il fallait un congé régulier pour se dispenser d'assis- er au lever et au coucher du roi . Il ne tolérait aucun ...
... maîtres . Affections de famille , santé , intérêts de fortune , tout devait être sacrifié aux devoirs de courti- san . Il fallait un congé régulier pour se dispenser d'assis- er au lever et au coucher du roi . Il ne tolérait aucun ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 383 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 198 - Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie, j'ai versé telles gouttes de sang pour toi.
Page 88 - ... n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourrait être excité plus fortement par la vue des malheurs arrivés aux personnes de notre condition, à qui nous ressemblons tout à fait, que par l'image de ceux qui font trébucher de leurs trônes les plus grands monarques, avec qui nous n'avons aucun rapport qu'en tant que nous sommes susceptibles des passions qui les ont jetés dans ce précipice : ce qui ne se rencontre pas toujours?
Page 326 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 48 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat : dans les ouvrages les plus enjoués et dans les plus sérieux, il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et de passionné. On a retranché . si je ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduits.
Page 60 - Mais aussitôt après je pris garde que , pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et , remarquant que cette vérité : Je pense , donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 410 - De la foi d'un chrétien les mystères terribles D'ornements égayés ne sont point susceptibles...
Page 222 - Quant à son temps, bien le sut dispenser : Deux parts en fit, dont il soûlait passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire.
Page 105 - ... ni le haïr à demi; ferme génie que nous avons vu, en ébranlant l'univers, s'attirer une dignité qu'à la fin il...
Page 92 - Il est facile aux spéculatifs d'être sévères; mais s'ils voulaient donner dix ou douze poèmes de cette nature au public, ils élargiraient peut-être les règles encore plus que je ne fais, sitôt qu'ils auraient reconnu par l'expérience quelle contrainte apporte leur exactitude, et combien de belles choses elle bannit de notre théâtre.